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Atlantis
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Tremblez Monsieur le Président !

- Charles Sannat - Aucoffre

Aucune "création monétaire" (terme impropre, vu que c'est pas une monnaie mais une devise) n'est gratuite, il forcément quelqu'un qui passe à la caisse pour régler l'addition. Le nier est irresponsable.

Dans un cas elle se traduit en inflation des prix (et c'est réellement celle là qui importe pour le peuple), et c'est ce qui ammené logiquement à l'autre cas : elle se traduit en inflation d'une bulle dette-investissement. Qu'il y ai un intérêt à payer dessus et que ce soit fait sur une réserve fractionnaire (ce qui est idiot car la théorie de réserve fractionnaire ne peut marcher que si il y a multitude de clients/emprunteur, le contraire du marché présent) rend la chose encore plus douloureuse, mais même sans intérêt et même si la dette est ouverte au peuple et non aux banques (comme avant au japon), ça serait tout autant une arnaque (et pour le coup, ceux qui paieraient vraiment l'addition seraient les investisseurs, pas sûr qu'ils continuent longtemps).

La meilleure preuve que c'est les même face d'une seule pièce c'est qu'il n'y a qu'un seul moyen de sortir d'une dette institutionnelle : l'hyper inflation (des prix, via la planche à billets ; ou ce que certains économistes baptiseront avec un doux euphémisme un "dégonflement de la dette" alias un "transfert de la masse monétaire de la bulle de la dette vers l'économie réelle").

Tout système électoral induit un comportement irresponsable (aussi bien des votants que des élus que des sponsors) qui induit inéluctablement l'utilisation d'une monnaie truquée alias une devise. Et qui dit devise dit création monétaire et donc inflation et donc jeu de mensonges/artifices (dont les dettes institutionnelles ne sont qu'un exemple).

Commenté il y a 3823 jours

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Début de l'article :Mes chères contrariées, mes cherscontrariens ! Hier, je vous parlais de l’Europe des abattants de toilettes et de la sortie de l’euro. Aujourd’hui, en fin d’après-midi, nous avons appris qu’à Morlaix, la sous-préfecture avait presque été prise d’assaut avec le portail d’entrée défoncé à la pelleteuse et le sous-préfet à l’intérieur qui, sous l’amicale pression de la foule populaire, a décidé de recevoir une délégation de manifestants… – il a eu bien raison – concernant le dernier portique écotaxe surnommée « l’escroc-taxe », tant les conditions de réalisation du PPP (partenariat public-privé) consistant à laisser percevoir cette taxe par une entreprise privée sont pour le moins douteuses... Lire la suite

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