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Clepsidre
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>Encore une fois, le gouvernement nous a bobardé sur la dette et les déficits  - H. Seize - Hashtable
Bonjour Hache s’aise !...La hache qui prend ses aises à fendre les vilains, se fendant de bons mots pour fustiger les maux.

(Personne n’avait compris qu’il voulait dire « La France va mieux… que l’année prochaine ».)

Au delà de votre bon mot où l’on sent chez vous le deuxième degré approprié à certains coins du verbe, j’ajouterais que c’est parce que notre "guide étatique" est un visionnaire.

C’est qu’ils sont visionnaires la plupart des politiques de haut vol, ils voient l’avenir dans toute l’étendue plus que probable de son chaos à venir, alors ils sont obligés de nous mentir, bobarder…bombe harder, serais-je tenté d’extrapoler…nous larguer les bombes de l’endormissement dont ils veulent qu’elles nous en-sommeillent sur une réalité à venir dont ils maitriseront de moins en moins les conséquences inéluctables de la gabegie constituée par le non vrai rôle de guide dont ils se sont octroyés les compétences sans en avoir la légitimité.

Et d’où vient ce chaos probable ?

Je pense, dans l’immédiat d’un émotionnel guidé par - ce dont j’ai conscience – la relativité de l’incidence de mes observations, à deux causes principales :

- Le fait que chez l’humain, lorsque par des dispositions intellectuelles, d’origine sociétale, d’opportunisme calculé, etc…, il arrive à cette sorte de pouvoir, celui de s’être vu confié la marche de la Cité, son ascension et son accession est souvent du à la volonté de satisfaction de son propre égo et non à une intention réellement charismatique d’en être un guide désintéressé et essentiellement humaniste, comme il y en a ou eu quelquefois dans l’Histoire de notre humanité, mais ils sont ou furent rares.

- Le fait qu’une majorité de l’humain se laissant gouverner, vit souvent dans une obscurité de ce qu’il devrait voir. Et ce qu’il devrait voir, c’est cet endormissement qu’il a par rapport à divers aspects de sa vie, se réfugiant par exemple souvent dans le confort illusoire que lui procure une absence de combat à réellement remettre en question ceux qui le dirigent mais aussi à remettre en question ses propres exigences en regard de ce qu’il est prêt à donner ou ce qu’il est possible qu’il en soit. Et, là, l’élite citée plus avant, le sait bien que cet endormissement ou cette non volonté réelle à bousculer les choses par la plèbe, est le principal moteur de ce qu’elle se prête à vouloir faire de nous.

Nous vivons depuis si longtemps sur une illusion et ce qui est grave…autant à leur niveau, ceux qui nous dirigent qu’à notre niveau, nous qui subissons.

L’humain, animal ayant eut pourtant le privilège d’une conscience de son environnement, de son existence, malgré toutes les souffrances qu’il s’est plus ou moins directement infligé au cours de son Histoire, n’aura eut comme résultante que la probable et irrémédiable destruction de son humanité.

Tous les philosophes, ayant décortiqué avec force le signifiant du verbe, de ce verbe si important par exemple : le vivre et le comment le vivre, ne seraient-ils pas morts avant la lettre initiale de leur verbe si l’on pense à la résultante de ce que nous sommes devenus, de ce que nous avons fait de notre humanité ?

Tous les bruits, les cris, les joies, les pleurs, les envies, les espoirs, les réflexions et leurs remises en cause, tous ces écrits, toutes ces pensées…tout ce verbe, tout ce dire, parfois même "orgasmiquement" pensé et éjaculé mais parfois dans l’incertain de son réel positif devenir, n’aura-t-il pas, funeste musicien, orchestré la symphonie d’un ultime, note finale d’une œuvre dont la partition s’intitulait sans qu’on l’ai vu, le chaos ?

( C’était modestement et dans la fragilité de l’incertain dont il se pense être quant à la justesse d’une pensée, les réflexions d’un citoyen très ordinaire vis-à-vis d’une société dont il sent l’extraordinaire néfaste présent et à venir. )


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il y a 2881 jours
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Début de l'article :Oh non, encore une fois la communication du chef de l’état s’est pris les pieds dans le tapis de la réalité et le pachyderme présidentiel, agitant dans l’air vide ses petits bras potelés pour tenter de se rattraper aux rideaux, n’y sera pas parvenu. Le voilà qui s’étale de tous son long sur les tapis moelleux de la République et le carrelage froid d’articles de presse pas spécialement tendres. Évidemment, je pourrais revenir en détail sur ce qui s’est passé la semaine dernière ou les péripéties ... Lire la suite
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