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CLAUDE F
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A laissé un commentaire sur l'article :
>Enfoirés de riches….  - Charles Sannat - Au Coffre
A D-Je n’avais pas eu l’occasion jusqu’à ce jour de revenir sur cet article et ignoré votre réponse que je ne peux laisser dans l’état tant vous faites d’amalgames.
Ainsi, il vous faut faire la distinction entre les emprunts publics et les emprunts bancaires. En ce qui concerne les premiers ceux-ci sont présentés par l’Agence France Trésor lors d’adjudications régulières mensuelles auprès des marchés financiers à travers le système bancaire qui les replace immédiatement auprès de ces clients, rendez-vous sur le site Internet http://www.aft.gouv.fr/. L'Agence France Trésor nous apprend que les banques françaises ne détiennent que 14 % de la dette de l'Etat (1341 Mrds) soit environ 190 Mrds, les dettes publiques étaient en 09/2011 de 1 689 Mrds (et ceci depuis la nouvelle réglementation de Bâle III- déc 2010) et les bilans des banques ne reprennent que cela, il vous faudra donc les relire ou plutôt les lire (un bilan ne fait aucune éloge -l’éloge n’est qu’une appréciation humaine- puisqu’il ne retrace que des écritures, curieux !!!).
La loi de 1973, qui n’a plus cours (il y a 20 ans quand même) depuis l’article 104 du Traité de Maastricht (1992) et l’article 123 du Traité de Lisbonne (2007) avait pour but d’empêcher les Etats mauvais gestionnaires de ne plus solliciter la création monétaire ex-nihilo, auprès de leur propre banque centrale (Banque de France en ce qui nous concerne) et conduire régulièrement à des dévaluations répétitives qui ruinaient périodiquement l’épargne et les investissements, donc le tissu industriel. Avant 1973, l’apparence du coût zéro par émission par la Banque de France était calamiteux pour les Français par la dépréciation régulière de leur épargne et de leur pouvoir d’achat, rappelez-vous. Pour les seconds, ils répondent aux réglementations de Bâle I, II et III que vous ne semblez pas connaître, mais qui régissent pourtant bien le système bancaire, le ratio Cooke dit techniquement « Tier One » permettait aux banques de créer l’argent-dette en fonction de leurs fonds propres (obligation de 4 % soit coefficient multiplicateur de 25), cet argent scriptural (seulement libellé dans les comptes des banques alors que celui des marchés financiers existe bel et bien sous la forme d’épargne préalable des personnes physiques véhiculée par les compagnies d’assurance, les fonds de pension, les organismes de placement en valeurs mobilières (OPCVM pour SICAV et FCP) et le système bancaire à travers ses formules d’épargne vues ci-devant…). Donc cet argent-dette ou monnaie scripturale se trouve détruit par son remboursement progressif (ceci n’excluait pas le ratio sur les réserves fractionnaires que vous mentionnez).
Pour « l’intolérable et monstrueuse création monétaire au seul profit des banquiers » que vous mentionnez, il y aurait beaucoup de choses à dire. Pour faire vite, sur la création monétaire scripturale temporaire, je suis d’accord avec vous mais ce sont des réglementations internationales de Bâle qui les obligent. Je suis partisan du prêt sur fonds propres. Pour le taux d’intérêt, c’est tout simplement le prix du temps que le prêteur va exiger de l’emprunteur, ce qui est bien normal puisqu’ainsi le créancier se prive de son épargne pendant la durée consentie qu’il aurait pu employer ailleurs pour un rendement-risque acceptable.

Dans mon propos, il me semblait bien avoir traité seulement les premiers qui s’adressaient qu’aux marchés financiers donc à l’épargne bien réelle.
De plus vous ne faites pas de distinction entre monnaie-banque-centrale ou monnaie-fiduciaire et monnaie-scripturale ou monnaie-dette, c’est un grand dommage ces lacunes basiques dès lors que l’on veut s’introduire dans un débat de cette nature.

Pour finir, je vous prie de vous adresser à moi avec la même déférence, c’est à dire autrement que par des propos violents et des invectives qui dénotent un comportement mal assuré par des connaissances sommaires qui s’apparentent à du copié-collé, sans doute non maîtrisées selon les sites visités. Si vous aviez cette maîtrise pourquoi seriez-vous vindicatif et injurieux ? Votre vérité n’est pas forcément celle qui prévaut, donc prenez le temps de consulter les bons manuels plutôt que des sites Internet dont vous n’avez pas la traçabilité et les clés d’analyse, donc de report.


Commenté
il y a 4231 jours
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Début de l'article :Vous les riches, vous êtes des salauds, vos voitures de luxe me gênent tellement que je suis pris d'envie irrépressible de vous les rayer.Un petite vengeance à ma portée qui me fait du bien. Lorsque je vous vois vous pavaner dans des endroits luxueux, j'aime venir vous cambrioler et me servir directement chez vous, après tout, vous en avez tellement que finalement un peu moins ne vous manquera point... Lire la suite
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