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ph11
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>Le « chômeur volontaire » et ses ennemis, 2 : chômage et rationalité  - Nils Sinkiewicz - 
« J'aimerais que vous me fournissiez des exemples plus concrets »

Les sociétés du CAC40, Monsanto juste pour l'exemple… Ces sociétés-là sont le fruit du copinage avec l'État, bénéficient de réglementations anticoncurrentielles…

Elles ont certes une structure similaire, mais n'ont pas le pouvoir de lever l'impôt et n'ont pas de police, d'armée… Leur seul pouvoir est l'argent et l'avidité des politiciens qui le convoitent.

Le problème est que l'État n'équilibre pas. Où est cet équilibre ? N'est-il pas déjà là de façon naturelle ? Et lorsqu'il agit, ne crée-t-il pas plutôt un déséquilibre ?
Comparer l'économie avec la circulation est tout de même fortement osé. Le code de la route s'impose de lui-même, il y va de soi. De plus, il est le même pour tous, ne donne aucun passe droit. De plus, il est normal que le propriétaire des routes impose son code de conduites afin d'éviter les accidents.
L'économie, c'est un domaine beaucoup plus abstrait que la circulation, c'est un domaine pour lequel les politiciens sont fortement ignorants et prétendent savoir.

« En gros puisque la liberté de l'un s'arrete ou commence celle de l'autre, il faut bien un acteur qui trouve le point d'équilibre le plus supportable. »

Je suis d'accord avec la première partie, mais pas avec la 2nde. Le point d'équilibre existe déjà de façon naturelle, il n'y a pas à l'établir, mais à le reconnaître. Le problème avec le politicien, c'est qu'il aura une facheuse tendance à l'établir selon un rapport qui l'arrange. Je ne crois pas que le politicien soit suffisamment compétent ou intègre pour cela, et vous non plus.

«mais pourquoi évoquez-vous celà d'ailleurs ?»

Juste pour exposer le fait que les moyens de l'État sont limités, qu'il est impossible de résoudre les problèmes par la politique, surtout concernant une des missions régaliennes de l'État.

«L'idéal serait une participation "spontanée" à une structure commune (on l'appelle Etat ou pas) qui permette d'éviter les excés, mais il faudrait pour ca un lien social qui pour moi n'a pas la solidité requise à l'heure actuelle.»

Certes, notez tout de même qu'on a aboli la dîme et que l'Église existe toujours.

Vous savez, il y a une chose qui m'inquiète depuis peu : c'est que la société a plus ou moins repris ses structures qu'elle avait durant l'Ancien Régime, aussi déconnecté de la Société Civile ; excepté le fait que maintenant, l'État occupe aussi la place du clergé, s'occupe de ses prérogatives (que ce soient l'enseignement, la solidarité ou même le culte avec le mariage) il y a une certaine forme de culte de l'État et je trouve cela malsain… Si on a séparé le culte religieux de l'État, un autre culte l'a remplacé.


Commenté
il y a 3959 jours
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Début de l'article :Suite de l’article précédent L'expression « chômage volontaire » évoque inévitablement des gens paresseux, indifférents aux vertus du travail et passés maîtres dans l'art d'exploiter la générosité de l'État-providence. Le portrait paraît d'autant plus réaliste que les chômeurs volontaires sont perçus comme minoritaires... Lire la suite
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