 "La croissance française est poussive, alors il faut la pousser" (Sic) à dit notre normal 1er à Bruxelles devant ses pairs ... médusés.
Normal ne comprend même plus le sens des images auxquelles recourt l'INSEE pour lui dissimuler l'abyssal échec de 30 ans de politiques de surendettement.
Croissance poussive, ça veut dire dans le langage INSEE pas de croissance.
Faut pas oublier que c'est une administration qui parle.
Normal, qui sort de l'ENA, a même oublié ça.
D'ailleurs, quand une voiture poussive a besoin qu'on la pousse, c'est manifestement qu'elle est en panne.
Contrairement à ce que vous annoncez, M. SANNAT, je ne suis pas aussi optimiste que vous.
Je suis convaincu que notre panne, notre croissance poussive, peut durer encore des années.
Je ne crois pas au grand soir, ou plutôt au grand printemps 2014.
Sans être analyste, je vois une raison majeure de ne pas y croire: normal 1er et sa bande veulent rester au pouvoir.
Ils y sont bien au chaud, protégés par nos impôts des aléas d'un monde réel où ils n'ont jamais mis les pieds et qui leur fait de plus en plus peur.
C'est vrai quoi, on les imagine quand même pas pointer à Pole Chômage pour s'entendre proposer un stage de trois jours non-rémunéré en marqueterie dans la Creuse (transport à votre charge), "C'est oui ou c'est non mais c'est tout de suite, parce que y en d'autres qui le veulent, ce stage à vos frais. Et pis moi, vous comprenez on vient de fusionner avec les collègues des ASSEDICS alors j'ai quand même une grève à faire".
On les imagine encore moins monter une entreprise et devoir, par ce fait découvrir la réalité de leur propre folie administrative et fiscale.
Sans parler de la chaleureuse confrontation de terrain (et non de bureau capitonné) avec les syndicats.
Faut pas oublier non plus que sous le règne de l'inaptocratie, ce sont les plus incapables qui gouvernent.
Alors qu'est-ce qu'ils feraient si un jour ils devaient se retrouver dans la vraie vie ?
Nonon, croyez-moi, normal et sa bande (qui, ne nous y trompons pas sévit depuis trente ans) resteront au pouvoir, pour protéger ... leurs gueules.
Pour ce faire, ils poursuivront leur œuvre de lobotomisation et si ça ne marche plus, ils installeront franchement une dictature, comme papa Staline leur a appris dans les livres de l'Ednat.
C'est facile, encore un peu de pression fiscale et tout le pays (enfin, celui qui travaille) se mettra à travailler 8 jours sur 7 pour sauver sa maison.
Ceux qui ne travaillent pas n'ont aucune raison de descendre dans la rue, tant que la république les loge les chauffe les nourrit les divertit les habille ... et ça, par contre, on n'y touchera jamais.
Plus de 80 taxes nouvelles en 18 mois de pouvoir.
Et jamais autant de lois liberticides votées, et encore plus en projet.
Et rien ni personne ne bouge.
Parce que ces mesures, bien ciblées, ne visent que ceux qui ont encore trop à perdre pour s'exposer.
Les seuls qui pourraient avoir envie de faire disparaitre ces parasites.
Un Bank Run, M. SANNAT ?
J'y crois pas un instant.
D'ailleurs, sauf erreur, c'est un délit que d'y encourager.
Un défaut de l'Etat ?
On viendra plutôt chercher notre sang dans nos veines quand il n'y aura vraiment plus rien d'autres à nous prendre.
Aux époques de misère, les gens vendaient spontanément dents et cheveux.
Aujourd'hui, ils se prêtent aux protocoles médicaux.
Y a-t-il une différences?
Oui, y en a une : aujourd'hui c'est pour se payer une télé. C'est vrai quoi, faut pas rater Ruquier. Il est si gentil, Ruquier, et intelligent. Tout ce qu'il dit est vrai.
Donc, il n'y aura jamais personne dans les rues.
Et qui d'ailleurs peut vraiment le souhaiter ?
Le départ spontané des "élites" qui nous gouvernent ?
On peut toujours rêver.
Qu'ils partent, d'ailleurs ... Chacun sait que ce n'est pas réellement normal et sa bande qui prend les décisions.
Eux ne sont là que pour nous les faire avaler, au besoin par gavage.
Nous continuerons donc de pousser notre croissance poussive, avec nos boulets aux pieds ... et à la tête de l’État.
Nos "élites" veulent des esclaves, pas des morts !
Christus Regnat a raison, ô combien !
N'oubliez pas de faire un petit don pour les églises françaises en ruine.
 Commenté il y a 3794 jours |
| Début de l'article :Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !
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