 bonjour Pégase, 'qu'est ce qui crée la création d'emploi ... ou alors qu'est-ce qui détruit l'emploi'.
vaste questions... je vous livre ma vision des choses, vous en faites ce que vous voulez...selon moi c'est imbriqué et résulte d'un équilibre... à partir du moment où 60% du pib viennent du secteur public, il y a un gros problème, l'équilibre est rompu : le public ne crée pas de richesse (ça se saurait...nous serions tous fonctionnaires dans ce cas...), cela veut dire que ce sont les 40% qui paient pour les 60... on se plaint ensuite que l'heure de travail soit de plus en plus chère pour les 40 ?... ben oui...forçons le trait : passons à 70/30 : à un moment, les 30, même taxés à 100%, n'y arriverons pas... on fait quoi ensuite ?... ce système est extra pour ceux qui reçoivent sans contribuer, pour ceux qui contribuent lourdement, le discours est différent... et comme il y a plus de sortie pour de moins en moins de rentrée : on emprunte l'argent... dingue...on ne devrait recevoir de l'état que ce que nous sommes prêt à lui donner, recevoir plus c'est pervertir le système car on le prend à un autre... il faut aider les démunis, on ne peut pas les oublier,évidemment, mais la politique suivie devrait inciter,encourager, favoriser et préserver la partie qui rapporte l'argent dans les caisses, c'est ensuite seulement qu'on pourra le redistribuer... blinder les avantages du groupe 60 actuel et présenter ensuite la facture au 40 est vil, malsain et finalement totalement démotivant : le groupe 60 vit au détriment du groupe 40 et le 40 commence à comprendre... donc selon moi, (mais je n'ai aucune prétention) : rendre moins cher le coût du travail qui apporte et rapporte une richesse réelle au pays, en revenant à une fraction acceptable pour ceux qui paient : 40/60 // 30/70, oui c'est vrai que ça fait mal pour ceux qui reçoivent, mais ceux qui paient et travaillent une vie entière pour payer des taxes et percevoir une pension de misère, ça fait mal aussi... en d'autres mots : il faut un équilibre entre les dépenses et les rentrées, arrêter de s'enrichir grâce à l'assistanat, maîtriser l'arrogance du public alors qu'ils ne font que vivre sur la bête, ne pas transmettre la facture aux générations suivantes, ... en un mot réduire les dépenses pour récupérer notre compétitivité. mais pas pour creuser des trous... il n'y a pas à en sortir : créer des conditions qui feront que les entreprises qui délocalisent encore maintenant aient envie de rester (ou de revenir), et créer de la vraie richesse, pas une richesse spéculative, virtuelle, de service, ... sinon, je ne vois pas trop comment on va en sortir... à partir du moment où tout le monde se met à imprimer... 'dévaluer' peut être interprété de différentes manières... imprimer en est une, baisser le coût du travail, une autre... 30/70 ... mais c'est vrai que c'est pas rigolo. je ne sais pas où on va, mais on y va sûrement...
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