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>Complaintes des grands patrons  - Sylvain Charat - Jean de Selzac
OÙ VA LA FRANCE?

DANS LE MUR ?.?.

Il avait promis le changement, et les Français s’impatientent. Un an après son élection à la présidence, François Hollande a déjà dégringolé dans le baromètre de la popularité. Mais ce n’est finalement qu’un «fait normal» pour un «président normal», au regard de ce à quoi nous a habitués la tradition politique française. A la même époque, Nicolas Sarkozy ne faisait guère mieux…

De toute évidence, se disent des électeurs de plus en plus frustrés, gauche ou droite, c’est bonnet blanc et blanc bonnet. Cela s’explique: le système politique français, monarchisant, reposant sur la popularité d’un seul individu, ne permet pas de fortes alternances politiques et se trouve en défaut d’efficacité, nous dit le politologue Gil Delannoi. Il aurait besoin d’un bon dépoussiérage.

D’autant que le sommet de l’Etat, censé œuvrer pour le bien commun, selon les valeurs républicaines, ne donne pas l’exemple. L’affaire Cahuzac, parmi tant d’autres, en dit long sur la déconnexion entre les élites et la population; et celle-ci ne rit plus des frasques de ses élus. La tentation des extrêmes, telle une réponse par défaut, se profile. D’autant que la destruction des emplois continue de miner le paysage économique (lire en page 4) . Et que la globalisation entraîne le recul d’acquis sociaux et génère de l’angoisse jusque dans la classe politique.

TDG


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il y a 4011 jours
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Début de l'article :Parcourir la presse est édifiant. Non pas tant pour les données qu’elle fournit, mais pour les témoignages qu’elle recueille, surtout lorsqu’ils viennent de grands patrons d’entreprises françaises. Le moins que l’on puisse dire est que, un an après son accession à la présidence de la République, François Hollande les a découragés, comme rarement un chef d’État ne l’avait fait... Lire la suite
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