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CLAUDE F
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A laissé un commentaire sur l'article :
>La fascination keynésienne ou splendeur et misère de l’exception culturelle française  - Jean Louis Caccomo - 
J’ai plaisir à rejoindre votre billet et vous propose de partager ce qui suit : notre histoire économique est dominée par la pensée du partage provenant des francs-maçons, surtout. On note cette fâcheuse idée dominante que l'Etat doit redistribuer ce que gagne l'un par son travail à l'autre qui ne la pas gagné. Toujours plus d'interventionnisme de l'Etat, qui doit proliférer pour faire face à cette demande en employant des fonctionnaires en nombre croissant, puisque que l’Etat le peut et que la satisfaction d’une masse d’électeurs le demande. Sauf qu’à accroître la masse d’une part des fonctionnaires-redistributeurs et de satisfaire cette demande toujours plus forte de couches successives de d’électeurs, appauvrit la société toute entière. La répression fiscale en cours en est l’illustration parfaite. Pour ne prendre qu’un seul exemple l’imposition des revenus de l’épargne au barème progressif de l’impôt sur le revenu puisque l’épargnant dispose préalablement d’un revenu soit issu de son travail soit de ses pensions, il se trouve donc déjà à un certain niveau du barème progressif (puisqu’il est devenu courant d’exposer les 10 % des revenus les plus élevés soit 38 000 euros, ceux-ci étant dans la tranche d’imposition de 26 421 à 70 830 au taux de 30 %, les revenus de l’épargne s’additionnent aux revenus d’activité ou de remplacement et sont imposés à partir de cette tranche, le seuil d’imposition ne débute pas à zéro (tranche jusqu’à 5 963 et ainsi de suite…) Il conviendra de ne pas omettre les prélèvements sociaux à hauteur de 15,50 %. Or cette épargne provient d’un revenu initialement exposé à l’impôt sur le revenu et ainsi de suite donc nous ne sommes déjà plus dans une imposition progressive arithmétique mais dans un système d’imposition géométrique, ce que s’est bien gardé d’exposer le législateur. Ce qui n’était donc pas dit dans cette affaire de redistribution, c’est la spoliation organisée de l’épargne avec sa destruction imminente. Il arrivera donc rapidement que l’assiette se raréfiant, les demandes étant au moins à niveau constant voire progressives, un détournement régulier et non moins géométrique de la capacité de création de richesses sans trouvera obérée et réduite. Il est bien question de la disparition de l’Etat-providence avec les conséquences sociales incalculables qu’elle va engendrer.

Commenté
il y a 4160 jours
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Début de l'article :Il est tout simplement stupéfiant de voir combien la pensée keynésienne exerce toujours une fascination auprès de nos experts et de nos dirigeants qui confine à l’aveuglement voire à l’hypnose. Pourtant, Keynes a écrit, dans les années, 30 à une époque où l’économie mondiale était fractionnée en espaces nationaux qui se repliaient sur eux-mêmes, alimentant une guerre économique qui dégénéra inévitablement en conflit armé généralisé... Lire la suite
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