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BA
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>Le minotaure planétaire… l’ouvrage du ministre de l’Économie grecque à lire !  - Charles Sannat - Au Coffre
Juncker dit « non » à la Grèce et menace la France.

« Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens », affirme notamment le président de la Commission européenne.

Intraitable. Dans un entretien au Figaro (29 janvier, édition abonnés), le président de la Commission européenne adresse une fin de non-recevoir au gouvernement grec conduit par Alexis Tsipras. Sur l’annulation de la dette, Jean-Claude Juncker oppose à la Grèce un « non » catégorique :

« Athènes a accepté deux plans d’ajustement (de redressement, NDLR), elle doit s’y sentir tenue. Il n’est pas question de supprimer la dette grecque. Les autres pays européens ne l’accepteront pas. »

On a connu le président de la Commission plus conciliant quand, Premier ministre du Luxembourg, il autorisait des dizaines de multinationales à s’affranchir des législations fiscales des pays membres de l’UE.

Les élections ne changent rien, affirme en substance le président de la Commission européenne. Sans prendre beaucoup de gants :

« Dire qu’un monde nouveau a vu le jour après le scrutin de dimanche n’est pas vrai. Nous respectons le suffrage universel en Grèce, mais la Grèce doit aussi respecter les autres, les opinions publiques et les parlementaires du reste de l’Europe. Des arrangements sont possibles, mais ils n’altèreront pas fondamentalement ce qui est en place. »

Vous n’êtes pas certain d’avoir compris ? « Dire que tout va changer parce qu’il y a un nouveau gouvernement à Athènes, c’est prendre ses désirs pour des réalités », ajoute encore Jean-Claude Juncker, qui lâche une phrase terrible, qui résume toutes les limites de la démocratie dans l’Union européenne :

« Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens. »

http://www.politis.fr/Juncker-dit-non-a-la-Grece-et,29890.html

La construction européenne est anti-sociale.
La construction européenne est anti-populaire.
La construction européenne est anti-démocratique.
Elle doit être détruite.


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il y a 3366 jours
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Début de l'article :Mes chères contrariennes, mes chers contrariens ! Je dois vous avouer un truc… J’ai failli passer à côté mais alors quelque chose de bien mes chers amis. Il y a quelques semaines, nous étions encore 2014, je reçois un mail fort sympathique d’un camarade contrarien qui m’explique qu’il va sortir un bouquin, enfin la traduction en français d’un ouvrage écrit par un économiste grec en 2008 sur la crise économique que nous traversons… Mouais… Pourquoi pas. D’abord, j’adore les livres que j’accumule ... Lire la suite
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