 "Mais alors, à quoi la production de statistiques sexuées pourra-t-elle bien servir ?"
A entretenir une illusion de rivalité entre l'homme et la femme construite dans les années '60 peut-être ? Toujours dans le but de diviser !
Je ne sais pas mais, un peu à l'instar de Boutros concernant le Sida, j'ai l'impression qu'on s'est fait ENFLER de la même façon avec un certain féminisme qui revendique à la femme le droit de devenir un homme ! Or, c'est un faux débat cette question de l'EGALITE homme/femme car il n'est pas dans la nature de la femme de devenir un homme.
L'homme et le femme ne seront jamais égaux, ne fut-ce que sur le plan physique. La femme donne la vie et la majorité de ceux qui donnent la mort sont des hommes. Yin et Yang.
Quand je dis que l'homme et la femme ne seront jamais égaux, cela ne veut pas dire qu'ils ne se valent pas intellectuellement ou que l'un est supérieur ou inférieur à l'autre, non !; cela veut simplement dire que de part leur nature même, ils sont intrinsèquement différents.
Si on regarde à travers l'histoire et les sociétés, on constatera que la féminité a été attaquée de plein fouet lors de l'apparition des trois religions monothéistes, très "macho" finalement, car essentiellement représentées par des hommes à qui LA Femme faisait peur !
Ensuite, la politique a continué le travail initié par les dogmes religieux monothéistes en donnant le droit de vote aux hommes et pas aux femmes; en rendant la femme totalement dépendante des hommes, la considérant comme "mineure" et obligée d'être sous la tutelle d'un homme; puis plus tard, en lui octroyant un salaire inférieur; et maintenant en lui lançant à la moindre remarque : "Ah, vous l'avez voulu l'égalité, eh bien vous l'avez maintenant !", etc. Or ces choses là étaient des injustices flagrantes instaurées pour des raisons politiques et de pouvoir évidentes et entretenant un clivage dont certains pouvaient tirer (et tirent encore) profit.
Avec le temps, et ces clivages habilement instaurés dans la société, les femmes se sont retrouvées doublement esclaves car outre le boulot qu'elles se tapent dans un bureau le jour - qui permit aussi à l'Etat de prélever doublement des taxes par foyer, c'est très important de ne pas l'oublier (quand elles ne travaillaient pas, un seul salaire rentrait mais il permettait de faire vivre toute une famille) - elles se tapent souvent en plus tout le ménage (tâches ancestrales qui lui sont restées "culturellement"). Les hommes, quant à eux, n'y ont rien gagné non plus car un certain nombre d'entre eux sont aussi obligés de reprendre à leur compte des tâches ménagères pour soulager leur femme et, dans certains cas, cela entrave aussi leur temps libre et/ou besoin de liberté. Tout cela complique considérablement la vie à deux et encore plus lorsqu'il y a des enfants.
Je ne suis pas de celles qui prônent la femme au foyer à tout prix, loin de là; mais je pense que les femmes devraient être traitées équitablement. Mais, une fois encore, EQUITE n'est pas EGALITE. Et donc le débat sur l'égalité hommes/femmes est une vaste supercherie !
Avant que ces dogmes ne prennent le pouvoir dans la société, la femme était vénérée pour sa nature féminine et l'homme la respectait et la protégeait pour ce qu'elle représentait. Chacun son rôle, chacun son job et tout le monde était content. Les deux y trouvaient leur compte et il n'y avait pas de rivalité.
La femme et l'homme sont des êtres complémentaires, et non pas semblables (ou égaux) comme on voudrait bien le faire croire.
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