Fermer X Les cookies sont necessaires au bon fonctionnement de 24hGold.com. En poursuivant votre navigation sur notre site, vous acceptez leur utilisation.
Pour en savoir plus sur les cookies...
AnglaisFrancais
Cours Or & Argent en
Recevez notre Marketbriefing
BA
Membre depuis octobre 2012
659 commentaires - suivi par 14 personnes
14 abonnées
A laissé un commentaire sur l'article :
>L’Italie est rigide et les Américains affamés !  - Charles Sannat - AuCoffre
Je me rappelle de deux choses : 1981, et aussi 2008.

1- D'abord, en 1981, j'ai vu ce que ça donnait, un gouvernement de socialistes et de communistes : nul. A partir de 1981, les socialistes et les communistes ont accepté de poursuivre la construction européenne que Valéry Giscard d'Estaing avait commencé en mai 1974. A mon humble avis, ce qu'il aurait fallu faire, c'était rompre totalement avec cette politique suicidaire de la construction européenne.

2- Ensuite, en 2008, j'ai vu ce que ça donnait, un effondrement systémique. Le 15 septembre 2008, les "Créateurs" qui avaient pratiqué la célèbre "comptabilité créative", ont entraîné toute la planète dans le gouffre. Ces petits génies de la Finance ont jeté le monde dans la pire crise depuis 1929. Avec eux, les seuls "risques" sont des retombées négatives ( comme l'effondrement total du système ). Est-ce que les dirigeants politiques ont laissé ces incompétents faire faillite le 15 septembre 2008 ?

Réponse : non. Au contraire, les dirigeants politiques ont fait appel aux contribuables pour payer des centaines de milliards d'euros pour sauver de la faillite :
- les banques privées
- les sociétés d'assurance
- les constructeurs automobiles
- etc.

Conclusion :
- les socialistes sont nuls ;
- les communistes sont nuls ;
- les banquiers français sont nuls ;
- les assureurs français sont nuls ;
- les constructeurs automobiles sont nuls ;
- les CONtribuables français sont des c...., car ils paient des centaines de milliards d'euros pour sauver de la faillite les nuls ci-dessus.

Rideau.


Commenté
il y a 3936 jours
-
envoyer
Début de l'article :Mes chères contrariées, mes cherscontrariens ! Alors qu’hier je relatais les bonnes paroles de JensWeidmann, le patron de la Banque centrale allemande, qui expliquait lors des rencontres économiques d’Aix qu’il fallait que les États puissent faire faillite, la crise européenne qui n’en finit pas de finir a rebondi avec la nouvelle dégradation de la note souveraine italienne... Lire la suite
Répondre à ce commentaire
Vous devez être connecté pour commenter un article8000 caractères max.
connectez-vous ou inscrivez-vous
Top articles