Les Krachs sont rares, c'est pour cela que l'on s'en souvient quand on les a vécus. 2001 et 2008 avaient le même parfum de napalm et de comptes brûlés. Comme si le Coronavirus ne suffisait pas, c'est la guerre des prix sur le pétrole qui a mis à genoux les actions. D'un côté les banques souffrent des prévisions de baisse des taux, de l'autre les pétrolières voient les profits s'effondrer, et en filigrane les valeurs du tourisme et du