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samideano
Membre depuis janvier 2013
2059 commentaires - suivi par 34 personnes
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A laissé un commentaire sur l'article :
>La montagne de produits dérivés de la Deutsche Bank commence à inquiéter les autorités américaines  - Philippe Herlin. - Goldbroker
Oui, le marché est la rencontre d'une offre et d'une demande, créer un grand marché commun en pensant que les nations fusionneront à terme, est une grande illusion, car l'unité culturelle résulte d'une langue commune anationale. L'indonésie un grand pays de 200 millions d'âmes, a réussi son unité en créant une langue pont, ne se substituant pas aux 200 langues principales préexistantes (ce territoire est un des plus éclaté du monde sur le plan linguistique. Il n'est pas étonnant que cet archipel le plus grand du monde compte jusqu'à 600 langues différentes, et a réussi cet exploit de se créer une langue commune, la plus simple à apprendre (derrière l'espéranto). Comme le dit Nigel Farrage, l'Europe n'a pas d'avenir et on se demandera dans un siècle comment on a pu "unir" 28 états disparates sous un même drapeau et derrière un même hymne. Au dix neuvième siècle, nous avons eu une monnaie commune pendant 65 ans qui a disparu à peu près à la même époque que le titanic.
Depuis, 2000 ans l'Europe rêve de son unité, avec Rome, Charlemagne, Napoléon, Hitler, et l'UE. Elle n'a jamais abouti, car elle a voulu toujours se faire par la domination. Quelques leçons de démocratie, ne viendrait il pas de la lointaine asie ? Ceci est impossible à concevoir pour un européen, convaincu depuis des lustres, qu'Athènes en est l'origine et que nous en sommes les seuls gardiens.
Oui, il y a une fausse note : le marché ne peut être commun, quand la culture ne l'est pas.


Commenté
il y a 3699 jours
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Début de l'article :Nous savons depuis l’année dernière que la Deutsche Bank est devenue la banque la plus exposée aux produits dérivés dans le monde, distançant de peu la JP Morgan. Le montant total des dérivés de la banque allemande dépasse l’entendement : 55.000 milliards d’euros, ce qui représente 20 fois le PIB de l’Allemagne, ou 5 fois le PIB de la zone euro. La banque ne pourrait évidemment pas faire face à une forte dépréciation sur ces produits, ils représentent 100 fois le montant des dépôts de ses client... Lire la suite
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