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Membre depuis janvier 0001
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>Carnets de Russie : Des temps difficiles pour l'opposition à Vladimir Poutine I  - Vincent Bénard - abc bourse
Donc le danger que la Russie joue les gros bras avec notre grand camarade au sujet de la Syrie .
Réponse la semaine prochaine .
Les Américains s’opposent fermement à l’intervention américaine dans la guerre civile en Syrie et croient que Washington devrait rester en dehors du conflit, même si les rapports selon lesquels le gouvernement de la Syrie a utilisé des produits chimiques mortels pour attaquer les civils sont confirmés .
Pourtant Obama se moque que seulement 9 pour cent de la population soutienne son bellicisme. Comme l’a récemment déclaré l’ancien président Jimmy Carter: « L’Amérique n’a pas de démocratie qui fonctionne ». Il y a un Etat policier dans lequel le pouvoir exécutif s’est placé lui-même au-dessus de toutes les lois et au-dessus de la Constitution.
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> Cet Etat policier va maintenant commettre encore un autre crime de guerre d’agression non provoquée de style nazi. A Nuremberg, les nazis ont été condamnés à mort précisément pour les actions identiques à celles commises par Obama, Cameron et Hollande. L’Occident mise sur la force, non sur le droit, pour se garder hors du box des criminels.
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> Les gouvernements américain, britannique et français n’ont pas expliqué pourquoi il vaut mieux que les gens, dans les guerres initiées par l’Occident, soient tués par des explosifs en uranium appauvri plutôt qu’avec des agents chimiques ou de toute autre arme. Il était évident dès le début que Obama était en train de préparer l’attaque contre le gouvernement syrien. Obama a diabolisé les armes chimiques mais pas les "anti-bunkers" nucléaires que les Etats-Unis pourraient utiliser contre l’Iran. Ensuite, Obama a tracé une ligne rouge, en disant que l’utilisation d’armes chimiques par les Syriens était un si grand crime que l’Occident serait obligé d’attaquer la Syrie. Les marionnettes britanniques de Washington, William Hague et Cameron, ont juste répété cette affirmation absurde.
> De toute évidence, les gouvernements américain, britannique et français, qui ont affiché en permanence leur soutien à des régimes dictatoriaux qui répondent à leurs attentes, ne sont pas le moins du monde perturbés par les dictatures. Ils désignent Assad comme dictateur pour le diaboliser aux yeux des masses occidentales mal informées. Mais Washington, le Royaume-Uni et la France soutiennent un certain nombre de régimes dictatoriaux, comme ceux de Bahreïn, de l’Arabie Saoudite, et maintenant la dictature militaire en Egypte qui tue impitoyablement des Egyptiens sans qu’aucun gouvernement occidental ne parle d’envahir l’Égypte parce qu’il "tue son propre peuple".
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> Washington est en train de conduire le monde plus près que jamais de la guerre nucléaire, même plus que dans les périodes les plus dangereuses de la guerre froide. Quand Washington en terminera avec la Syrie, la prochaine cible sera l’Iran. La Russie et la Chine ne seront plus en mesure de se leurrer eux-mêmes sur l’existence d’un quelconque système de droit international ou de contrainte qui puisse agir sur la criminalité de l’Occident.
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> Quand la Russie et la Chine se rendront compte qu’elles sont la proie de cinquièmes colonnes américaines, qu’elles sont isolées diplomatiquement et militairement inférieures en armes, les armes nucléaires deviendront le seul garant de leur souveraineté. Cela donne à penser que la guerre nucléaire est susceptible de mettre fin à l’humanité bien avant que les hommes ne succombent au réchauffement climatique ou à la hausse des dettes nationales".
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> Paul Craig Roberts, le 28 août 2013 .
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> Le Dr Roberts fut Secrétaire Adjoint au Trésor US de la politique économique dans l’administration Reagan. Il a été rédacteur en chef adjoint et éditorialiste du Wall Street Journal, chroniqueur pour Business Week et du Scripps Howard News Service. Il a occupé de nombreux postes universitaires.


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il y a 3891 jours
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Début de l'article :La Russie est dominée par un parti dénommé “Russie Unie”, dont le président est Dmitri Medvedev, mais dont l’homme fort, bien qu’il n’en ait jamais officiellement fait partie, est évidemment Vladimir Poutine. C’est un parti sans réelle idéologie, dont le but est de favoriser les desseins de la nouvelle oligarchie, elle même en partie issue de l’ancienne nomenklatura du parti communiste... Lire la suite
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