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CLAUDE F
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A laissé un commentaire sur l'article :
>Du coût exorbitant de la souveraineté monétaire  - Jérémie T. Rostan - 
Cher D.
Oui, comme avant lors des emprunts Giscard (1972 je crois ??) ou Barre par exemple, sous la forme de l’épargne qui est sur tous les marchés financiers, il s’agit de la monnaie bien réelle, la monnaie-fiduciaire qui est la partie épargne sur le revenu disponibles de ménages et bien entendue en cumulé. Pour les preuves rendez-vous sur le site de la banque de France et celui de l’INSEE et constatez les montants de l’épargne financière déposée par les particuliers à laquelle il conviendra d’ajouter les trésoreries des entreprises et l’équivalent pour tous les pays étrangers.

Je ne comprends pas «l’intérêt public de la création monétaire d'ordre privé » pouvez-vous vous reformuler ?
Le taux d’intérêt est le « prix du temps » que le détenteur d’épargne va exiger de son débiteur selon sa solvabilité et la durée du prêt.
Pour « un intérêt sur une somme sortie du néant », c’est ce que je vous ai déjà expliqué à plusieurs reprises (et qu’Etienne Couard reprend mais pas d’une manière suffisamment explicite). Le système bancaire régit par les normes du comité de Bâle, depuis 1988, peu multiplier ses fonds propres et les dépôts entre 12,5 et 25 fois en monnaie-scripturale, c’est à dire en monnaie de compte, c’est-à-dire que lorsque la banque vous prête une somme d’argent pour acheter votre maison ou une voiture, la banque n’a pas cette monnaie disponible, alors elle va émettre une écriture dans son bilan comme quoi elle vous a prêter la somme qui va devenir de la monnaie-scripturale et non monnaie fiduciaire (billets et monnaie), d’ailleurs vous ne percevez pas cette monnaie puisque c’est la banque qui va débiter votre compte en argent-dette (contrat d’emprunt) et créditer le compte du vendeur de votre maison, qui lui non plus ne touchera pas cet argent en monnaie fiduciaire, mais l’aura au crédit de son compte et au bilan de la banque sous forme de dépôt qu’elle pourra à nouveau multiplier par les coefficient des normes de Bâle I ou ratio Cooke et reprêter à d’autres emprunteurs pour d’autres acquisitions. Je vous rejoins uniquement sous l'aspedct que les banques touchent un intérêt sur de l’argent qui n’existe pas. C’est le système des réserves fractionnaires normé à Bâle. A terme toutes les dettes (monnaie-scripturale) se trouvent remboursées et donc disparassenit du bilan des banques, au fur et à mesure que les remboursements s’effectuent.

C’est bien ce que je dis comme mes maîtres à penser économistes : Maurice Allais que vous citez, mais surtout F Bastiat, L von Mises, F von Hayek, M Friedman, Murray Rothbard et les autres, mais surtout pas JM Keynes et ses successeurs P Krugman, J Stiglist par exemples. Vous savez la monnaie n’est rien d’autre qu’un moyen d’échange et de réserve (épargne), cependant vous faites l’amalgame avec les dettes souveraines qui ne sont pas financées par le système bancaire et les emprunts des agents économiques (particuliers et entreprises) qui eux le sont.
Je ne suis pas un larbin du système, je suis indépendant économiste, monétariste et financier, je n’ai aucunement la prétention des célébrités citées ci-dessus, elles ont fait tout le boulot et je m’en sers dans ma vie professionnelle bien évidemment. Ma participation à ce blog est tout à fait accidentelle puisque je souhaitais suivre certaines personnes que je connais comme Gabriel Gimmenez-Roche, mais aussi Georges Lane, mais pas Paul Jorion qui en fait un peu trop et s’éloigne des fondamentaux.
Par contre, j’adhère à ce qu’écrit Jérémis T Rostan qui a la gentillesse de répondre aux questions avec courtoisie, mais n’en a pas toujours le retour policé, c’est dommage car c’est de la formation gratuite et d’une grande qualité.
Vous pourriez concentrer vos efforts sur les « bastringues » que l’Europe est en train de nous concocter comme le MES et l’Union bancaire européenne, etc.
J’essayais gracieusement d’en faire autant, car cela prend du temps pour écrire. Merci pour vos questions et recevez mes réponses avec amabilité et je vous remercie de vos citations.


Commenté
il y a 4207 jours
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Début de l'article :Il est devenu courant d’affirmer que la crise de la dette publique résulte de la perte de souveraineté monétaire des États de la zone euro. En France, ce serait la Loi Rothschild de 1973, et sa prolongation via le Traité de Maastricht, qui, interdisant au gouvernement de s’endetter directement auprès de sa banque centrale, auraient vendu le pays aux marchés financiers, le condamnant à payer de lourds intérêts... Lire la suite
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