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Membre depuis janvier 0001
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>Les belles méthodes des démocrates ukrainiens !  - Charles Sannat - Au Coffre
J'ai commis une erreur : on ne parle pas de logique quaternaire mais tétravalente. On a VV, VF, FV, FF, seuls VV et VF relèvent de la logique binaire (tiers exclu) ou logique aristotélicienne. Il s'agit donc bien d'un cas particulier.

Pour ce qui concerne le relativisme moral, notre merveilleuse époque nous en administre la preuve par le pudding. Quant à soustraire le malfaiteur à sa responsabilité, nul besoin de relativisme moral pour cela : il suffit de considérer qu'il n'y a pas d'effets sans cause. Et si on raisonne juste, tout suit la loi implacable des enchaînements de cause à effet, ce qui signifie un déterminisme absolu type Laplace. Par conséquent, le criminel était destiné depuis, mettons 5 milliards d'années, à commettre son crime. Sa responsabilité dans l'affaire est donc un non sens. Un effet d'optique. La liberté est un sentiment, pas une réalité, à moins qu'on parvienne à prouver qu'on peut avoir un effet résultant d'une chaîne causale non exactement déterminée. Quand au principe d'indétermination d'Eisenberg, on l'appelle également principe d'incertitude d'Eisenberg. Et effectivement, il s'agit en fait d'une incertitude due à l'imprécision du moyen de mesure (le quanta étant le plus petit intervalle de mesure possible). Un petit détail : la physique quantique est une fausse vraie théorie à l'instar de la théorie des épicycles de Ptolémée, laquelle est juste d'un point de vue géométrique, mais fausse d'un point de vue physique. D'un point de vue géométrique, on peut placer le point de référence d'une trajectoire orbitale n'importe où. D'un point de vue physique, le point de référence est l'astre massif autour duquel la révolution s'effectue. La théorie des épicycles est parfaitement prédictive, tout comme la mécanique quantique. L'élément qui doit attirer l'attention sur la fausseté de ces deux théories est le simple fait qu'elles débouchent sur des phénomènes d'une complexité infinie : on peut rajouter des épycycles autant qu'on veut et on découvre de nouvelles particules autant qu'on veut. Les particules n'ont pas de réalité physique. Ce ne sont que des reflets d'un seul couple de particules fondamentales. On a d'ailleurs mis en évidence (expérience de Claude Aspect) qu'une particule (un photon) pouvait se trouver à deux endroits à la fois. Ceci prouve que les particules de la physique actuelle ne sont pas réelles. De simples reflets d'une réalité qu'on ne comprend pas encore.


Commenté
il y a 3677 jours
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Début de l'article :Mes chères contrariennes, mes chers contrariens ! Aujourd’hui, je souhaitais quitter le champ économique pur pour faire une petite incursion au sujet de la crise ukrainienne. Évidemment, l’économie n’est jamais loin. Souvenez-vous de l’inversion sémantique dans l’ouvrage de référence 1984 ! Dans ce livre, tous les mots changent de sens. « La guerre c’est la paix » est l’un des slogans cardinaux de George Orwell mais ce n’est bien sûr pas le seul exemple. Le ministère de la Torture est rebaptisé ... Lire la suite
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