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>Indices d’aggravation de la crise : Airbus rachète une banque allemande !  - Charles Sannat - Au Coffre
A propos de Nietzsche, du Nationalsocialisme et du surhomme (à lire avec attention) :

Nous sommes bien d'accord, je suppose, sur le fait que les arguments d'autorité sont détestables. Il se trouve que j'ai lu tout ce que F. N. a publié de son vivant, ce qui ne signifie pas que j'aie tout compris ni même que j'aie compris 50% de sa pensée. Je ne crois pas d'ailleurs que Nietzsche lui-même ait tout compris de ce qu'il écrivait : il y a une part d'inspiration qui nous échappe lorsque nous écrivons. Une part de mécanique, aussi. Un mot en entraîne un autre et nous finissons par écrire des choses étonnantes, même à nos propres yeux…

Ce qui est clair, c'est que la pensée de Nietzsche est paradoxale et souvent dissimulée (pensée masquée). Par ailleurs, son tempérament (il dirait "idiosyncrasie") est celui d'un oppositionnel. Exemple: il critiquait Darwin de façon brutale, "sans nuance" et tout à fait inconsidérée, alors que sa philosophie est du Darwinisme appliqué et qu‘il disait de lui-même qu‘il était une "nuance" (malheur à moi, je suis une nuance). Bon! On dit et on écrit beaucoup de choses…

Il détestait les Allemands qu’il critiquait sur des points précis… en visant juste. Il adorait les Français (parce qu‘il ne les connaissait pas). Il détestait les antisémites car il détestait surtout leur bêtise (à cette époque, les conformistes étaient antisémites, c‘était la mode…). À y regarder de plus près ce qu’il dit des juifs n’est pas franchement élogieux. Il parle avec une admiration étrange de leur volonté persistante et de leur désir inextinguible de vengeance, de leur haine du genre humain, bref, de leur côté carnassier en opposition à l’instinct de troupeau.

Il est "manifeste" à mes yeux que Nietzsche était le Jean-Baptiste d’Adolf Hitler, qui adorait Nietzsche, comme par hasard. (MANIFESTE, c’est-à-dire, de l’ordre de l’évidence, sachant que l’évidence ne se démontre pas. Elle se constate. À condition d’avoir des yeux pour voir et des oreilles pour entendre.) Quand Nietzsche conjecturait sur les meilleures façons de croiser les races humaines, comme un éleveur de chiens ou de pigeons, il faisait de la biologie dans sa tête et démontrait par là que son idée de surhomme portait une part de "belle bête". Nietzsche était manifestement eugéniste. Je veux bien argumenter là-dessus, mais la chose me paraît tellement évidente que j’ai un peu la flemme…

On ne comprend rien à la question juive si on ne retourne pas au texte : Abraham était un homme qui avait honte d’être un homme et qui méprisait le genre humain. Il a donc décidé de faire sécession d‘avec le genre humain! C’était son droit le plus strict. Là où il y a maldonne, c’est lorsque ses descendants ont perpétué la sécession sans en comprendre le sens : ils ont cherché à établir une aristocratie, c’est-à-dire, une mafia visant à exploiter le troupeau humain constitué de bœufs et de moutons à face humaine. De la discussion jaillit la lumière.


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il y a 3718 jours
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Début de l'article :Mes chères contrariennes, mes chers contrariens ! Quand on souhaite anticiper les risques dans ce que l’on nomme pompeusement la « gestion de risque », il y a deux catégories d’indices appelés « signaux ». Les signaux forts et les signaux faibles. Un signal fort est assez facile pour ne pas dire évident à capter ou à percevoir, comme par exemple un krach boursier. Difficile de passer à côté. En général, le signal fort arrive trop tard. Tout l’intérêt consiste donc à essayer de percevoir une autr... Lire la suite
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