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zoppas
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A laissé un commentaire sur l'article :
>Quand un État s’improvise banquier….  - Frédéric Wauters - 
Quand vous dites que la banque peut prete 90% des dépots de ses clients. Vous parlez du multiplicateur je suppose. Pourquoi 90? Si ma mémoire est bonne la seule limitation est le taux de réserve obligatoire qui est quasi-nul aujourd'hui. Donc c'est bien 100% qu'elle peut préter selon le principe de la réserve fractionnaire (pret à TCT car elle doit respecter son allocation actif-passif).

La seule chose qui limite dans les faits ce pourcentage, c'est la pondération en fond propres issue de Bale I et des ratios prudentiels. J'étais bien obligé de l'aborder car sinon, dire que la banque prete à TCT 100% de ses dépots aurait été faux.

Et comme je l'ai dit, je crois que l'achat de titres AAA nécessite une pondération en fonds propres de 0%. Donc je crois bien que les dépots à vue des clients d'une banque sont reprêté à quasi 100% sur des titres AAA de maturité faible. C'est ce que j'appelle la fin du régime de réserve fractionnaire. Elle n'a plus besoin de mettre en réserve une "fraction" des dépots. Elle prete la totalité.

Après, on peut continuer des jours. Je peux réexpliquer une troisième fois la même chose...

Si vous préférez, nous sommes toujours dans un système de réserve fractionnaire avec une fraction de 100%, sachant que cette fraction de 100% n'est même pas limitée dans les faits par les ratios de solvabilité.


Commenté
il y a 4389 jours
-
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Début de l'article :Qui n’a jamais entendu quelqu’un réclamer la nationalisation des banques ? À en croire ses thuriféraires, cette idée est la seule réponse rationnelle aux « excès du capitalisme débridé ». Sous l’égide bienveillante – mais vigilante – des représentants de la Nation, les banques nationalisées investiraient prudemment l’argent que les citoyens leur auraient confié... Lire la suite
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