Recevez notre Marketbriefing
In the same category
ELS
Member since May 2012
712 commentaries - 26 followers
Follows 21 members
26 followers
has posted a comment on the article :
>Les temps sont durs pour les banques  - Ron Paul. - Ron Paul
Votre approche est inexacte et ne correspond pas à la réalité (Dans un sens, les bénéfices vont dans la poche des actionnaires ; dans l'autre, les pertes sont essuyées par les salariés. Il s'agit d'un rapport de domination. Dire que l'un compense l'autre n'a aucun sens).

Les actionnaires apportent du capital, les salariés apportent leur force de travail.

Il est incorrect de dire que les uns dominent les autres. C'est simplement un rapport d'offre et de demande. S'il y a beaucoup de demandeurs d'emploi et peu de capital, les salaires sont bas, regardez en Afrique du Nord et dans tous les pays sous développes.

Si il y a beaucoup de capital et peu d'offre de travail, la rentabilité du capital est faible et les salaires sont hauts, regardez notre monde occidental ou les pays nordiques.

Si tout est fait pour baisser ou limiter la rentabilité du capital, celui ci disparait, ou va s'investir ailleurs, où sa rentabilité sera supérieure.

C'est le cas de l'occident depuis des dizaines d'années, les capitaux partent parce que mal traités, trop fiscalisés et insuffisemment rentables mais les salariés restent, résultat les salaires baissent.

Tenter de remplacer le capital par de la dette comme le font nos gouvernements et banques centrales ne règle pas le problème, regardez en les conséquences actuellement.

En revanche, dans les pays en voie de développement où le capital est en train de s'investir, les salaires montent à toute allure, regardez en Chine.

C'est la raison pour laquelle notre pays est en voie de sous développement rapide, et que le niveau des salaires réels va continuer de s'éroder, voire de s'effondrer, dans les années à venir.

Il n'y aura pas de capitalisme ni de prospérité sans capitaux.



Commented
4506 days ago
-
Send
Beginning of the headline :La situation économique globale se détériore chaque jour. Approximativement la moitié des banques Américaines est significativement exposée à la crise de la dette Européenne. Encore plus dangereux pour le contribuable, le dollar est la devise de référence mondiale, et la Fed le prêteur de dernier recours. Comme nous avons pu le voir dans de récentes révélations, ce recours la Fed n’a pas uniquement bénéficié... Read More
Reply to this comment
You must be logged in to comment an article8000 characters max.
Log in or Sign up
Top articles