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STEPHANE.BOUILLOT
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706 commentaires - suivi par 2 personnes
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A laissé un commentaire sur l'article :
>Deux exemples de la mutation économique en cours et du massacre de l’emploi…  - Charles Sannat - Au Coffre

Allez, je vais essayer de décortiquer ce texte abscons et amphigourique
(parce que tu insistes de ton rouge dard de scorpion piqué au vif).

Le "mot tabou", donc.
L'éléphant ?...
Non... Ce n'est pas l'éléphant...
Dieu ?...
Dieu, un mot tabou ?... pour un athée ?!
Ah ben dis donc !
Sur ce coup, les pieds dans le tapis, c'est tézigue !

Ensuite, cette formule "par idéologie" qui me sidère proprement.
Le monde à l'envers, marchant sur la tête !
Reprocher cela à un athée, qui n'a pas d'idéologie (JUSTEMENT !),
en étant soi-même en plein dedans par ses convictions religieuses,
c'est le comble !

De surcroit, l'adjectif "buté" est, en l'occurrence, un contre-sens absolu
- donc désobligeant.
Si vous avez lu correctement ma parabole,
vous l'auriez saisi pleinement.

Quant à "le mot vous hérisse ou vous fait peur",
ni il me hérisse ni il me fait peur.
Ce sont les HUMAINS qui me hérissent (me navrent plutôt)
quand je les vois se taper sur la gueule
pour défendre mordicus qui l'éventail, qui le tonneau, qui le tuyau
dans la représentation dudit Dieu.

Le pire, après une parabole aussi limpide
(et accessible facilement à l'entendement)
est de se faire traiter de jardinier quasi "aveugle"
qui ne sait pas voir Ce qui fait pousser ses graines !...

Et puis, parler d'un "destin accepté" pour les graines,
là je me dis que vous avez un grain
(bon, celle-là est mauvaise, mais je n'ai pu y résister).

Bref, Dieu n'a que faire de vos soutanes, kippas et burqas.
Et il en rigole quand il s'invite, parfois, à la table d'un athée
- qui en rigole avec lui, passée la 3ème bouteille de Margaux 2005
puisque, c'est bien connu, "In vino veritas".

Allez, sans rancune.
J'étais juste un peu gonflé de ce ton didactique dont tu uses parfois,
à rendre ta prose un brin opaque, et pas franche du collier
(y compris dans d'autres commentaires,
dont tu satures parfois le site par paquets de dix
tous azimuts
avec de courtes phrases définitives et péremptoires
- comme je les déteste).

Mais bon, n'étant pas "buté" (hé non !), je le redis - sincèrement :
sans rancune.







Commenté
il y a 3635 jours
-
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Début de l'article :Mes chères contrariennes, mes chers contrariens ! Je partage avec vous régulièrement ma conviction que nous faisons face à une mutation sans précédent de notre système économique. Si nous faisons face à des défis majeurs concernant les ressources naturelles en général et leur raréfaction, cela ne reste qu’une des composantes de la crise économique actuelle. Notre système économique est avant tout basé sur le travail comme outil de répartition des richesses. Il y a aussi évidemment la rétribution... Lire la suite
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