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merisier
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A laissé un commentaire sur l'article :
>Ces grands malades qui nous dirigent !…  - Charles Sannat - Au Coffre
@ Christu Regnat
Dans les années soixante, on rigolait de tout. Au lyçée nous nous racontions des blagues du plus mauvais goût sur les camps de concentration, et autre sujets du même acabit. Une fois passé le quart d'heure de rigolade, c'était fini et on y pensait plus. Cela n'avait rien de malsain et de part notre éducation et nos proches qui avaient connu les terribles années 40 pas si loin que ça, nous avions bien conscience de ce qui s'était passé, cela n'empêchait pas le respect. Par le rire, on exorcisait certainement cette décade des horreurs. A la même époque, un humoriste comme Pierre Doris s'était spécialisé dans les blagues sur les personnes âgées et les handicapés, c'était du premier degré et basta, ça n'allait pas plus loin, tout le monde se marrait.
Rappelez vous plus près de nous les sketches de Coluche et comment il parlait des arabes !!!
Comme l'a dit Philippe Bouvard il y a qqs années: "actuellement, des gens comme Coluche et Pierre Desproges seraient en prison". Et c'est bien triste, cela prouve une évolution malsaine d'un pays: le notre où l'on ne peut plus rien dire et c'est grave. Sauf la presse aux ordres... Bientôt il faudra se promener avec son avocat.
N'oubliez pas qu'actuellement en France, il n'y a plus de paralysés. Nous n'avons que des personnes à mobilité réduite. Je pensais à Pierre Doris ! Comme nous sommes un pays qui monte, chez nous il n'y a plus de balayeurs mais que des techniciens de surface.
En son temps déjà de Gaulle appelait le Volapück ce que nous avons baptisé novlangue.
Merisier


Commenté
il y a 3781 jours
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Début de l'article :Mes chères contrariennes, mes chers contrariens ! Non, je ne parle pas de la prostate présidentielle. Je dois vous dire que j’ai longtemps hésité avant d’intituler cet édito « Ces grands malades qui nous dirigent »… Non, je plaisante, c’était plutôt une évidence tant les propositions qui sont avancées sont hallucinantes d’idéologie ou les propos prononcés par certains grands mamamouchis, et pas des moindres, révèlent un déni ahurissant de la réalités des choses. Nous avons actuellement deux beau... Lire la suite
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