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Monrose
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>Ce n’est pas le peuple grec votre ennemi… mais la finance!!!  - Charles Sannat - Au Coffre
Jean Méo, polytechnicien de la promotion de Bastien-Thiry, et Conseiller technique de De Gaulle en 1958 ( qu'il admire !) a raconté complaisamment et en riant qu'en 1958, son patron à l'Elysée lui a demandé de rédiger un contrat pour un pétrole algérien séparé de la France. Et comme Jean Méo s'étonnait, De Gaulle lui dit: " Mais dans 4 ans, Ben Bella sera à la tête de l'Algérie !". De Gaulle savait donc déjà où il menait 3 départements français ( qui deviendront 15 avec le Sahara). Au même moment, durant un mois à partir du 25 août 1958 jusqu'au 30 septembre, le FLN va multiplier les attentats en métropole, mettant le feu aux dépôts pétroliers de Marseille, Narbonne, le Havre, Mourepiane, Grand Quevilly, sabotant les trains, assassinant des militaires dans le métro, tentant de tuer un ministre, soit 110 morts en quelques jours. C'est donc à ce FLN que le Général va livrer l'Algérie, en faisant tuer inutilement durant 4 ans plus de 20 Français " à part entière" par jour.
Fr. Hollande , héritier du Général, sait certainement, lui aussi, où il nous mène. Il croit en la victoire de l'Islam, de la société arabo- islamique et à la Finance musulmane, et , comme De Gaulle, il nous y prépare en douceur, par petites touches, pour aboutir au même résultat, cette fois en métropole. Il se sert de Macron pour les entrepreneurs et de Valls pour le Bobo cocardier, pour mettre du baume là où ça fait mal, comme De Gaulle s'est servi de Debré, Messmer, Palewsky, Frey, Tricot, Foccart, Chaban, Neuwirth, Couve de Murville, Fouchet et, pour finir, Pompidou qui ne lui a pas pardonné l'affaire Markovitch et l'a mis sur la touche. Ce n'était pas: "après moi, le chaos !" mais "après moi, le cactus" !


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il y a 3207 jours
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Début de l'article :Mes chères contrariennes, mes chers contrariens ! J’ai écouté attentivement le Premier ministre grec Alexis Tsipras ce matin lors de son allocution devant le Parlement européen. J’y ai entendu un dirigeant sûr de lui et de la politique menée dans l’intérêt de son peuple mais également des peuples européens. Je suis effaré par certaines réactions de nos camarades lecteurs qui pensent vraiment que nous avons aidé les Grecs. Encore une fois, et Tsipras l’a d’ailleurs dit sous les applaudissements d... Lire la suite
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