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Phoenix1
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A laissé un commentaire sur l'article :
>L’euro est-il trop fort ?  - Charles Sannat - Au Coffre
Bonjour Lightshow,

"Pourtant je n'aime pas trop le qualificatif "DOIT". qui donc va le forcer ?"

Bon, je pense que je n'ai pas été assez "précise". Il "DOIT" n'est pas entendu dans le sens où ses congénères doivent l'obliger !

Les Illuminés se prennent pour Dieu mais il ne le sont pas. Un jour ils le payeront parce qu'on récolte toujours ce que l'on sème, même si nous (toi, moi, les autres lecteurs ici) n'aurons peut-être pas l'occasion de le vérifier. Je pense que c'est une des lois de l'univers (de type loi de la dynamique de Newton).

Pour en revenir à "l'Homme pacifié", l'idée est qu'il travaille sur lui-même pour arriver à faire la paix avec lui-même (au sens où Socrate l'entendait aussi), qu'il ait confiance en ses capacités, en ses qualités, dans le fait qu'il est autant valable que son voisin. Un peu à l'instar de ce que tu as répondu à Mouloud Z. dans son différend avec LMDM : "mais finalement, tu sais qui tu es ! ce que tu vaut ! et si tu est honnête avec toi-même le matin devant ta glace".

Le problème de l'être humain, c'est qu'il veut précisément toujours contrôler son voisin parce qu'il en a peur... Et il en a peur, parce qu'il a peur de lui-même/de son ombre et projette ses propres défauts, pas encore surmontés, sur lui (l'envie : mon voisin est un voleur potentiel; le manque de confiance en ses propres capacités : s'il devient indépendant, il pourra faire mieux que moi et alors il aura plus de clients que moi et je n'aurai plus que les miettes; etc.).

Donc, il "DOIT" se pacifier s'entend dans le plan de Dieu si tu préfères.

"la Bible et Dieu ne nous a JAMAIS proposé un paradis sur TERRE, mais dans son royaume qui n'est pas de ce monde"

Bon, alors déjà, moi je préfère m'en tenir aux paroles de Jésus qui donne pas mal de pistes quant à vers quoi/quelle attitude nous devrions tendre pour vivre mieux sur TERRE en attendant le paradis promis. Cela a au moins l'avantage de prendre du plaisir à vivre, à s'émerveiller en permanence de ce qui nous est offert d'agréable et de beau sur terre, et de s'entourer de gens avec qui on se sent bien.

Certes, le paradis sur Terre ne semble pas prévu au programme, néanmoins, notre présence sur terre - avec notre véhicule/outil d'expérimentation qu'est notre corps contenant notre cerveau - doit quand même servir à quelque chose à mon avis. Et donc, je pense que toutes les expériences que nous vivons servent précisément à mieux nous connaître et à "travailler" nos points faibles. Ces derniers peuvent être accentués par des croyances et/ou certaines émotions violentes si on ne fait pas l'effort de s'y arrêter deux secondes pour y réfléchir afin de recarder les choses mais peuvent aussi être améliorés si on arrive à prendre du recul sur les choses et qu'on tire des leçons de ce qui nous arrive, qu'il s'agisse d'expérience positive ou négative. Quand on comprend que TOUT est utile, c'est déjà pas mal.

"Je doute très fort qu'on puisse changer l'homme en un "être pacifié" comme tu le dis sans lui enlever sa liberté."

SA liberté est précisément de décider de vouloir travailler sur lui-même ou pas. Ensuite, sa liberté, pour celui qui veut avancer, est de prendre l'autoroute, le chemin des écoliers, une nationale, ou un mélange de ces trois types de routes qui permettent d'atteindre le but poursuivi plus ou moins vite. Il sera totalement libre, le jour où il cessera de vouloir contrôler son voisin car ce jour-là, son voisin cessera de le contrôler aussi.

Evidemment, avec des véhicules corporels qui avancent à des vitesses différentes, il est certes difficile d'imaginer qu'on atteindra tous le but au même moment. Difficile d'imaginer également qu'on atteindra tous le but si la liberté de l'Homme lui permet aussi de décider de ne pas vouloir l'atteindre du tout.

En même temps, ce qui compte dans la vie c'est le CHEMIN QUI NOUS PERMET D'APPRENDRE et non le but. Voilà peut-être pourquoi le "paradis" ne sera pas/ne peut pas être terrestre...

"Le plan semble plutôt être: créer une prison à ciel ouvert mondiale dans laquelle l'homme nouveau, tagé par RFID, tracé par des drones et autres caméras vidéos et GPS vivra en paix avec du pain(Burger?) et des jeux imbéciles pour l'amuser et lui faire perdre son temps... un disney world mondial quoi! dreamworld ou dreamland dans la novlangue brillante des jeunes."

Euh... Peut-être que ce monde de science-fiction abominable est une étape obligée pour l'évolution de l'Homme sur le plan collectif. On ne peut apprécier ce qui est beau, ce qui fait du bien, ce qui fait vivre, etc. que lorsqu'on connaît et qu'on a fait l'expérience de ce qui est moche, ce qui fait mal, ce qui détruit. Les WWI et WWII ne semblent manifestement pas avoir été suffisantes pour que l'Homme ait compris la leçon sur le plan collectif... il a oublié trop vite et a préféré se laisser de nouveau berner par des mensonges par pure facilité. L'expérience lui sera donc encore soumise jusqu'à ce qu'il comprenne... même si c'est peut-être dans une autre dimension. ^^

Dans notre vie individuelle, c'est pareil. Certaines expériences désagréables identiques ont tendance à se produire à répétition tant qu'on n'a pas compris le pourquoi du comment de la chose. Une fois le problème transgressé; une fois la résistance à ce problème passée; il ne se présente plus.

Ce monde que tu décris ce n'est vraiment pas mon truc non plus, mais nous vivons dedans, hélas. Alors, pour le supporter au mieux, les conseils de Jésus, de la Bhagavad Gita, de Socrate et autres sages antiques peuvent être d'une très grande utilité.

;-)


Commenté
il y a 3581 jours
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Début de l'article :Mes chères contrariennes, mes chers contrariens ! Derrière cette question qui semble assez simple se cache en réalité une grande complexité économique. Petit rappel de la fixation du cours d’une monnaie Dans un monde normal (ce que nous avons quitté définitivement à partir de la fin 2007) et de changes dits « flottants », ce sont les « marchés » qui fixent la valeur d’une monnaie en fonction de leur analyse des grands paramètres économiques (croissance, dette, taux d’intérêt, etc.), mais l’éléme... Lire la suite
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