La Grèce semble être une cause perdue. Tout le monde sait qu’une faillite partielle ou totale est inévitable.
Il est de plus en plus évident que l’Europe va devoir trouver une soution. Vite. Ou les choses vont commencer à déraper.
Car pour autant qu’il apparait possible de trouver une solution pour circonscrire les dégats que pourrait causer un défaut de la Grêce, il n’en va pas de même pour l’Italie, dont les taux à 10 ans viennent de dépasser les 10%.
La BCE va devoir bientôt sortir son carnet de chèques et en écrire de nombreux en blanc.