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Monrose
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>Comment l’État plie lâchement devant la SNCM  - H. Seize - Hashtable
débat passionnant ! évidemment, il fallait que quelqu'un stoppe la folie révolutionnaire , le catoblépas, et qu'il consolide les "acquis " de la Révolution, c'est à dire qu'il permette à la bourgeoisie d'affaires de profiter des biens nationaux, en écartant le prolétariat ( "les égaux !" du style Gracchus Babeuf qui a sa statue contre le mur du Kremlin ). Au fond, il a fait le boulot qu'aurait dû faire Louis XVI en permettant à la bourgeoisie friquée d'accéder aux privilèges et en rabaissant le caquet de la Cour et du Parlement qui ne voulaient rien comprendre. En fusillant le malheureux Duc d'Enghien, il leur signifiait que leur domination était terminée, ce que Louis XVIII a compris en 1816 en se débarrassant de sa "Chambre Introuvable", tellement réac qu'elle en était ingouvernable.
Par contre, la situation économique à l'origine de la convocation des Etats Généraux, non résolue par la confiscation des biens du Clergé ( Talleyrand) et la faillite des Assignats, a été réglée par le Directoire et surtout Dominique Ramel avec son 1/3 consolidé, c'est à dire, le 30 septembre 1797, un gigantesque défaut de paiement inscrit sur le grand livre de la dette publique ( ce que devrait faire Tchipras) ce qui a permis à Bonaparte de repartir sur des bases saines.
Je rappelle que Bonaparte admirait Robespierre et il disait que si on avait laissé agir l'Incorruptible, il n'y aurait pas eu besoin de son intervention.
Ceci dit, Bonaparte a bénéficié des qualités de l'Armée royale réorganisée par Louis XVI, le corps des Sous officiers , le canon de de Gribeauval, la flotte qui avait fait ses preuves dans la guerre d'Indépendance Américaine.
Quel dommage que Louis XVI n'est pas été Bonaparte !


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3205 days ago
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Beginning of the headline :Le « dossier » SNCM s’épaissit encore. Encore, parce que pour ceux qui suivent ces colonnes régulièrement et l’actualité en général, il ne sera pas difficile de se souvenir des multiples rebondissements qui se sont déjà accumulés dedans, rebondissements qui ont parsemé la vie, et surtout l’agonie, longue, douloureuse et pleine de violence, de cette société nationale chouchoutée par des syndicats maintenant prêts à tout, y compris le pire. Et si vous voulez vraiment repasser le film, glauque, de... Read More
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