Lien si la vidéo ne démarre pas : Farage on Capital Account Nigel Farage tape là où cela fait mal. Il n’y a pratiquement aucune chance pour que l’Eurozone continue dans sa forme actuelle, mais la chancelière Angela Merkel, le président du conseil européen Herman Van Rompuy, et le président de la commission José Barroso sont tout à fait d’accord pour détruire la Grece, l’Espagne et quelque pays que ce soit qui se décide de se mettre en travers de leur chemin.
Farage ne pensait pas que la Grece puisse encore être dans l’Eurozone, et moi non plus. Quoi qu’il en soit, in fine, tout ceci finira en miettes, parce que c’est la nature logique et mathématique des choses. Chaque jour qui passe est un jour de torture supplémentaire et inutile, qui n’existe que pour que les bureaucrates puissent continuer leur petit jeu.
Les quatre choses dont a besoin l’Espagne :
- Faire une croix sur l’Euro
- Réformer son droit du travail et ses retraites
- Avoir un gouvernement plus petit
- Baisser les impots.
Au contraire, suivant les mesures d’austérité mises en oeuvre, l’Espagne a des impots plus elevés, reste arrimée à l’euro, et n’a pratiquement rien fait pour modifier son droit du travail.
En conséquence, il n’y a aucun espoir pour l’Espagne. Chaque jour qui passe voit l’Espagne rester l’esclave de Bruxelles et de l’Euro, et chaque jour qui passe voit la situation de l’Espagne empirer. La Grece est le modèle qui permet de voir jusqu’où peuvent mal aller les choses.