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RalphZ
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A laissé un commentaire sur l'article :
>La crise grecque, le révélateur de notre dépendance aux bureaucrates monétaires  - Philippe Herlin. - GoldBroker
En effet il existe un système réciproque, un peu comme la dialectique du maître et de l'esclave (Hegel ? je confonds des fois :s)

Néanmoins, je pense qu'une différence existe : au Moyen Âge il n'y avait pas beaucoup de main d'oeuvre. Les suzerains devaient protéger leurs serfs, sous peine de ne plus avoir personne pour effectuer le travail. (Au temps des romains aussi, la plupart des esclaves étaient bien traités, car ils coûtaient cher).

Aujourd'hui, nous sommes autrement plus nombreux, des migrants arrivent par centaines de milliers et de plus en plus de tâches peuvent être automatisées.
Si un suzerain (banquier par exemple) ne protège pas ses serfs et en perd quelques uns, il trouvera facilement de quoi les remplacer.
On peut relire "Les raisins de la colère" de John Steinbeck, où il décrit horriblement bien comment cela fonctionne... un propriétaire qui baisse la paie de ses employés, sachant très bien qu'à ses portes se pressent des milliers de migrants prêts à accepter cette paie car ils crèvent de faim...

Votre remarque nous amène à devoir trouver un nouveau terme pour décrire cette époque qui vient. J'avoue que je sèche là-dessus... des propositions ? :)



Commenté
il y a 3202 jours
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Début de l'article :Depuis le premier plan d’aide au printemps 2010, le feuilleton grec n’en finit pas ! Les "réunions de la dernière chance" s’enchaînent, les psychodrames n’en finissent pas, les déclarations "définitives" se suivent et se ressemblent. Ceci dit, avec le nouveau gouvernement d’Aléxis Tsipras et du mouvement Syriza, on a franchi un degré supplémentaire dans la tension, proche de l’hystérie désormais. Le jeune chef de gouvernement maîtrise comme rarement la dissuasion du faible au fort ainsi que l’ar... Lire la suite
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