 _ " ... Il y en a qui pensent encore que les choses vont s’arranger. Certains feront remarquer qu’avec un retour de la croissance et si le taux de chômage rebaissait à 8 % de la population active, l’Unédic retrouverait l’équilibre financier. C’est beau le rêve ..." Le déni n'a jamais constitué la moindre des solutions, pas plus que de rester infantilisé par la propagande de l'Etat-providence illusionniste et du gouverne ment. Nos élites keynésiennes manipulent à tout-va, à des fins électoralistes, et n'ont toujours fait que repousser le problème des retraites (et autres), en noyant le poisson. Aujourd'hui le couperet est sur le point de tomber ... et ça va faire mal. L'ampleur de la crise, dont beaucoup n'ont malheureusement pas encore pris conscience, risque fort d'amoindrir , voire d'empêcher, les futures mesures "progressives" envisagées politiquement. Puisqu'on sait que le système par répartition est injuste et non pérennisable, nonobstant tout le respect que l'on doit à nos vaillants conquérants des droits sociaux des temps jadis (1936, etc...) et aux Pères fondateurs de la Sécurité Sociale, dont la sincérité n'est nullement remise en cause... (http://theoreme-du-bien-etre.net/2012/12/10/ponzi-de-la-repartition-une-preuve-mathematique/). Quant au système par capitalisation, tel qu'il existe actuellement, lui non plus ne donne pas satisfaction parce qu'il s'appuie sur un système monétariste et financiariste globalisé, lequel est pourri jusqu'à la ("non substantifique", plaise à F. Rabelais...) moelle...
_ « le Titanic fut construit par des professionnels, l’arche de Noé le fût par un amateur »... du grand art, M. Sannat !
... et Julien Clerc de chanter : " Noé, Noé, pourquoi t'es pas sur le bateau !" Eh oui, l'Etat-providence qui s'est pris, un temps, pour Noé, est en train de sauter du bateau pris dans la tourmente mondialisée... Où l'on réalise que Noé, c'est nous-même, et que nous n'avons qu'une seule chose à faire en toute responsabilité : être le Capitaine de notre esquif, fût-il frêle, pour prendre nous-même en main, l'organisation de notre sauvetage, et séance tenante. C'est pourquoi le Capitaine sait qu'il survivra grâce à la seule bonne boussole et à l'aide de l'unique vraie carte marine qui soient, lesquelles se nomment "épargne de précaution, sur l'or" et "retraite par capitalisation, sur l'or", chez soi, et ce sans tambours ni cornes de brume !
Quant à M. Charles Sannat, cet article le voit promu ipso facto, Commandant (de tous les contrariens, même ceux qui s'ign or ent, pourvu qu'ils aient de l'or) !
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