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Cours Or & Argent en

Marché financier ou convertibilité monétaire convenue.

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Publié le 06 mars 2013
1989 mots - Temps de lecture : 4 - 7 minutes
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Rubrique : Fondamental




Ce qu'on dénomme "monnaie" aujourd'hui a posé un problème aux hommes de l'Etat depuis toujours.

Avec la pseudo monnaie dénommée "€uro", qui a résulté de l'imagination de certains absurdistes, nous vivons le dernier grand débat en date qu'aucun marché politique ne pourra jamais résoudre.

Puissent les hommes de l'Etat le comprendre un jour, avant qu'il ne soit trop tard.


1. De Locke à Keynes.

Jusqu'au XVIIe siècle, les hommes de l'Etat avaient mis la main sur les pièces de monnaie et certains commençaient à s'accorder une banque à privilèges - qui deviendra par la suite "banque centrale" -, pour gérer leurs affaires.

A l'époque, le gouvernement des Etats Unis d'Amérique ne donnaient guère lieu à commentaire.

Quant aux pièces de monnaie, elles existaient depuis la nuit des temps, mais sous des formes limitées et de plus en plus élaborées.

En 1691, John Locke s'opposait néanmoins à Perry sur la proposition de celui-ci de faire que le gouvernement anglais fixât un niveau maximum au taux d'intérêt (cf. le texte Some Considerations of the Consequences of the Lowering of Interest and Raising the Value of Money).

A cette occasion, Locke réaffirmait sa position que la monnaie avait deux valeurs:
- l'une dite "d'échange" qui est fonction des échanges économiques - de la proportion de l'abondance, ou de la rareté, de la monnaie à l'abondance, ou à la rareté, des biens économiques - et
- l'autre dite "d'usage" qui est fonction du taux d'intérêt - revenu de même nature que celui de la terre dénommé "rente" -.


Tout cela nous est rappelé par le "magicien de Cambridge", à savoir John Maynard Keynes, dans le chapitre XXIII intitulé "Notes sur le mercantilisme, les lois contre l'usure, la monnaie estampillée et les théories de la sous-consommation" de son livre intitulé Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie.

Peu importe que Keynes nous fasse connaître son sentiment sur ce qu'il faut penser de ce qu'a écrit Locke, nous n'en avons cure.


Avec le XVIIIè siècle, les coupures de billet en papier proposés par des banques qu'on pouvait juxtaposer aux pièces de monnaie et la "révolution française"  (assignats et autres mandats) en particulier, les méfaits des billets bancaires manipulés par les hommes de l'Etat ont fait connaître leurs effets destructeurs.

Pour sa part, les Etats Unis avaient fait connaître leur Constitution.


2. Pour sa part, Vilfredo Pareto...

Avec le XIXè siècle, les dépôts bancaires qu'on juxtaposait ainsi aux pièces de monnaie et aux billets bancaires convertibles en monnaie or ou argent et la monnaie réglementée de l'Angleterre qui redevenait convertible en 1823, une sérénité monétaire semblait être revenue: les prix en monnaie des monnaies réglementées nationales restaient stables.

Et les Etats Unis se développaient.


Tout cela n'empêche pas le gouvernement de tel ou tel pays d'essayer de trouver des artifices autres que l'intérêt maximum.

N'oublions jamais que, selon Vilfredo Pareto (1896-97), à la fin du XIXè siècle:

"On a une vraie monnaie lorsque les prix résultent d'échange absolument libres [...]
Toutes les fois que cette conclusion n'est pas remplie, on n'a [...] [pas] une vraie monnaie. §270
 [...]
Toute monnaie qui n'est pas de la vraie monnaie est ou de la monnaie fiduciaire ou de la fausse monnaie.
C'est de la monnaie fiduciaire si chaque individu l'accepte et la donne de plein gré [...]
C'est de la fausse monnaie si elle est mise en circulation ou maintenue en circulation par la fraude ou par la violence, même légale. §271
 [...]
Entre la monnaie fiduciaire et la fausse monnaie monnaie se trouve la monnaie qui a cours légal, mais qu'on peut changer à volonté au pair contre la vraie monnaie. §274
 [...]
Le cours forcé de la monnaie fiduciaire peut s'établir de deux manières.
En obligeant les créanciers à la recevoir tout en laissant libres les débiteurs de payer en monnaie métallique si cela leur convient;
ou bien en obligeant les débiteurs à employer la monnaie fiduciaire et les créanciers à la recevoir. §498"

Ce dernier point est très important: la réglementation des créanciers ou des débiteurs en matière de cours forcé de la monnaie fiduciaire rejoint l'intérêt maximum.

Plutôt que de parler de l'intérêt maximum, on pourrait parler de cours forcé d'une monnaie fiduciaire ou, plus simplement, de fausse monnaie, ce qu'on connaît aujourd'hui.


De même que Keynes n'évoquait pas Pareto dans son livre, de même il a oublié de faire le point sur tous les excès qui ont contribué à détruire ce qu'il dénommait, malgré tout, en 1936, près de 250 ans après Locke, "monnaie" et qu'une connaissance minimum des écrits de Pareto lui aurait évité.


3. Quantité de pièces de monnaie et d'autres formes de monnaie.

Keynes avait oublié encore de dire qu'en 1691, la monnaie dont parlait Locke était une quantité de pièces de monnaie - en or, en argent, etc. - qui ne soulevait pas de difficultés à la compréhension et dont aucun banquier n'avait la simple existence de l'offre.

Tout va alors changer.

Les premières grandes formes de monnaie dénommées "coupures de billet" en papier qui se juxtaposeront à la quantité précédente, verront le jour quelques temps plus tard, au XVIIIè siècle, du fait de la recherche des innovateurs.

Quant aux organismes chargées de les proposer, les innovateurs prendront soin de mettre en oeuvre des banques encadrées par des règles de droit bien précises.

Est ainsi caché que ces nouvelles formes de monnaie et d'organismes iront de pair avec des règles de droit, elles aussi bien précises, comme, par exemple,  la couverture des billets en monnaie or ou argent et leur convertibilité à taux fixe, et à la demande de celle-ci.

Puis, à leur tour, ces formes de monnaie "pièces de monnaie" et "billets bancaires" en connaîtront d'autres comme les "dépôts bancaires".

Et les gouvernements se chargeront de réduire à néant couverture et convertibilité, sans connaissance digne de ce nom des objets juridiques calcinés.


4. La banque centrale occulté.

Est occulté, en particulier, le rôle que ce qu'on dénomme aujourd'hui "banque centrale" allait acquérir ici ou là dans le monde et que n'évoquait pas Keynes de façon significative.

La réglementation n'a rien à voir avec l'innovation.  La réglementation qu'était la banque centrale n'était pas une innovation, mais un camembert à privilèges comme peut en témoigner toute étude du sujet bancaire.

Soit dit en passant, regardez ce qui se passe aujourd'hui encore avec les dernières dérives bancaires de la France, en 2013: Mme. Royal et M. Huchon, nommés vice présidents de la "Banque publique d'investissement" -. Quelles compétences?


Longtemps, jusqu'au début du XXè siècle, la politique première du gouvernement avait été le taux d'escompte que la banque centrale fixait à sa façon aux banques de second rang national pour lui acheter les titres financiers qu'elles offraient.

Rien ne justifie de faire l'hypothèse admise par beaucoup à la suite de Keynes que l'offre d'une monnaie règlementée était aux mains du banquier central.

Malgré tout, les gouvernements ont acquis ou se sont donnés, sans quelque compétence que ce soit, des politiques directs ou des rôles indirects pour y subvenir (cf. par exemple le propos précédent donné).

En raison des diverses conjonctures subies par les populations des pays en temps de paix comme en temps de guerre, des résultats ont été montés en épingle et ont donné lieu à maintes variations énigmatiques.


Une chose est certaine : les règles de droit à la base des formes de la "monnaie" et des organismes dénommés "banques" ont été détruites progressivement par les gouvernements.

Force est de constater qu'ils ont continué depuis lors la destruction (cf. par exemple ce billet de novembre 2010).


5. Des vraies règles juridiques aux fausses règles.

Etant donné les difficultés précédentes et leurs incompétences économiques, des gouvernements en sont arrivés à s'entendre les uns avec les autres au XXè siècle, au travers de conférences monétaires internationales  (la première étant celle de Gènes, 1922), et à faire valoir des absurdités de diverses natures que vous et moi sommes tenus de vivre en permanence.

C'est l'originalité du XXè siècle.

Essentielles dans le système monétaire, nationale ou internationale, sont:
- l'interdiction de la couverture "contractuelle" des substituts de monnaie bancaires - billets et dépôts bancaires - dans la monnaie or ou argent nationale,
- celle de la convertibilité des substituts de monnaie bancaires dans la monnaie nationale (convertibilité dite "intérieure") et
- celle de la convertibilité d'une monnaie nationale dans une autre (convertibilité dite "extérieure").

Ce qu'on dénomme "monnaie " aujourd'hui - et qu'on devrait dénommer "substituts de rien bancaires" (cf. par exemple ce billet de septembre 2012) - n'a plus de couverture bancaire, ni de convertibilité.

En vérité, Keynes s'était intéressé à ce qu'il dénommait "monnaie" à un moment où les gouvernements des Etats des pays tendaient à faire oublier le privilège donné à leur banque centrale et à interdire la convertibilité intérieure de leur monnaie, i.e. la décennie 1930.

Depuis lors, les gouvernements ont rapporter la convertibilité extérieure à la convertibilité intérieure: il n'existe plus de convertibilité d'aucune sorte depuis 1971-73.

Une "liquidité" ou une "solvabilité" de nature comptable est supposée, le cas échéant, empêcher telle ou telle banque de second rang de tel ou tel pays de ne pas y déroger.  Dérisoire!


6. Dernière fausse règle en date.

Enfin, des gouvernements sont parvenus, depuis 1999-2002, à fusionner leur "monnaie" dans une pseudo monnaie dénommé "€uro" (cf. par exemple ce billet de janvier 2013).

Tel est un des deux éléments de la tragédie de l'€uro.

L'autre élément procède au début du XXIè siècle des instruments ou des organismes qu'ils inventent pour "améliorer" - comme ils n'hésitent pas à l'écrire - l'€uro à défaut qu'il s'effondre.

Ce n'est pas l'€uro seul qui pose problème, c'est aussi l'état des finances publiques de chaque Etat de la zone €uro, de l'Union européenne, voire d'autres pays à commencer par les Etats-Unis, à quoi ont conduit les hommes de l'Etat.

Comme l'expliquait Pareto (cf. ci-dessus), le cours forcé d'une monnaie fiduciaire - l'€uro, le dollar, etc. - peut s'établir de deux grandes manières financières: obliger les créanciers ou bien obliger les créanciers et les débiteurs.

Il y a donc une relation étroite entre le cours forcé et le taux d'intérêt maximum du marché financier que les hommes de l'Etat peuvent établir dans leur pays sans se soucier de la convertibilité extérieure en monnaie métallique du cours forcé.

Mais, dans la situation actuelle du marché politique où personne d'un pays ne saurait avoir une prédominance sur ces "collègues", les hommes de l'Etat n'ont plus ces capacités de contraindre sauf à imaginer un super Etat, ce qui est inimaginable.

Il n'y a certes plus de convertibilité métallique, mais il n'y a pas non plus de privilège de monopole d'obligation (intérêt maximum ou autre...).

Grande différence, par exemple, entre l'€uro et la plupart des grandes monnaies réglementées, la monnaie réglementée est en référence avec un Etat alors que l'€uro va de pair avec des Etats différents, aux objectifs nécessairement différents...


Non seulement, aucun Etat n'a d'importance sur le marché financier, mais encore ce dernier lui tient lieu d'ancre.

Le marché financier s'est ainsi affranchi des privilèges de monopole de tel ou tel Etat et, à l'occasion, peut montrer sa puissance par les variations élevées qu'il fait connaître brutalement aux intérêts des dettes de tel ou tel Etat.

Certes, des gouvernements se sont acoquinés des économistes qui n'ont rien à envier à leurs prédécesseurs et qui leur ont conseillé de faire monter au firmament de l'actualité, des bestiaires du genre:
- la banque centrale était le "prêteur en dernier ressort" - inventé par Walter Bagehot au XIXè siècle - ou bien
- il y avait des banques "too big to fail" - elles sont nombreuses - ou bien
- il y avait un "risque systémique".

Et ils pensent que ces concepts feront taire leurs opposants.

Ces économistes sont larrons en foire pour faire valoir ces faux concepts, artifices gouvernementaux déplorables.


Reste la grande question : marché financier ou convertibilité monétaire convenue ?

Pour l'instant, le marché financier mène le bal.









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Georges Lane enseigne l’économie à l’Université de Paris-Dauphine. Il a collaboré avec Jacques Rueff, est un membre du séminaire J. B. Say que dirige Pascal Salin, et figure parmi les très rares intellectuels libéraux authentiques en France. Publié avec l’aimable autorisation de Georges Lane. Tous droits réservés par l’auteur
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_ " Le procédé par lequel les banques créent l'argent (et manipulent la chose "inflation", les taux d'intérêts, etc... ; NdL*) est si simple que son entendement est rendu impossible. " Galbraith
_ " ... Nous ne pouvons pas prédire l’avenir. C’est inutile... quand les banques centrales font n’importe quoi avec les devises nationales, quelqu’un finit par en souffrir. Assurez-vous juste que ce ne soit pas vous. " http://la-chronique-agora.com/fed-nous-surprend/#anc
_ " Les systèmes malthusiens donnent à leurs auteurs toutes les apparences de l'action généreuse, alors qu'ils organisent la misère et la ruine. " Jacques Rueff
_ " En l'absence de l'étalon or, il n'est pas possible de protéger l'épargne de sa confiscation par le mécanisme de l'inflation (et autres méthodes gouvernementales spoliatrices et scélérates ; NdL*). " Alan Greenspan (1966), Président de la FED.
_ " Il est important de réaliser que le fascisme et le nazisme étaient des dictatures socialistes (rothschildiennes, keynésiennes, malthusiennes, etc ... ; NdL*). " Ludwig von Mises
_ " ... donc à un moment où un autre vous serez bien obligés d'arriver à la conclusion que vous ne pouvez plus rembourser, et donc... vous aurez un défaut de paiement, c'est tout ! " Olivier Delamarche ; Associé et gérant de platinium Gestion ; Itw Guillaume Somerer, BFM Tv Business Intégrale placements, mar 5 mars 2013 ; www.youtube.com/watch?v=Z6TRAJeTfZM
_ " Nous n'allons pas permettre à ces terroristes financiers de tout contrôler, l'Etat, la police, la monnaie digitale, la trésorerie, la société. " Andy Hoffman ; milesfranklin.com ; http://www.47carat.com/folie-societe-perdue/ (3/3)
_ " Donnez moi une règle et je vous dessine les fondamentaux sur n'importe quel graphique. " L'Analyse technique de service ; MàR ; 24hGold
_ " Nous avons l'Or parce que nous ne pouvons pas faire confiance aux gouvernements. " Pdt Herbert Hoover
_ " L'or est une protection contre les gouvernements (politicards iniques, oligarques dévoyés, FED/BRI rothchildienne et finance mondiale corrompues, lobbyistes cupides, juges 'zélés', etc... ! ; NdL*). " Martin Armstrong
_ " Lorsque l'hyperinflation et les cracks systémiques à répétition, dus à la folie des marchés financiers et au laxisme coupable des politiciens, frapperont très bientôt à nos portes, il sera trop tard pour s'en plaindre et notamment, de ne pas avoir cherché à se protéger à l'aide des métaux précieux... " NdL*
_ " La Règle d'or : c'est celui qui a l'Or qui fait les règles. " Loi de Murphy

M. Georges Lane, votre excellent article aspire à être lu et apprécié par davantage de lecteurs !
*NdL = note de l'auteur
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debudelafin - 11/03/2013 à 03:21 GMT
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