Fermer X Les cookies sont necessaires au bon fonctionnement de 24hGold.com. En poursuivant votre navigation sur notre site, vous acceptez leur utilisation.
Pour en savoir plus sur les cookies...
AnglaisFrancais
Cours Or & Argent en
Recevez notre Marketbriefing
Dans la même rubrique
zoppas
Membre depuis mai 2012
443 commentaires - suivi par 12 personnes
Suit 6 membres
12 abonnées
A laissé un commentaire sur l'article :
>Quand un État s’improvise banquier….  - Frédéric Wauters - 
Je suis d'accord avec vous : "nous marchons sur la tête".

Mais aujourd'hui, la situation est telle qu'elle est. Les banquiers se sont appropriés l'économie et la monnaie.

Mais la monnaie est centrale dans la coordination de l'ensembe de l'économie. Les bank runs et les crises systémiques ne doivent pas être pris à la legere. Ils désorganisent l'économie et appauvrissent l'ensemble des agents. Lorsqu'une entreprise fait faillite, c'est terminé. Le savoir faire se perd défiitivement. Le jour ou la France perdra ses chantiers navals, il n'y aura pas de retour en arriere possible.

En 1929, le dollar était convertible en or, cela n'a pas empéché la crise systémique.

Le rôle de l'Etat et de la banque centrale, c'est justement d'intervenir dans ces situations. Ce sont les seuls à pouvoir aller à l'encontre du vent de panique dévastateur. Ce sont les seuls à avoir la force de frappe suffisante. Mais ils sont la pour sauver le système bancaire et ses épargnants (c'est à dire la monnaie scripturale). Ils ne sont pas là pour sauver les actionnaires des banques.

La crise de 2008 a montré que les Etats et les banques centrales ont cherché avant tout à sauver les actionnaires et à les inciter à continuer, ce qui mérite, comme vous dites, quelques balles les yeux bandés...

Lorsqu'on achète des actions, on s'attend à tout perdre si ça tourne mal, c'est normal.


Commenté
il y a 4397 jours
-
envoyer
Début de l'article :Qui n’a jamais entendu quelqu’un réclamer la nationalisation des banques ? À en croire ses thuriféraires, cette idée est la seule réponse rationnelle aux « excès du capitalisme débridé ». Sous l’égide bienveillante – mais vigilante – des représentants de la Nation, les banques nationalisées investiraient prudemment l’argent que les citoyens leur auraient confié... Lire la suite
Répondre à ce commentaire
Vous devez être connecté pour commenter un article8000 caractères max.
connectez-vous ou inscrivez-vous
Top articles