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Philvar
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517 commentaires - suivi par 11 personnes
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A laissé un commentaire sur l'article :
>Quand un État s’improvise banquier….  - Frédéric Wauters - 
@ Lolo27
Vous écrivez : " Par contre dire que "les jeunes seraient à la rue tant qu'ils n'ont pas assez d'épargne" je trouve cela un peu "hard" car avant ils restaient chez les parents jusqu'à ce qu'ils puissent voler de leurs propres ailes. Bon, j'avoue que ce ne devait pas toujours être facile mais ça fonctionnait quand même. "

Je l'ai vécu et peut donc vous dire comment était la réalité : La France était rurale. L’aîné reprenant la ferme tout seul sans contrepartie aux autres car impossible financièrement (les filles partaient mariées avec une vache ou + !)
Pour les autres enfants certains s'engageaient dans l'armée, d'autres dans la prêtrise, d'autres "école normale" puis instituteurs, les moins courageux ou doués devenaient ouvriers agricole chez les autres ou ouvriers d'usine. Certains devenaient artisans après apprentissage.
En ville, c'était moins d'enfants et surtout reprise du travail paternel ou circuit précédent. Les "fortunés" faisaient des études, ils étaient peu nombreux. Ceci jusque vers les années 60 ! Il y a 50 ans !
Dans tous les cas au boulot au plus tard vers 14 ans après le certif qui certifiait des français sachant lire, écrire sans fautes, compter, et connaissant bien la géographie et l'histoire (comme toujours romancée) de notre pays ! C'était l'honneur de nos instits julesferrysiens qu'aucun enfant ne l'ait pas !
Et aucun enfant (sauf handicapé) ne restait à la maison sans travailler ; il était foutu dehors !
Autres temps, autres moeurs !


Commenté
il y a 4402 jours
-
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Début de l'article :Qui n’a jamais entendu quelqu’un réclamer la nationalisation des banques ? À en croire ses thuriféraires, cette idée est la seule réponse rationnelle aux « excès du capitalisme débridé ». Sous l’égide bienveillante – mais vigilante – des représentants de la Nation, les banques nationalisées investiraient prudemment l’argent que les citoyens leur auraient confié... Lire la suite
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