« Il n’y a pas un pays pétrolier qui ne se fera pas prendre pour un imbécile. Les banques centrales vont vendre tout leur or, ou alors les nations vont nationaliser les mines pour les gérer à perte.
Quoi qu’il en soit, une majorité du marché de l’or papier sera honorée. Pourquoi ? Parce que si ce n’était pas le cas, le pétrole s’échangerait en or ! Je ne parle pas ici d’un embargo ou d’une hausse du prix du pétrole.
Le pétrole deviendra très peu cher pour ceux qui seront capables d’en échanger contre de l’or. Un tel contrat ne demanderait pas l’accord de tous les pays pétroliers.
Si l’un d’entre eux l’adoptait, les autres se feraient une joie de le suivre ».
Another, 1997