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Rüss65
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A laissé un commentaire sur l'article :
>Trois millions de chômeurs. Quitte ou double ?  - Georges Lane - 
"Il n'y a pas de chomage en France : il y a 3.5 millions de personnes à qui l'on interdit de travailler parce qu'en fixant le prix du travail à un niveau trop elevé il n'est pas possible de les employer de manière profitable."

Ca, c'est une théorie qui serait vraie, s'il y avait un marché libre qui se régulait autour d'un prix.
Mais, en France surtout, il n'y a pas un prix du travail mais DEUX.
Il y a le net disponible pour l'employé.
Il y a le coût total pour l'employeur.
Et ils sont éloignés l'un de l'autre !

Il se trouve que le cours forcé (smic, convention coll. etc) se situe parfois entre ces deux prix. C'est à dire que le prix forcé est A LA FOIS et simultanément trop cher pour l'employeur et insuffisant pour l'employé. Le problème n'est pas "a priori" le cours forcé mais d'abord qu'il se situe netre ces deux prix.

Ex:
Je prends très peu le taxi. Je trouve ça très cher.
L'artisan taxi pourtant, défiscalise son carburant, ne paye pas tout ce que le particulier doit payer pour une voiture, et pourtant, il travaille 14h par jour dimanches et nuits.
Si c'était un métier pour devenir millionnaire, d'une ça se saurait, de deux, ils réduiraient spontanément un peu les 14h.
Trop cher pour le client, pas assez cher pour l'artisan. Le problème c'est ce qui se passe entre les deux: les parasites qui sucent le fric au moment où celui-ci change de mains.

Quand enfin considéréra-t-on le travail comme un bien de première nécessité (notamment pour la classe de TVA) ?



Commenté
il y a 4219 jours
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Début de l'article : Le texte ci-dessous est paru dans Le Figaro des samedi 23 et dimanche 24 juin 1973. Il fait le point sur la remise en cause, alors, des relations entre l'inflation et le chômage par des économistes. Après les erreurs de la "théorie de la valeur travail" de K.Marx, il y avait eu l'hypothèse facétieuse de J... Lire la suite
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