Je suis gentil avec les gens tant qu'ils sont corrects.
Par contre, dés qu'ils commencent à déraper, je leur éclate la tronche de ma verve tonitruante.
C'est aussi simple que ça.
Et puis, je ne m'exprime pas dans le but d'être "populaire", pour reprendre vos mots.
Je ne suis pas ici pour me lustrer le nombril (contrairement à d'autres... suivez mon regard !)
via l'avis des lecteurs sur mes interventions,
au point - toujours comme certain(e)s, manifestement - d'en devenir addict des flèches vertes.
Puéril !
C'est si facile de dire aux gens ce qu'ils ont envie d'entendre.
Par contre, aller à contre-courant, ça demande beaucoup de courage.
... Ce courage que peu, ici, ont.
Entre un mouton et un rebelle de pacotille, je me demande lequel est le plus digne de mépris.
Me concernant, on peut me charger de tous les maux,
mais pas celui d'être un rebelle de pacotille,
contrairement à certains bobos qui essaient de se faire passer pour tels.
Sans croix ni drapeau.
Rien.
Juste le ciel, les arbres, l'air pur vivifiant,
du bon vin dont une cave de 50 m² est blindée du sol au plafond,
un jardin de 500 m² avec tous les légumes de la création,
et puis la vie qui coule, là, tranquilou.
Alors, quand je vous lis parfois avec vos bads trips, vos angoisses récurrentes,
vos prédictions d'apocalypse,
et bin je me gratte le troufion en gloussant d'aise.
Je sors un Margaux 2001 (de la bombe !), un bon frometon du Cantal,
et ça dissipe les miasmes de vos flips grégaires ânonnés et ré-ânonnés.
Je me rend compte que je suis un homme heureux, dans le fond.
... Tant qu'il n'y a pas un haineux (antisémite, raciste ou autre) pour venir me faire chier
avec sa prose atrabilaire frappée au fiel et venin.
Allez hop !
Je vais m'en jeter un petit à ta santé, Calefactor.
Sans rancune
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