Recevez notre Marketbriefing
Phoenix1
Member since January 2014
374 commentaries - 2 followers
2 followers
has posted a comment on the article :
>"Tu ne voleras pas", mais, malheureusement ...  - Georges Lane - 
@ Code barre,

"Les accusations sans preuve, tu fus la championne, un temps..."

Hmmm ! Rancunier ?

Lorsqu'il y a un "faisceau de présomption", c'est considéré comme preuve (cf. : http://fr.wikipedia.org/wiki/Preuve). Pour ma part, je persiste et signe. Mais bon, on ne va pas refaire le procès du hacking, à force, ça use.

"lls ont abîmé la femme que j'ai le plus aimée au monde."

Et depuis lors vous avez pris la décision inconsciente de ne plus jamais aimer... je me trompe ?

C'est une bonne raison de les détester et je suis TRES SINCEREMENT désolée pour vous. Je peux parfaitement concevoir que la perte d'un amour est la pire des choses qui puisse arriver à quelqu'un et que c'est le genre de blessure qui peut ne jamais se refermer à moins de travailler à fond sur cette question et d'arriver à lâcher prise.

Souvent, dans de tels cas, ce qui pose problème, c'est qu'on ne s'est pas pardonné à soi-même de n'avoir pas pu empêcher cela d'avoir lieu... Autrement dit, on est trop dur avec soi-même car on se juge "mauvais compagnon" ou "mauvais mari" ou "mauvais parent" ou "mauvais frère" ou "mauvaise soeur" ou "mauvais n'importe quoi" et c'est parce qu'on ne se pardonne pas à soi-même ce qui est arrivé que la blessure n'arrive jamais à se refermer. C'est le même cas de figure avec le suicide ou la dépendance à des substances addictives d'un proche.

Quand on est longtemps en colère contre quelqu'un ou quelque chose, c'est parce que cela résonne avec un sentiment non digéré que nous avons en nous (on se sent coupable d'une chose dont on n'est pas forcément coupable). C'est toujours plus facile de remettre toute la responsabilité sur autrui que de nous regarder en face et d'accepter que nous ne sommes pas tout puissant et qu'il y a des choses que l'on ne peut pas empêcher car elles ne dépendent pas QUE de nous. Et quand bien même aurions-nous une part de responsabilité, nous devons alors nous pardonner en acceptant que nous ne sommes pas parfaits. --> Ho'oponopono. Désolé. Pardon. Merci. Je t'aime (à soi-même). Si l'être humain était parfait, ça se saurait. Je sais, c'est plus facile à dire qu'à faire et donc, ça se travaille... tous les jours.

Il ne faut jamais perdre de vue que chaque victime est "partiellement" consentante (du moins pour les adultes qui ont les moyens de se défendre; les enfants et les "innocents", je ne pense pas qu'ils aient vraiment le choix). Chacun d'entre nous a en lui les ressorts nécessaires pour faire les choix qui lui conviennent. Et certains choix inconscients dépendent du vécu antérieur de la personne; de choses vécues que l'on ne connaît peut-être même pas et/ou que la personne a totalement refoulées pour ne plus en souffrir consciemment.

Nos expériences, quelles qu'elles soient, existent pour nous faire prendre conscience de choses inconscientes. Une fois celles-ci remontées à la conscience, elles ont fini d'influencer nos comportements et/ou croyances.

"il y a prosélytisme occulte, le pire !"

Je pense qu'aucun prosélytisme, même occulte, ne peut influencer quelqu'un qui réfléchit par soi-même. Il peut faire réfléchir sur certains points, mais il ne peut pas embrigader quelqu'un pour le phagocyter intellectuellement dans une doctrine.

Quant à celui qui tombe dedans, c'est souvent par "faiblesse", mais cette "faiblesse" n'est pas là sans raison. Elle doit être identifiée par celle/celui qui en est atteint pour avancer. Après, cela fait partie de son parcours et de son évolution. Soit il en sort, se reconstruit et se renforce (c'est que cela faisait partie de son parcours); soit il reste dedans (et cela aussi faisait partie de son parcours et de ses choix).

Pour le reste, je pense que l'Humanité se portera mieux lorsqu'elle aura appris à accepter les choix de chacun et c'est à tous les niveaux (politique aussi, c'est juste un autre "domaine" comme dirait Taleb).

Le problème de beaucoup d'entre nous, c'est de vouloir surprotéger ceux qu'on aime parce qu'on pense (erronément) que cette personne n'est pas capable de faire les bons choix pour elle-même. Or, ce faisant, nous ne faisons que penser à NOUS. On empêche l'autre (notre mari, notre femme, nos enfants, nos "vieux" parents que l'on enferme dans des homes, nos "petits" frères, nos "petites" soeurs, etc.) de faire ses expériences parce qu'on a peur qu'il nous échappe (par la mort ou l'éloignement) comme s'il nous appartenait. Et si ça arrive, notre égo nous fait croire inconsciemment que C'EST DE NOTRE FAUTE parce que nous ne sommes pas assez dignes d'être aimés (parce que depuis tout petit, dès qu'on décevait nos parents ou la maîtresse d'école, on nous a fait CROIRE que nous étions "méchants" et indignes d'amour) ! Finalement, le noeud du problème, c'est que nous sommes TOUS des abandonniques à des degrés divers.

Or le véritable amour du coeur, c'est d'accepter l'inconnu, le risque de la perte et de laisser chacun faire son expérience sans entrave, lui laisser sa liberté et ACCEPTER ses choix. C'est le meilleur moyen d'évolution. Car on a beau partager notre expérience, notre savoir, notre sagesse avec autrui, ce n'est toujours que SON expérience à lui qui lui fera comprendre ce qu'il a à comprendre de la vie et de lui-même. Chacun avance/évolue à son propre rythme et au gré des rencontres et des échanges que la vie lui offre.

Vous êtes le champion toutes catégories des agressions sur ce site et pourtant, je pense que vous êtes quelqu'un d'extrêmement sensible du genre écorché vif. Vos attaques perpétuelles et vos provocations rabelaisiennes, outre le fait qu'il s'agisse sans doute de votre job, représentent aussi une excellente protection psychologique. Se faire détester par tous est très confortable car on ne risque jamais de décevoir. Le personnage fixé une fois pour toutes, il n'y a donc aucun risque de devoir se remettre en question.

Quand on est dans la lutte et l'agression, on risque moins de se faire mal que lorsqu'on est dans l'amour qui fait obligatoirement mal le jour où il disparaît. En même temps, c'est se refuser de vivre des moments inoubliables pourtant bien utiles lorsqu'arrivé à la fin de sa vie on veut pouvoir partir sans regrets. Je pense que c'est dommage... parce qu'on n'a qu'une vie (...à la fois pour ceux qui croient en la réincarnation). Mais ne vous inquiétez pas, vous n'êtes pas le seul ici à fonctionner de la sorte.

Là, je m'attends à un sacré retour de manivelle de votre part car la mise à nu est déstabilisant, met toujours mal à l'aise voire en colère, mais voilà, c'est exactement ce que je RESSENS et vous m'avez tendu la perche...

C'est vraiment bizarre... jamais je n'aurais pensé qu'un jour je vous tiendrais ce genre de propos. Il ne m'est arrivé qu'une fois de dire à un "inconnu" que j'apprécie beaucoup ce que je ressentais à son sujet. Faut croire que vous avez de la "chance" car ce genre d'inspiration ne m'est pas quotidienne et je n'ai pas le même genre de relation avec lui qu'avec vous.

;-)


Commented
3537 days ago
-
Send
Beginning of the headline :Paris, le 31 août 2014.1. "On ne fait rien sans rien", et cela depuis bien avant le temps où l'a expliqué Parménide (début VIè - finVè siècles avant J.C.)"On fait quelque chose à partir d'autres choses" malgré ce qu'a soutenu, à l'opposé, Héraclite (contemporain de Parménide) et que beaucoup disséminent aujourd'hui, en particulier, par la violence ou l'obligation.2. On fait avec ce que l'on a, à commencer par ses talents ou les marchandises, objets ou services, capital ou travail (cf. tableau ci... Read More
Reply to this comment
You must be logged in to comment an article8000 characters max.
Log in or Sign up
Top articles