Recevez notre Marketbriefing
BA
Member since October 2012
659 commentaries - 14 followers
14 followers
has posted a comment on the article :
>Christine Je T’aime !  - Charles Sannat - AuCoffre
Mardi 18 juin 2013 :

François Leclerc écrit :

il n’est pas inutile de lancer un pavé dans la mare, comme vient de le faire le quotidien financier français « Les Échos ». L’ensemble des structures de défaisance (bad banks) créées en Europe depuis le début de la crise logerait actuellement, selon ses calculs, environ 1.000 milliards d’actifs douteux ou illiquides (invendables). L’hypothèse d’une bombe à retardement est évoquée par un journal qui ne verse pas dans les titres à sensation en règle générale.

Quel est en réalité le choix qui se profile, que les débats en cours n’explicitent pas ? Il n’y a à terme que deux solutions :
- soit les États porteront la charge financière de ces pertes,
- soit le système financier risquera de s’écrouler si les créanciers et gros déposants sont fortement impliqués, car les banques sont débitrices ou créditrices entre elles.

On croit dans ces conditions deviner par avance la tournure que ces discussions prennent – le recours aux finances publiques – avec la circonstance aggravante d’une absence de mutualisation de la dette entre les États, ou de son plafonnement si le MES intervient. Ce qui aura comme conséquence d’amplifier les déséquilibres au sein de la zone euro, d’augmenter la dette publique et d’alourdir la charge du désendettement, avec comme seule solution de rallonger encore son calendrier déjà étiré. Ou bien même de rendre insolvables des États, avec comme seule issue de restructurer leur dette. En prenant leurs distances avec le FMI, qui le souligne avec l’exemple de la Grèce, les autorités européennes se voilent la face une fois de plus. Telle est la dynamique dans laquelle nous nous trouvons, si rien ne vient l’interrompre.

http://www.pauljorion.com/blog/?p=55020


Commented
3978 days ago
-
Send
Beginning of the headline :Mes chères contrariées, mes cherscontrariens ! Oui mes chères amis, aujourd’hui, dans ce monde financier de brutes, j’avais envie de faire une déclaration d’amour (pas à ma femme mais elle ne m’en voudra pas pour cette fois). Une déclaration d’amour à Christine Lagarde. Je t’aime Christine, toi qui inspires tant d’éditos et qui me viens en aide grâce à ton humour impayable les jours où l’inspiration me manque... Read More
Reply to this comment
You must be logged in to comment an article8000 characters max.
Log in or Sign up
Top articles