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Il est parfois nécessaire de
prendre un peu de recul et d’adopter une autre perspective. Comme je l'explique dans mon livre Splitting
Pennies - le monde n'est pas toujours ce qu'il paraît être à premier
abord. Ce qui se passe aujourd’hui est largement la conséquence de ce qui
a été commencé par une génération précédente il y a 50, 60 voire 70 ans. L’histoire
moderne, et notamment celle des Etats-Unis, devrait être observée à partir
des années 1950, à la fin de la seconde guerre mondiale. L’élément le plus
significatif de la société globale est possiblement la première forme d’Intelligence
artificielle : la Machine. La Machine, d’abord qualifiée par Eisenhower
lors de son discours d’adieu de « complexe militaro-industriel »,
et plus tard qualifiée plus simplement de « Machine » par Pink
Floyd – est une forme d’Intelligence artificielle extrêmement dangereuse pour
la survie de la race humaine, sans mentionner les ressources économiques et
autres. Economiquement parlant, pour ce qui est du complexe militaire, il
semblerait qu’il y ait véritablement une théorie de la conspiration au
contrôle des pays les plus puissants du monde, parce que l’industrie
militaire ne fait que détruire. Elle ne crée rien du tout.
La bataille entre la Machine et
le Peuple s’est développée aux Etats-Unis dans les années 1950 et a atteint
son apogée dans les années 1960 avec le mouvement pour la défense des droits civils.
Des camps se sont formés, et la société s’est trouvée polarisée. Les intérêts
communs se sont alignés. Les grosses entreprises se sont alliées à la Machine
parce qu’elles ont perçu en elle une grande opportunité de profit et de
contrôle des consommateurs. Il est important d’avoir cette perspective. J’écris
souvent sur la CIA, sur les grosses banques – toutes sont des rouages de la
Machine, qui dispose de sa propre intelligence. Cette intelligence n’a rien
de complexe, contrairement à celle récemment développée dans le domaine
informatique. Elle a un objectif très simple – s’élargir, survivre, croître
et évoluer. Les dommages collatéraux en termes de vies humaines n’ont aucune
importance. La destruction de la société, la destruction de la planète n’a
aucune importance pour la survie de la Machine. Ceux qui tirent profit de la
guerre sont les hôtes d’un virus, qui perpétuent ses opérations.
Bien évidemment, le meilleur
exemple de rouage de cette Machine est la CIA, bien qu’elle n’en soit ni le
seul ni le plus important. D’autres hôtes de ce virus, tels que les forces de
Black Lives Matter et autres forces destructrices des médias sociaux, sont
plus significatifs encore, simplement parce qu’ils sont sur l’avant de la
scène et entravent toute tentative de domptage de la Machine. Intellectuellement
et académiquement parlant, la meilleure explication nous est donnée par Noam
Chomsky, dont vous pourrez trouver le dernier livre
ici.
La Machine en est aujourd’hui à
sa troisième ou quatrième génération, et les agents aujourd’hui à son service
ne comprennent évidemment pas leur travail. Ils ne sont que des employés
gouvernementaux sans capacité de réflexion, des employés éduqués par la
violente culture programmée par Quentin Tarantino, comme Rick Perry qui a accepté un poste avant même de savoir
de quoi il s'agissait. Le gouvernement est devenu si large et si
inefficace que si 90% en était détruits, tout pourrait encore parfaitement
fonctionner. Mais le gouvernement ne fonctionne plus pour le peuple. Il est
au service de la Machine. Il est injuste de dire que des individus ou des
groupes spécifiques sont la seule cause du déclin des Etats-Unis – ce ne sont
pas les globalistes, ce ne sont pas ceux qui délocalisent qui sont en tort. La
situation est bien plus compliquée que ça, mais très franchement, même les
Etats-Unis n’ont aucune importance pour la Machine. Il se trouve simplement
que les Etats-Unis aient eu et ont toujours l’industrie militaire la plus
financée et la plus technologiquement développée au monde. Tout n’est que
question de positionnement stratégique. Les Etats-Unis ne sont pas le pays le
plus puissant au monde en raison de leurs libertés et de leurs idéaux. Ils
ont simplement tiré un avantage stratégique de la seconde guerre mondiale,
qui leur a permis de devenir une superpuissance et de créer la Machine qui
opère aujourd’hui à l’échelle globale.
Facebook est le nouvel outil du
contrôle social. Pendant les années 60, 70 et 80, la CIA a popularisé les
drogues et de nombreuses maladies telles que le Sida pour prendre le contrôle
sur la population, sans oublier les méthodes telles que Chemtrails. Facebook
est la drogue de notre ère – quelle pourra bien être la prochaine ? La Darpa nous en donne un aperçu.
C’est là ce contre quoi se dresse
Trump. Et bien que politiquement, il ne soit personne, bien qu’il ne soit pas
allé dans les bonnes écoles et ne fasse pas partie de la société secrète, Trump
appartient à la Machine – bien qu’il en soit un rouage en faillite, qui a dû
avoir recours à son image de star de la télévision pour établir sa « marque ».
Peut-être est-ce là la raison pour laquelle il est facile pour l’homme du
peuple de s’identifier à Trump. Lui aussi a aussi été recraché par la Machine
de différentes manières. Trump ne sait pas ce à quoi il s’oppose. Il nous
faut réaliser, au vu des files de zombies dans les bâtiments de Bank of
America et au Drive de McDonald’s, que ce qui est en jeu pour améliorer la
vie des Américains n’a rien à voir avec la politique, ou encore avec les
libéraux et leurs idioties. La Machine est bien plus importante encore, et
est employée par les deux partis, Démocrate et Républicain – riches et
pauvres. Ce sont là les lignes de division que l’élite ne veut pas que nous
percevions. Tant que les Noirs s’opposeront aux Blancs, tant que les femmes s’opposeront
aux hommes, tant que les homosexuels s’opposeront aux hétérosexuels – les plans
de division de l’élite pourront porter leurs fruits.
La Machine se propage aujourd’hui
au travers des médias sociaux – et de la plateforme qui héberge les fausses
actualités - Facebook.
Welcome my son, welcome to the machine
Where have you been?
It's alright we know where you've been
You've been in the pipeline, filling in time
Provided with toys and 'scouting for boys'
You brought a guitar to punish your ma
And you didn't like school, and you
Know you're nobody's fool
So welcome to the machine
Welcome my son, welcome to the machine
What did you dream?
It's alright we told you what to dream
You dreamed of a big star
He played a mean guitar
He always ate in the Steak Bar
He loved to drive in his Jaguar
So welcome to the machine
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