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Membre depuis janvier 0001
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>Les belles méthodes des démocrates ukrainiens !  - Charles Sannat - Au Coffre
Je ne comprends pas la première partie de votre remarque. Pour répondre à la seconde qui concerne mon supposé matérialisme, il est clair, à mes yeux en tout cas, que si on se place dans l’hypothèse spiritualiste où l’âme existe, l’âme étant par définition incréée et par conséquent, éternelle, sans commencement ni fin, La chaîne causale qui détermine l’évolution de l’âme s’étire dans l’infini sur l’échelle du temps passé.

L’infini étant par définition un nombre indéterminé respectant l’égalité suivante : infini = infini + 1, la chaîne causale est par conséquent indéterminée et le devenir de l’âme est imprédictible. L’âme est donc authentiquement libre. Et l’âme choisit le destin de son ou de ses incarnations matérielles, l’individu étant lui totalement soumis au destin choisi par l’âme. Ceci rejoint exactement, comme par hasard, le mythe d’Er de Platon.

Le criminel n’est donc toujours pas responsable de ses actes, puisque c’est son âme qui décide de son destin. Le punir est donc indifférent car, de toute façon, le destin fixé par l’âme s’accomplira. Si l’âme a prévu qu’il doit être puni pour son acte, il le sera. Voyez, je ne suis ni matérialiste, ni spiritualiste. Je m’interroge. Seule compte pour moi la recherche scrupuleuse de la vérité.


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il y a 3672 jours
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Début de l'article :Mes chères contrariennes, mes chers contrariens ! Aujourd’hui, je souhaitais quitter le champ économique pur pour faire une petite incursion au sujet de la crise ukrainienne. Évidemment, l’économie n’est jamais loin. Souvenez-vous de l’inversion sémantique dans l’ouvrage de référence 1984 ! Dans ce livre, tous les mots changent de sens. « La guerre c’est la paix » est l’un des slogans cardinaux de George Orwell mais ce n’est bien sûr pas le seul exemple. Le ministère de la Torture est rebaptisé ... Lire la suite
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