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Débrouillez-vous !! Par Jacques Attali…

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Published : May 02nd, 2014
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24hGold - Débrouillez-vous !! ...

Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !

Le 17 septembre 2013, Willem-Alexander, roi des Pays-Bas, lors d’une allocution devant le Parlement néerlandais, déclarait le plus sérieusement du monde que « l’État-providence classique se transforme lentement mais sûrement en une société de participation. À tous ceux qui le peuvent, il est demandé de prendre ses responsabilités pour sa propre vie et pour son entourage ». Évidemment, sous nos latitudes où tout va bien et où nous sommes au pays des Bisounours, ces déclarations « alarmistes », ces propos « pessimistes » non seulement ne pouvaient pas être repris mais encore moins tenus par nos propres dirigeants.

Il s’agit là d’une mise en garde sans ambiguïté sur la réalité, qu’on l’aime ou pas. Dans tous les cas, elle s’imposera à nous. Il n’y a aucune bonne solution et nous sommes confrontés à une crise d’une telle profondeur qu’en réalité il s’agit, comme je le dis et le répète, non pas juste d’une crise mais fondamentalement d’un changement total de système économique. Dans les années qui viennent, la raréfaction du travail va se poursuivre de façon exponentielle. Il y en aura de moins en moins et pour de moins en moins de gens.

Nous avons accumulé un endettement jamais atteint autrement que lors de temps de guerre où il fallait bien financer les batailles. Pour faire face au service de cette dette, nous serons contraints soit d’imprimer massivement de la monnaie, soit de réduire considérablement les dépenses et restreindre la place de l’État et des transferts sociaux. Dans tous les cas, que ce soit par l’inflation (impression monétaire) ou par la déflation (réduction des dépenses), c’est le pouvoir d’achat des gens qui sera touché de plein fouet. D’abord progressivement (on le voit avec le gel des pensions) puis de plus en plus vite.

Lorsque j’invite de façon pressante mes lecteurs à se préparer, je le fais très sincèrement tant ce qui va nous arriver dessus sera épouvantable et particulièrement déstabilisant. N’oubliez pas que vous pouvez jouer sur votre PEL à savoir votre Patrimoine, votre Emploi et votre Localisation. C’est en articulant au mieux ces 3 éléments que vous saurez vous bâtir des protections efficaces contre l’hiver qui arrive à grands pas. Si je vous reparle de mon concept de PEL, c’est qu’il n’est pas si éloigné de ce que vous allez pouvoir lire un peu plus bas même si c’est exprimé différemment. En réalité, nous sommes de plus en plus nombreux à vous mettre en garde.

J’attire à nouveau l’attention de nos amis qui dépendent de la dépense publique. Que vous soyez fonctionnaires, retraités, agents de collectivités territoriales ou encore bénéficiaires des minimas sociaux, ou chômeurs, vous ne devez plus compter sur la « sécurité » procuré par un État. Vous êtes même parmi les plus fragiles. Ce n’est ni bien, ni mal et encore moins un jugement de valeur. Il faut juste en être conscient. En Italie, au moment où j’écris ces lignes, c’est ni plus ni moins que la sécurité de l’emploi pour les fonctionnaires qui est remise en cause et désormais les fonctionnaires pourront être virés que ce soit pour incompétence (ce qui fera du bien à certains, disons-le), soit – et c’est évidemment plus grave… – pour raison tout simplement économiques. Méditez cela. Méditez que ce qui était considéré comme acquis ne l’est pas. Ce qui se passe en Grèce ou en Italie finira par se passer chez nous.

C’est donc un écrit passionnant dont nous a gratifiés Jacques Attali dans une forme « de coming out » de la lucidité la plus crue dans son dernier papier intitulé « Débrouillez-vous » et qui, disons-le, là encore n’a pas vraiment eu ni beaucoup d’échos, ni un immense succès. Il faut dire que Jacques Attali y sombre clairement dans un côté survivaliste tendance contrarien qui me plaît fortement évidemment tant je partage son analyse mais qui a le défaut de déranger les beaux rêves de prospérité éternelle du plus grand nombre et de nos grands médias.

Voici ce que pense Attali

Débrouillez-vous !

« Que vous soyez l’un des 3,3 millions de chômeurs ou les autres, n’attendez rien du gouvernement et débrouillez-vous avec vos moyens.

On pourrait attendre de moi, en ce jour de changement d’équipe, trop longtemps annoncé et attendu, que j’explique, une fois de plus, ce que j’attends d’un éventuel nouveau gouvernement.

Et pourtant, je ne me prêterai pas à cet exercice convenu, lassé de l’avoir trop fait depuis tant d’années. En vain. Lassé d’avoir dit et répété, comme l’a fait ici aussi Christophe Barbier, qu’il était urgent de réformer le pays, d’une façon économiquement efficace et socialement juste. Lassé aussi d’exposer, d’article en article, de rapport en rapport, de livre en livre, le détail de toutes les réformes urgentes, formant le consensus silencieux de tous ceux qui, à gauche et à droite, s’intéressent aux affaires publiques ; mais avec rarement assez de courage pour admettre publiquement leur nécessité et leur urgence.

Si je ne le fais pas de nouveau aujourd’hui, ce n’est pas seulement pour ne pas me répéter, ni pour ne pas ennuyer mes lecteurs, mais parce que je voudrais pousser chacun de nous à aller plus loin, à anticiper une nouvelle déception et à faire un nouveau pari à la Pascal : non pas le pari de croire en Dieu, parce qu’on n’a rien à y perdre, mais celui d’agir pour soi, maintenant, indépendamment d’une hypothétique action publique. Parce qu’on a tout à y gagner.
En effet, de deux choses l’une :

Soit le futur gouvernement n’est pas à la hauteur des enjeux ; alors chacun aura agi à temps pour suppléer pour lui-même à son impuissance. Soit au contraire le gouvernement agit. Et là encore, de deux choses l’une : soit il échoue, ce qui ramènera au cas précédent. Soit il réussit, ce qu’évidemment je lui souhaite, et nul n’aura rien perdu à compléter l’action publique par une initiative personnelle.

En conséquence, ma recommandation à chacun de mes lecteurs est claire : agissez comme si vous n’attendiez plus rien du politique. Et, en particulier, comme si vous n’attendiez que le pire du gouvernement à venir. Et pire encore des suivants, quelle qu’en soit la couleur politique. Car, plus on tardera à réformer le pays, plus il sera difficile de le faire. Et les majorités à venir disposeront d’encore moins de moyens que l’actuelle, handicapée par l’inaction de ses prédécesseurs.

Concrètement, cela signifie qu’il convient de ne plus attendre la moindre amélioration des prestations sociales, la moindre baisse des impôts, la moindre création d’emploi public, ou la moindre décision positive d’aucune sorte.

Débrouillez-vous, tel est mon conseil. Cela veut dire : au lieu de rester chômeur et d’attendre une offre d’emploi, formez-vous, créez votre entreprise et votre emploi, avec les crédits encore disponibles ; si vous avez un emploi ennuyeux, inventez vous-même une nouvelle façon de faire votre métier, quel qu’il soit, plus amusante et plus créative. Si votre chef vous ennuie, inventez une façon (il y en a mille) de le contourner, de le neutraliser. Si vous êtes chef d’entreprise, n’attendez pas de baisse d’impôt pour investir ou embaucher ; choisissez votre stratégie au regard du monde comme il est.

Et si cela passe par votre départ à l’étranger, faites-le, sans remords, pour un temps, sans pour autant céder à l’illusion d’exotiques miroirs aux alouettes.

Le monde appartiendra demain à ceux qui, aujourd’hui, auront su renoncer à attendre quoi que ce soit de qui ce soit. De leurs parents. De leurs patrons. De leurs maires. De leurs gouvernants.

Si, dans cet éloge du réalisme, il vous reste, ce que je souhaite, une once d’altruisme, alors aidez ceux qui vous sont proches à oser aussi. Surtout ceux qui sont trop faibles ou démunis pour pouvoir se prendre en charge. Pour cela, créez des solidarités associatives, et prenez vous-même en charge la responsabilité des générations suivantes.

Accessoirement, l’agrégation de ces égoïstes et de ces altruismes privés aura un effet dévastateur et positif sur les politiques, en les poussant à justifier enfin leur raison d’être.

Pensez à vous, aux vôtres. Et osez affronter la salvatrice solitude. »

Préparez-vous, l’hiver vient et restez à l’écoute.

À demain… si vous le voulez bien !!

Charles SANNAT

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

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Juste une idée, courte j'en conviens:
Si on avait le droit de gagner de l'argent, on aurait de quoi se débrouiller.
De là à imaginer que l'Etat n'a pas intérêt à ce qu'on ait le droit de gagner de l'argent ...
A tous, si vous voulez faire des opérations immobilières, ou acquérir qqchose ou faire des provisions de boites de conserve, c'est maintenant! N'attendez pas demain ni le mois prochain! Et éloignez-vous des grandes villes!
Vous ne connaissez ni le jour, ni l'heure. Merci de votre attention!
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Cela se comprend que vous soyez lassé, si j'ai bien compris, mais le jour où cela tombera vous serez dans une panique impossible à contenir si vous n'avez pas pris vos précautions! Et si jamais vous avez prévu, vous bénirez ceux qui vous ont fatigué et vous irez même aidé ceux qui n'ont rien prévu tant vous serez touché par leur angoisse. Ce dont je parle, ce n'est pas la France "made in grèce", c'est la chute totale, on est bien d'accord! Je préfère me faire critiquer en le répêtant et me faire moquer même. Je n'ai rien à perdre, pas même ma fierté.
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"vous serez dans une panique impossible à contenir"
PANIQUER, MOI !?
HA, HA !... HO, HO !...



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je dirais même plus :

MOI, PANIQUER !?
HO, HO !... HA, HA !...

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Ne serions-nous donc que deux
à ne pas se chier dans les frocs
en regardant l'avenir ?...

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Attali l'imposteur, ni plus ni moins. Il vient pleurer sur ce qu'il a induit ! Quelle honte ! Les plus stupides se laisseront prendre au piège car il faut le reconnaître le piège est pervers!
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Pour moi il a une tête de Khazar... Caucasien... faudrait vérifier ses proportions "tête-épaules"...
Si on trouve 3.141592654... c'est définitivement un extra-terrestre et il faudra le desactiver avant
qu'il ne fasse encore plus de dégâts avec sa "gloooobalisation pyramidale"!
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Un chef d'oeuvre : "L'effondrement de la civilisation occidentale"

Naomi Oreskes est historienne des sciences et professeur à l'université de Harvard.

Erik M. Conway est historien à la Nasa. Il y étudie les interactions entre les politiques nationales, la recherche scientifique et les mutations technologiques.

A la rentrée 2013, les deux auteurs publient un article dans le prestigieux journal du MIT, Daedalus. Devant le retentissement provoqué par la thèse qu'ils défendent et l'angle choisi pour l'exposer, ils étoffent leur texte pour commettre ce qui s'avère être un essai vif et brillant, qui se veut coup de semonce et livre d'alerte sur l'avenir même de notre civilisation.

"L'effondrement de la civilisation occidentale" , publié en langue française le 30 avril 2014, édition LLL Les Liens qui Libèrent, 13,90 euros.

http://www.placedeslibraires.fr/detaillivre.php?gencod=9791020901033

Deux des plus grands intellectuels aux U.S.A. se posent dans cet essai de prospective la question suivante : pourquoi restons-nous inactifs, alors que nous disposons d'informations scientifiques robustes sur le changement climatique et que nous savons quels terribles événements vont suivre ?

Nous sommes en 2093, avènement de l' "Age de la Pénombre", et les deux historiens futurs se retournent sur leur passé - qui est notre présent et notre avenir (possible). Tout avait pourtant bien commencé avec la création du GIEC en 1988. Mais rapidement le "déni" se répand en faisant valoir l'incertitude des données scientifiques. Les effets du changement climatique s'intensifient, et en 2023, l'année de l' "été perpétuel", il y a 500 000 morts et 500 milliards de dollars de perte.

La frénésie pour les énergies fossiles amène les dirigeants à saisir les notes scientifiques sur la fuite de pétrole Bp en 2011. Puis la loi dite de "négation de la hausse du niveau de la mer" est adoptée par certains états. Mais rien n'y fait. La nature se déchaine sans que les mesures nécessaires ne soient prises.

Pendant l'été 2041, des vagues de chaleur sans précédent détruisent les récoltes. Panique, émeutes, migration de masse, hausse explosive des populations d'insectes, épidémies. L'ordre social s'effondre dans les années 2050 et les gouvernants, acquis à l'idéologie néolibérale, se retrouvent désarmés devant la nécessité d'une intervention massive de l'Etat...

En imaginant la situation vers laquelle l'humanité s'oriente si rien n'est fait, les auteurs démontrent magistralement le double piège dans lesquels la civilisation occidentale est en train de tomber. Deux idéologies inhibantes dominent : le positivisme et le fondamentalisme de marché. Quand les effets du Grand Effondrement se sont fait sentir, les démocraties n'ont d'abord pas voulu, puis pas pu faire face à la crise. Se trouvant dénué de l'infrastructure et de la capacité organisationnelle pour lutter.

Foisonnant d'érudition, fruit d'un travail de prospective scientifique rigoureux, cet essai veut tenter de lutter contre les obscurantismes intéressés afin d'éviter à l'humanité ce que les auteurs nomment "l'Age de la pénombre".
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Attali dans cet article de Sannat : "On pourrait attendre de moi, en ce jour de changement d’équipe, trop longtemps annoncé et attendu, que j’explique, une fois de plus, ce que j’attends d’un éventuel nouveau gouvernement."
Par pitié NON monsieur Attali ! Ne nous expliquez plus rien!
Vous prônez tout et son contraire. Vous avez été conseiller de Mitterand et ensuite conseiller de Sarkozy (MiamMiam le ratelier UMPS...) Vous n'avez donc aucune excuse! Les gouvernements, c'était vous en partie.
Vous vouliez L'Euro, vous vouliez l'ultra libéralisme, vous participiez à l'édification de l'UE, vous prônez le nouvel ordre mondial, vous encouragez l'immigration et le métissage, vous chérissez le mondialisme débridé, ect...
Et maintenant, vous allez encore plus loin que vos collègues, qui ne prennent pas de grands risques, en disant qu'il faut une autre Europe. Et dans un moment de lucidité, vous écrivez un énième livre et dites carrément: ( faites comme ce que j'ai toujours fait...) débrouillez vous !
ça ne m'étonne pas de vous! Toute votre vie n'a été que de proposer des solutions à des problèmes que vous avez personnellement créés. Vous n'assumez donc pas ce dont vous êtes en partie responsable. Et bien sachez que bien que vous semblez êtes revenu à la triste réalité, nous les contrariens, on ne vous a pas attendus pour prendre nos dispositions... et se débrouiller.
J'ajouterai que si un jour des purges ont lieu sur cette terre de France que vous avez contribuez à dévaster, le conseil que je vous donnerai serait: planquez vous! et ... débrouillez vous !
A bon entendeur...

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Je profite de votre commentaire pour abonder dans votre sens, c'est le pire stratège qui nous a conduit à cet effondrement, certainement avec de grandes arrières pensées honteuses que je pense qu'il ne trahit pas , le Nouvel Ordre mondial.
Et tout nous ramène encore lui, il joue la vierge effarouchée du monde dans lequel il nous a conduit pour s'attirer encore des crédits, c'est la pire des trahisons et la pire des manipulations. Il s'octroie subitement le titre de sauveur de l'humanité et sans doute celui de la France. Une perversion parmi tant d'autre mais l'ultime : Avoir pitié et nous donner des conseils.
Faites attention à cet homme qui a les pires accointances dans le monde de ceux qui veulent notre perte ou du moins ceux qui veulent nous asservir à travers les banques et les multinationales. Le pire ennemi que la France ait connu, très intelligent mais très dangereux, la preuve que Sannat le reprenne ! Il sent très bien l'effondrement annoncé car il voit maintenant que ceux qui sont avec lui ont réussi l'UE qui asservit et affaiblis les peuples d'Europe, vendent leurs biens en les achetant à bas prix (toutes les sociétés françaises, bientôt Alstom,) et il considère maintenant avec raison que le Gouvernement français n'a plus à rien nous apporter, c'est pour le moins et ainsi il se pose en défenseur du Peuple. Satan n'est pas loin!
Cet homme est un manipulateur mais le pire ennemi et vous allez voir qu'il va monter dans les sondages comme pas un autre.
Evidemment on va le reconnaître franç maçon, membre de la Trilatéral ou du NOM. Qu'importe ses théories sont comme ce qu'a dit Zemmour à propos de lui en citant Bossuet :"Dieu se rit des gens qui pleurent les effets dont ils chérissent les causes».
On pourrait rajouter que ceux qui ont chéri les causes se retrouvent par le malheur du monde asservi, les plus puissants pour diriger et encore pour tromper. Une oeuvre la plus sombre qui soit.
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Même si il n'a pas beaucoup de voix car magistralement ignoré par les médias, je recommande les vidéos d'Asselineau, le seul qui s'engage à sortir de l'union européenne par l'article 50 du traité de l'union :
http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/union-europeenne/fonctionnement/enjeux-reformes/qu-est-ce-qu-retrait-volontaire.html
Contrairement au FN qui dit non à Bruxelles mais qui ne s'engage à rien.
Il est bon de savoir qu'il existe une voie de sortie par les urnes et non par la force.
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Mr Attali... son crédo résumé:

- Jerusalem comme capitale mondiale

- un bon petit RFID pour chaque Goï
http://www.youtube.com/watch?v=RPfHdlbzb-U

- Une gouvernance mondiale

- et un petit Holocauste comme religion

Bah.
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Et la subversion de la chrétienté pour l'y asseoir comme Directeur de conscience pour ne pas dire pire !
La crise en détail, par qui, comment et pourquoi.

http://youtu.be/grq0A1GuadI

C'est long, mais trois heures trente, qu'est-ce que c'est, c'est le JT de 13H et celui du 20H, ajoutons canteloup et les pub qu'on se tappe tout le temps, alors c'est pas insurmontable, d'autant qu'on est bien mieux instruit qu'avec les autres clowns :D

PS: ça plaira pas à certains, mais c'est pas grave, l'histoire ne s'effacera pas pour si peu.

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Comme toujours Charles, tu nous laisses libre de croire ou de ne pas croire.

Personnellement, mon instinct m'invite à la vigilence.

Mon foyer lui est partagé entre secteur privé et secteur public. J'aime à penser que si l'un des deux perd son travail l'autre l'aura toujours.

Moi et ma femme nous cherchons depuis longtemps à élargir nos compétences. Ce n'est jamais facile de se remettre en question quand le problème du chômage n'est pas notre quotidien.

Je précise que nous avons demandé simultanément une augmentation et que c'est le secteur privé qui a eu le dernier mot.

Ce qui me fait peur c'est l'endettement de mes amis. Je crois que je suis le dernier à être locataire. Lors de nos repas, je suis devenu la bête immonde, le con de base qui ne veut rien transmettre à ses enfants.
Une chose est sûr je ne transmettrais aucune dette à ma progéniture. Je sais ce que le mot faim veut dire et ils ne manqueront de rien.

Ma femme reste là et s'interroge. On doit acheter maintenant !!! En ville, tu rêves. Pas de médecin à la campagne, je m'en fout car maintenant je me soigne avec du miel et des plantes. Je ne sais pas si c'est l'effet placébo mais c'est super efficace.

Pour les grosses opérations, je ne pourrais pas me passer d'un chirurgien alors espérons que j'aurai à faire à un robot chirurgien qui ne me demandera pas de dépassement d'honoraire.

Je reste dans la recherche de bonnes terres agricoles mais quel parcours du combattant pour trouver de la bonne terre. Incroyable !!! par contre si je veux de la terre de merde qui il y a 50 ans servait de décharge celle-ci est à vendre et pour une bouchée de pain.

Beaucoup de mes amis ont contracté des crédits immo sur 30 ans avec en moyenne des mensualités de 1000 à 1300 euros.

Je me dis que 30 ans c'est long mais au moins ils ne perdent pas leur argent tous les mois.

Moi même n'ayant pas le désire de finir ma vie dans un immeuble, je me rassure en disant qu'ils ont fait le mauvais choix.

C'est incroyable comment les prix de l'immobilier en France résistent à la crise. Je suis sur le cul car partout dans le monde ce marché vient de se prendre un claque monumentale.

On verra bien si mon choix a été le plus judicieux. Oui mon action est pervers car elle m'oblige à vouloir le malheur des autres pour pouvoir acheter à bas prix.

Je crois que c'est ce qui me gêne le plus en tant qu'homme.



On a encore besoin d'argent n'hésitez pas, MERCI !!!


http://www.fondation-patrimoine.org/fr/haute-normandie-11/tous-les-projets-550/detail-eglise-saint-martin-d-armentieres-sur-avre-14597

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"Je reste dans la recherche de bonnes terres agricoles mais quel parcours du combattant pour trouver de la bonne terre. Incroyable !!! par contre si je veux de la terre de merde qui il y a 50 ans servait de décharge celle-ci est à vendre et pour une bouchée de pain."
Oui, il est difficile de trouver de bonnes terres agricoles. Sur ce sujet, je suis désormais plus au fait, et je vais vous partager ma récente expérience, expérience qui se déroule en Centre-Bretagne, et qui donc peut être bien différente selon l'endroit où se localisent ces terres.

Premièrement :
il faut savoir qu'ici, la terre lorsqu'elle est à vendre (rare) est presque aussitôt déjà vendue.
En effet, les porchers se jettent dessus pour augmenter leur plan d'épandage (lisier) et leur permet donc d'augmenter leur production, et d'avoir de la nourriture (maïs et céréales) en plus et qui coûte moins cher que l'aliment vendu par les coopératives. Les prix flambent donc rapidement, et autant dire qu' elle s'arrache!
La S.B.A.F.E.R commence à mettre le Hola, car si ça continue, on se dirige droit vers des fermes monstrueuses.
Chez les producteurs de lait, c'est la même chose, car avant 2014 certaines parcelles permettaient d'augmenter les quotas (quantité de production) de lait. Désormais les quotas étant illimités, il faut bien des terres pour nourrir toujours plus de bétail, pour produire toujours plus de lait. Mes parents sont bien contents de quitter ce systeme devenu fou (retraites dans 7 ans). Ma tante (qui travaille avec eux) a 42 ans et arrêtera son activité en même temps qu'ils partiront à la retraite. Quant à mon frère et moi, mes parents nous en ont bien dissuadés de reprendre l'affaire, et je les comprend !
Deuxièmement:
- Il faut savoir qu'il y a des gens qui sont prioritaires pour l'achat de ces terres.
Pour les terres, appartenant à un particulier et exploitées par un agriculteur. Le particulier vendeur devra donner priorité à l'agriculteur. Le notaire lui envoyant une lettre le prévenant de cette vente avant tout le monde.
Troisièmement :
- L'agriculteur ( si la terre ne lui appartient pas) aura le droit de continuer a exploiter la terre, quand bien même cette terre change de propriétaire. Les actions en justice pour faire exécuter une fin de bail sont très longues (cour d'appel, cassation, ect...)
A titre d'exemple, mon oncle qui n'est pas agriculteur mais propriétaire de 10 hectares, n'a pas pu obtenir l'exploitation de sa propre terre bien qu'étant marié à ma tante agricultrice. Après plus de 10 ans de "justice" l'autre agriculteur conserve le droit d'exploiter jusqu'à sa retraite.
Quatrièmement :
Bien des terres sont des propriétés foncières en indivision (plusieurs personnes propriétaires), lorsqu'une personne souhaite se séparer de sa part. Les autres propriétaires sont privilégiés pour l'acquisition de cette parcelle. Viennent ensuite les héritiers de ces proprios.
Pour l'agriculteur exploitant, rien ne change quant à l'exploitation de cette terre, changement de propriétaire ou pas, qu'il soit lui même proprio de cette terre, en partie, ou pas du tout.

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Suite de mes explications
Cas concret et véridique: parcelles pour une surface totale de 1 ha 84 a. Lors de partages datant du temps de mon arrière grand mère, une moitié a été donnée à la famille G composée de 2 membres. Donc 1 quart plus 1 quart. L'autre Moitié a été donnée à la famille N composée de 5 membres ( ma grand mère et ses 4 frères) et est donc divisé en 5. Ma grand mère a donc 1/10ème de cette parcelle (suivez toujours?).
Un des 2 membres de la famille G décède. L'héritage revient à ses 2 filles, car il était divorcé. Ces 2 filles veulent vendre leur part. Le notaire prévient donc tous les autres propriétaires comme quoi, un quart indivis leur est proposé à la vente.
Et c'est seulement si aucun des proprio n'est acheteur (cas rare), que les héritiers directs de ces mêmes proprios sont contactés prioritairement. Les enchères sont de mise comme dans n'importe quel vente de ce type.
Pour info, Mes parents exploitent et exploiteront donc cette terre jusqu'a leur retraite.
il y a donc 4600 m2 proposé à la vente pour un début des enchères à 3 000 Euros. ça fait un prix à l'hectare de 6 500 Euros sans compter les frais de notaire. Ca peut vous paraitre cher, mais par ici c'est les prix pour une terre sans roche, cultivable, bien exposée, non inondable et comportant des talus de chênes. De plus les agriculteurs et porchers dans le coin, ça ne manque pas...
Ma gand mère de 84 ans en est toute retournée, car elle pressent qu'il y aura environ 20 hectares dans le même cas que ci-dessus.
Et en bonne Bretonne têtue qu'elle est, elle fera tout pour obtenir ces 5 hectares supplémentaires avant sa mort, selon ses propres mots.
Elle est consciente qu'elle n'a pas forcément ces 30 000 euros minimum (c'est une somme) et étant très réceptive à mon message contrarien, elle m'a proposé de lui venir en aide financièrement si le besoin s'en faisait sentir. Moi qui souhaite justement débancariser intéligemment, j'accepte bien sûr. Je l'ai suffisamment entendue parler de la misère que ses parents ont connues (vers 1930), et comment on s'en est sorti en 4 générations. Il y a toujours eu cette volonté farouche, que les biens ( que se soient des meubles, de l'immobilier, de la terre) resteront dans la famille, et je tâcherai de ne pas déroger à la règle. Je sais d'où vient ma famille...
Tout ça pour vous dire, que les terres agricoles sont difficilement accessibles pour le commun. Avoir des parents ( ou grands parents) déjà proprio et dans le milieu aide beaucoup.
Ou alors il faut être la famille la plus riche de France et s'appeler Dreyfus pour se payer la forêt de Lanouée en Centre Bretagne.
http://fr.wikipedia.org/wiki/For%C3%AAt_de_Lanou%C3%A9e
ou dans la rubrique évolution http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Louis-Dreyfus

Mais je me pose quand même des questions, dans mon coin il y a encore pas mal d'agriculteurs, mais la moyenne d'âge de ceux ci est d'environ 50 ans, ça me fait dire que le nombre de parcelle de terre à la vente pourrait exploser d'ici 10 ans, et les prix baisser terriblement...je ne parle même pas de l'immobilier...
Je rappelle qu' un agriculteur, c'est au moins 10 emplois ( les comptables, contôleurs laitiers, chauffeurs d'ETA, ouvriers de l'agro-alimentaires, commerciaux de matériels, mécaniciens, négociants, distribution, fainéants de la MSA ect..)
Mais je reste persuadé que dans d'autres coins comme le centre de la France, bien des terres agricoles et boisées doivent être plus facilement acquises (prix, facilités d'achat). Renseignez vous.
C'est pour cela que lorsque vous vous rendez chez le notaire, vous ne verrez que des annonces immobilières, et de terrains...à bâtir ! Et jamais de terres agricoles.
Ici en Bretagne, pour tous ceux qui ne sont pas du milieu agricole ou issu de ce même milieu, c'est cuit ! On ne laissera rien aux nouveaux, et encore plus à ceux qui nous exploitent, où nous ont exploités. On s'est fait avoir avec les coopératives agricoles et autres semenciers, maintenant fini de rigoler! On vendra même notre culotte s'il le faut pour préserver nos biens et actifs tangibles de la spoliation de ceux qui font du fric sur notre dos.
L'adage est connue mondialement" la terre revient à ceux qui la travaille". Je l'ai déjà dit ici, les ploucs auront leur revanche tôt ou tard...
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@ Stêr Arc'hant

Merci pour vos commentaires.

Il y a 15 ans j'ai voulu devenir agriculteur mais on m'a vite déconseillé de faire ce métier.

On m'a dit qu'il fallait au minimum pour démarrer au moins 150 hectares. Produire du lait étant devenu très peu rentable.

A l'époque, n'ayant aucun apport j'ai dû modifier mes projets.

En Normandie comme en Bretagne, le système d'acquisition des terres agricoles semble le même. Bien souvent, on reste dans l'ignorance d'une vente imminente et quand on l'apprend il est déjà trop tard.

Personnellement, la région Normandie est saturée. Impossible de trouver une bonne quantité de terre à acheter sauf si vous avez de la famille sur place (déjà propriétaire de terres agricoles) ou des millions à dépenser.

Je vous rejoins parfaitement dans votre analyse.

Dernièrement, on m'a fait part d'une éventuelle subvention pour les agriculteurs qui laisseraient leurs champs de culture en prairie. En Normandie, c'est le maïs qui connaîtra une baisse dans son exploitation.

Vous voyez, je suis dans un immeuble à environ un kilomètre du périph et pourtant je connais beaucoup de monde et dans des domaines très variés.

Voici une règle durable pour la survie: "Je t'aide tu m'aides, je te défends tu me défends, et on vit heureux !!!"

Bonne soirée.



On a besoin d'argent n'hésitez pas, MERCI !!!

http://www.fondation-patrimoine.org/fr/haute-normandie-11/tous-les-projets-550/detail-eglise-saint-martin-d-armentieres-sur-avre-14597

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Pas de crédit pour un appart en ville c 'est logique !
Mais sans crédit pas de maison à la campagne pour le commun des mortelles .
Ne cherche pas l 'excellence comme certain ;)
Trouve toi une vieille baraque à rénové , à la campagne le puits et le potager sont souvent inclus avec . Paye un pot de temps en temps aux vieux du bourg pour avoir des infos , si tu veux plus de terre .
Maintenant le but n 'est plus de s' enrichir mais de s' en sortir !
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@ lemousquetaire

"Pas de crédit pour un appart en ville c 'est logique !"
-Enfin quelqu'un qui pense comme moi, ça fait plaisir !!! Après un crédit pour de la bonne terre bien riche pourquoi pas ???

"Ne cherche pas l 'excellence comme certain ;)"
-Avec seulement le BEPC, c'est certain que je ne suis pas le meilleur sur le papier, mais ce n'est pas à ça que je juge les gens.

"Maintenant le but n 'est plus de s' enrichir mais de s' en sortir"
-L'argent ne m'intéresse pas mais la qualité de vie est une richesse qui n'a pas de prix !!!

Merci pour votre réponse !!!
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Comme je le disais précédemment, je me pose quand même beaucoup de questions.
Sur la commune de mes parents, sur environ 30 exploitations, il risque d'en avoir plus que 2 dans 15 ans. Et ces 2 exploitants travaillent seuls, et je ne les vois pas embaucher...
La question est qui rachètera toutes ces terres détenues par les agriculteurs?
Car qui dit départ d'agriculteurs en retraite, dit renouvellement de bail et/ou vente...
Est ce les personnes déjà propriétaires, sera ce les descendants de ces agriculteurs, ou héritiers de ces propriétaires, sera ce qui veut bien s'en porter acquéreur (tout le monde), sera ce de grands groupes coopératifs, sera ce la grande distribution????
Dans mon coin, des coopératives comme la COOPERL achètent des élevages de porcs en faillite et transforment les éleveurs de porcs en salariés...
Le méga abattoir Kermené située à Collinée (22) appartient à Leclerc, qui nous dit qu'eux aussi ne vont pas provoquer des faillites pour ensuite produire, abattre, découper et vendre. Bref prendre le contrôle de toute la chaine...
En tant que contrarien, j'envisage toujours le pire !
Si les 2 derniers cas venaient à arriver, je pense que des propriétaires vendeurs préfèreraient que leurs terres soient vendues à des particuliers.
Mais bon, quand on voit ici ce qui s'est passer pour l'immobilier, avec une multitude d'acheteurs britanniques, on se dit que les vendeurs vendront de toute façon au plus offrant.
Tout le monde semble s'en foutre, mais moi je m'interroge sur l'avenir de ces nombreuses petites fermes familiales vouées à la disparition. Et les conséquences sur le prix des terres. Car c'est imminent, 10 ans tout au plus.
Il faut savoir que le loyer de ces terres à un exploitant est dérisoire, et l'amortissement est beaucoup plus long que pour de l'immobilier. Tout en sachant que les taxes foncières peuvent augmenter, et donc augmenter encore la durée d'amortissement.
Mais la terre, tout comme l'eau, c'est la vie. C'est donc indispensable. Vous avez de la terre, vous aurez à manger, c'est pas plus compliqué!
Bon courage dans vos recherches !
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@ Stêr Arc'hant

Je sais que beaucoup d'agriculteurs s'associent en coopérative. Ils forment ainsi des sociétés agricoles immenses.

Les petites exploitations sont vouées à disparaître, seules les grandes fermes survivront. Pour les producteurs de lait, 100 vaches n'est pas un nombre isolé, ça devient même de plus en plus courant.

Vous savez vous installez un collier sur chaque bête et vous pouvez tout ou presque contrôler.
La production individuelle de la vache avec rendement, quand celui-ci vient à baisser je ne vous fais pas un dessin concernant le devenir de l'animal.
Le distributeur de nourriture, où la bête se présente et reçoit sa ration de maïs ou autre complément.
Les tracteurs qui travaillent avec des GPS et qui seront bientôt automatisés.

Ils est possible que ces terres, qui seront dans plusieurs années en vente, se retrouvent achetées par de grandes sociétés agro-alimentaire afin d'asseoir leur disponibilité en matière première type blé orge etc... et au prix qu'elles auront fixé. (Danone, LU...)
C'est d'une logique implacable.

Je crois que c'est déjà arrivé avec l'argent métal. Ce n'est pas Google?, Microsoft? ou Apple? qui ont acheté de l'argent pour ne pas subir une éventuelle pénurie?????? Je ne m'en souviens plus.

Je cherche un terrain depuis 2 ans sans résultat. J'ai failli en acheter un pour 4000 euros les 6000m2 mais au final le vendeur en voulait 15000.
Mon but est 1000 m2 de jardin pour deux personnes. C'est une bonne moyenne pour diversifier son alimentation.

Merci pour ces échanges et bonne nuit.
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L'idéal est de ne pas avoir à subir ça :
http://www.francetvinfo.fr/monde/grece/video-athenes-des-grecs-se-bousculent-pour-en-distribution-gratuite-de-nourriture_589307.html
Donc sachons nous débrouiller et anticipons. Cette crise ou plutôt ce changement de système risque de durer...
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On peut avoir besoin de 150Ha pour faire de la merde et payer tout ce qui va avec.
On trouve des maraîchers bio rentables à partir d'un seul hectare et les permaculteurs disent faire dix fois mieux.

Dont un grand jardin suffit à nourrir la famille, inviter, donner autour de soi.
Un peu plus grand, on se chauffe et on laisse paître un grand animal.

Si la terre agricole est trop règlementée, cherchez de la forêt... où il n'est pas encore interdit de cultiver!
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@Stêr Arc'hant

Pour les 4600 m² à la vente
(dans votre "Suite de mes explications", beaucoup plus haut sur ce fil),
deux chiffres apparaissent :
3000 et 30 000 euros.
Quand j'ai vu 3000, j'ai fait un beau bond sur ma chaise
(faites gaffe, comme tout le monde j'ai un coeur qui peut s'arrêter
d'un moment à l'autre !).
30 000 euros est plus vraisemblablement le bon chiffre.

En tout cas, chapeau pour ce souci d'exhaustivité, de transparence,
et toutes ces informations très enrichissantes.
Pour ma part, j'ai bu votre prose comme du petit lait
(ou plutôt comme un bon whisky de 12 ans d'âge).
C'est rare que je félicite - vous avez dû remarquer -
mais, là, la prestation le mérite amplement.
Un "plouc" (sic) qui se décarcasse de l'expression, ça dépote !

Salutations d'un autre plouc,
d'un tout autre coin de la France



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Il n'y a pas d'erreur dans les chiffres donnés :
- 3 000 euros les 4 600 m2
- et environ 30 000 euros les 5 hectares (le 1/4 indivis des 20 hectares pouvant être mis à la vente par la suite )
Merci d'être venu à bout de mes pavés...

Aouche !
6500 euros l'hectare et vous trouvez ça "cher" ?
En Région Rhône-Alpes, dans certains départements,
le prix à l'hectare des terres agricoles est 10 fois supérieur à cela.
... D'où le malentendu.

Il faut dire qu'il suffit parfois d'un changement de P.L.U.
pour que lesdites terres passent en constructibles,
et alors là c'est 100 à 150 euros le mètre carré,
soit 1 500 000 euros l'hectare
- le jackpot, quoi !

OK, je n'étais pas tout-à-fait sur la même longueur d'ondes.
... Trop la tête dans le guidon des prix entre Lyon et Marseille.

Merci de la rectif,
et désolé de la boulette.

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"mais au moins ils ne perdent pas leur argent tous les mois."

Certes!
les 10-15 premières années de remboursement ils versent 98% d'intérêts?
En cas d'accident de paiement et de saisie ils n'auront commencé à être propriétaire qu'à hauteur de 2%?
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Juste une idée, courte j'en conviens: Si on avait le droit de gagner de l'argent, on aurait de quoi se débrouiller. De là à imaginer que l'Etat n'a pas intérêt à ce qu'on ait le droit de gagner de l'argent ... Read more
PICKENDORF - 5/7/2014 at 11:52 AM GMT
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