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CLAUDE F
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>Les Grecs fuient les banques et ne paient plus leurs impôts en attendant les élections. Majorité absolue pour Syriza ?  - Charles Sannat - Au Coffre
Unequestion multiple se pose: Cette dette d’environ 350 milliards d'euros (175 % du PIB actuellement) était de 240 milliards en 2011 après l'intervention de N Sarkozy qui a spolié les contribuables européens de 110 milliards, est portée pour environ 250 milliards par la Troïka (CE + MES + FMI auxquels participent proportionnellement les pays de l’Euroland c'est-à-dire leurs contribuables). Cette dette a-t-elle été utilisée par les Grecs et consommée, a-t-elle été contractée sciemment par les dirigeants politiques qui savaient qu’en se mettant dans une telle situation ils ne rembourseraient jamais et là je pense à un délit (d’où sanctions pénales) (d’où d’ailleurs l’expression du « Tonneau des Danaïdes) ?
Maintenant la Grèce ne quittera certainement pas la zone euro, trop généreuse, M Tsipras le sait et que peut-il faire ? Renégocier cette dette (partiellement ou totalement) en allongeant la maturité de celle-ci et surtout en demandant une baisse du taux d’intérêt de cette partie de dette détenue par la Troïka, par exemple à zéro. Ainsi la charge annuelle de la dette disparaissant, les impôts induits sur le peuple s’allègent et le montant dû rencontrera bien un jour l’inflation, de toutes manières on déplace le problème dans le temps avec l’espoir de la grâce des dieux de l’Olympe ou de faire peser à terme le poids sur les générations à venir avec les problèmes (patate chaude) reportés.

La vraie solution serait d’interdire aux états d’emprunter, car nous le savons tous, ils sont très inconséquents avec notre argent.
L'histoire malheureusement se répète


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3384 days ago
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Beginning of the headline :Mes chères contrariennes, mes chers contrariens ! Comme vous pourrez le voir à la fin de cet article, l’un des derniers sondages montre que le parti Syriza pourrait même être en mesure de créer une surprise considérable en obtenant la majorité absolue, ce qui en Grèce, depuis le début de la crise, serait une immense première puisque ce pays est traditionnellement habitué aux accords et aux compositions entre les partis tant les majorités absolues sont rares et les majorités relatives la norme... Read More
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