TORONTO, ONTARIO--(Marketwired - Aug 20, 2015) - Rubicon Minerals Corporation (TSX : RMX) (NYSE MKT : RBY) (« Rubicon » ou la « Société ») fournit une mise à jour concernant l'avancement du Projet aurifère Phoenix (le « Projet »).
« À ce jour, des progrès importants ont été accomplis au Projet aurifère Phoenix », a commenté Michael A. Lalonde, président et chef de la direction de Rubicon. « Nous sommes ravis de rapporter que la mise en service de l'usine de traitement a été achevée et que l'installation fonctionne bien. » Les récupérations à l'usine ont atteint et dépassé les attentes. Le circuit de broyage affiche de meilleures performances que prévu, dépassant 80 tonnes par heure pour le traitement de minerai. Toutefois, nos travaux souterrains ont subi certains retards au cours de l'extraction initiale du premier gradin d'essai. »
Rubicon se concentre actuellement sur l'exécution de son plan d'extraction de gradins afin de mener le Projet vers sa phase prévue de production commerciale et est encouragée par ses progrès réalisés jusqu'ici. Le plan de développement actuel inclut les éléments suivants :
-- La principale technique d'extraction actuellement utilisée est la méthode
d'extraction souterraine par gradins au moyen de longs trous avec accès Alimak ;
-- Les essais d'extraction progressent bien sur le gradin d'essai initial (305-030)
entre les niveaux 244 et 305 mètres. Ce gradin est complété à
environ 50 %. Il est prévu qu'environ 20 000 tonnes
seront extraites du gradin d'essai avant la fin du mois de septembre. SRK
Consulting (Canada) Inc. (« SRK ») a été engagée pour auditer les procédures
opérationnelles actuelles et évaluer le rapprochement des onces d'or
depuis les estimations des ressources minérales in-situ jusqu'à l'or
récupéré à l'usine de traitement, une fois que les matériaux adéquats ont été traités. En outre,
SRK émettra des recommandations pour optimiser les procédures et
les conceptions de gradins futures. Une fois le rapprochement terminé, la Société
fournira une mise à jour ;
-- Actuellement, seul le gradin d'essai initial est dans le cycle de forage. Il y a
sept gradins souterrains complets, et quatre gradins descendants en retrait (« TDB »)
plus petits qui seront forés avant la fin de l'année 2015 ;
-- L'installation des évacuations internes du minerai et des déchets entre les
niveaux 122 et 305 mètres a été achevée ;
-- L'installation du concasseur à mâchoires à une élévation de 290 mètres
a débuté et devrait être terminée en novembre.
La Société a fait face aux difficultés de démarrage suivantes pendant la période de forage du gradin d'essai :
-- Un éboulement de terrain à l'intersection au niveau 183 mètres qui a
entraîné un retard dans le forage de deux gradins. Ce fut un incident isolé. Pour y remédier, un déblais a été effectué
pour créer une structure de remplacement située environ
à mi-chemin entre l'axe et le gisement F2. La réparation
est en bonne voie et devrait être terminée d'ici la fin du mois d'août ;
-- Des complications rencontrées avec le système de roulage au niveau 305 mètres
ont nécessité une mise à niveau de la piste et de l'équipement connexe, et
l'installation d'un wagon à la station d'évacuation des déchets au niveau 305 mètres. Ces travaux
devraient être terminés en septembre.
Indépendamment de ces obstacles, Rubicon est confiante que ce sont des problèmes naturellement à court terme et qu'ils seront résolus dans les mois à venir. Les problèmes de ce type sont fréquents au cours de la phase de démarrage d'un projet souterrain, et l'efficacité opérationnelle devrait s'améliorer au fur et à mesure que la Société acquiert de l'expérience et une meilleure compréhension de la nature du gisement Phoenix.
La Société évalue actuellement ses dépenses d'exploitation et d'immobilisations, dont certaines seront réduites ou reportées. Le bilan demeure solide, avec un fond de roulement actuel de 50 millions CAD.
Rubicon s'efforcera de fournir des mises à jour opportunes jusqu'à l'annonce de la production commerciale prévue, qui devrait survenir au cours du premier trimestre 2016 selon les plans actuels. À l'issue du rapprochement du gradin d'essai initial, la Société pourra fournir des directives de production officielles pour le reste de l'année 2015.
À propos de Rubicon Minerals Corporation
Rubicon Minerals est un producteur d'or en émergence qui met tout en œuvre pour offrir de la valeur à ses actionnaires en augmentant les flux de trésorerie libres dans des pays ayant de faibles taux de risques. La Société agira de manière responsable en gagnant le respect et le soutien des communautés dans lesquelles elle opère. Rubicon est en phase de forage d'un gradin d'essai au Projet aurifère de Phoenix et bénéficie de tous les permis pour une production de 1 250 tonnes par jour. Par ailleurs, Rubicon contrôle plus de 100 miles carrés de terre d'exploration de premier ordre dans le district aurifère prolifique de Red Lake et environ 350 miles carrés de participations dans des propriétés minérales dans le district aurifère émergent de Long Canyon, chevauchant la frontière entre le Nevada et l'Utah aux États-Unis. Les actions de Rubicon sont cotées sur les marchés boursiers NYSE.MKT (RBY) et de Toronto (RMX).
RUBICON MINERALS CORPORATION
Mike Lalonde, président et chef de la direction
Mise en garde concernant les énoncés prospectifs et autres avertissements
Énoncés prospectifs
Le présent Communiqué de presse contient des informations qui constituent des « énoncés prospectifs » et des « informations prospectives » (ci-après, collectivement, les « énoncés prospectifs »), au sens des lois canadiennes et des États-Unis relatives aux valeurs mobilières. Les énoncés prospectifs figurant dans le présent Communiqué de presse incluent, à titre non limitatif, les énoncés concernant l'exécution des plans par la Société pour mener le Projet aurifère Phoenix vers sa phase de production commerciale prévue, les projets de forer des gradins à l'avenir et l'achèvement des activités de réparation et autres activités planifiées.
Les énoncés prospectifs reposent sur les opinions et estimations de la direction à la date où de tels énoncés sont émis et représentent le meilleur jugement de la direction sur la base des faits et suppositions qu'elle considère raisonnables. Les hypothèses importantes sur lesquelles reposent lesdits énoncés prospectifs comprennent notamment : que la demande en or et en gisements de métaux de base va se développer comme prévu ; que le prix de l'or se maintiendra à des niveaux qui rendront le Projet aurifère Phoenix rentable ; que les plans d'investissement et d'exploitation ne seront pas interrompus par des problèmes opérationnels, une pénurie d'énergie, des conflits professionnels ou des conditions météorologiques défavorables ; que Rubicon respectera son calendrier estimé pour le développement du Projet aurifère Phoenix ; que Rubicon continuera de pouvoir attirer et conserver du personnel compétent ; que l'estimation des ressources minérales se concrétisera telle qu'elle est présentée dans l'Évaluation économique préliminaire ayant pris effet le 25 juin 2013 et ayant été publiée le 28 février 2014 (l'« EEP ») ; et qu'il n'y aura aucune variation inattendue en termes de dépenses énergétiques ou de fournitures, d'investissement de pré-production ou d'estimation des charges d'exploitation telles qu'indiquées dans l'EEP.
Les énoncés prospectifs impliquent des risques, des incertitudes et d'autres facteurs, connus et inconnus, susceptibles d'entraîner un écart important entre les résultats, les performances et les accomplissements réels de Rubicon et ceux décrits, de façon implicite ou explicite, par lesdits énoncés prospectifs. Ces facteurs comprennent, entre autres : les variations possibles de la minéralisation, des teneurs et des taux de récupération ou de production ; les résultats réels des activités d'exploration en cours ; les résultats réels des activités de remise en état ; les conclusions des futures évaluations économiques ; les modifications des paramètres du Projet à mesure que les plans seront affinés ; les défaillances des équipements ou des procédés à fonctionner comme prévu ; les accidents et autres risques liés au secteur minier ; les retards et autres risques liés aux activités de construction et d'exploitation ; la date et la réception des autorisations d'exploitation ; la capacité de Rubicon et des autres parties intéressées à satisfaire aux exigences légales ; la disponibilité du financement pour les exigences de capital d'exploitation, les transactions et les programmes envisagés dans des délais raisonnables ; la capacité des prestataires de services tiers à fournir leurs services selon des conditions raisonnables et à temps ; et la situation du marché et des entreprises en général, ainsi que la situation économique, concurrentielle, politique et sociale.
L'EEP est de nature préliminaire car elle comprend des ressources présumées qui sont considérées comme trop spéculatives géologiquement pour que des considérations économiques leur soient appliquées aux fins de classification comme réserves minérales. De plus, il n'existe aucune certitude que l'EEP se concrétisera. Les ressources minérales qui ne sont pas des réserves minérales n'ont pas démontré leur viabilité économique. La quantité et la teneur des ressources présumées mentionnées dans l'EEP sont incertaines par nature et il n'y a pas eu suffisamment d'exploration pour définir ces ressources présumées comme des ressources minérales mesurées ou indiquées.
Il est important de noter que les informations fournies dans le présent Communiqué de presse sont de nature préliminaire. Il n'existe aucune certitude qu'une mine potentielle sera réalisée. Une décision de mise en production de la mine qui n'est pas basée sur une étude de faisabilité démontrant la viabilité économique et technique ne fournit pas une communication adéquate de l'incertitude accrue et des risques spécifiques d'échec associés à une telle décision de mise en production.
Les énoncés prospectifs figurant dans le présent Communiqué de presse sont valides à la date indiquée et Rubicon rejette toute obligation quant à la mise à jour de tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouvelles informations ou d'événements ou de résultats futurs, sauf exigence de la législation sur les valeurs mobilières. Aucune assurance ne peut être donnée quant à l'exactitude des énoncés prospectifs, étant donné que les résultats réels et les événements futurs pourraient différer sensiblement de ceux anticipés dans ces énoncés. Par conséquent, les lecteurs ne doivent pas se fier indûment aux énoncés prospectifs.
Mise en garde à l'intention des lecteurs des États-Unis à propos des estimations de ressources indiquées et présumées
Le présent Communiqué de presse utilise les termes de ressources minérales « mesurées » et « indiquées » et de ressources minérales « présumées ». La Société signale aux investisseurs des États-Unis que, même si ces termes sont reconnus et requis par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières, ils ne sont pas reconnus par la SEC. L'estimation des ressources minérales « mesurées » et « présumées » implique une plus grande incertitude quant à leur existence et à leur viabilité économique, par rapport à l'estimation des réserves prouvées et probables. L'estimation des ressources « présumées » implique une bien plus grande incertitude quant à leur existence et à leur viabilité économique, par rapport à l'estimation des autres catégories de ressources. Il ne peut être supposé que les ressources minérales « mesurées », « présumées » ou « indiquées », en partie ou en totalité, soient un jour classées dans une catégorie supérieure.
En vertu des lois canadiennes, les estimations de « ressources minérales présumées » ne peuvent constituer la base d'études de faisabilité, d'études de pré-faisabilité ni d'autres études économiques, sauf dans les cas prévus, comme lors d'une estimation économique préliminaire sous certaines circonstances. La SEC autorise généralement les émetteurs à inclure uniquement dans leurs rapports la minéralisation qui ne constitue pas de « réserves » comme le tonnage et la teneur sur place, sans référence aux mesures d'unité. En vertu des normes américaines, la minéralisation ne peut être classée en tant que « réserve » que lorsqu'il a été déterminé qu'elle pouvait être produite ou extraite de façon rentable et légale au moment où la détermination de la réserve a été effectuée. Les investisseurs aux États-Unis sont avertis de ne pas considérer que les ressources « mesurées », « présumées » ou « indiquées », en partie ou dans leur totalité, existent ni qu'elles peuvent être extraites de façon rentable ou légale. Les informations concernant les descriptions de la minéralisation et des ressources contenues dans le présent document ne peuvent pas être comparées avec les informations rendues publiques par des sociétés aux États-Unis sujettes aux exigences de la SEC en matière de rapport et de déclaration.
Ressources minérales
Les ressources minérales qui ne sont pas des réserves minérales n'ont pas démontré leur viabilité économique. L'estimation des ressources minérales peut être sensiblement affectée par des questions environnementales, liées aux permis, légales, liées aux titres, fiscales, de marketing et socio-politiques, ou toute autre question pertinente. La quantité et la teneur des ressources présumées rapportées dans cette estimation sont incertaines par nature et il n'y a pas eu suffisamment d'exploration pour définir ces ressources présumées comme des ressources minérales mesurées ou indiquées. Il n'est pas non plus certain qu'une exploration supplémentaire résultera en leur passage à la catégorie de ressources minérales mesurées ou indiquées. L'inclusion des ressources minérales présumées est considérée comme trop spéculative sur le plan géologique pour que des considérations économiques leur soient appliquées aux fins de classification comme réserves minérales. Les ressources minérales mentionnées dans le présent Communiqué de presse sont rapportées en utilisant les normes de l'ICM.
Personnes qualifiées
Le contenu du présent Communiqué de presse a été lu et approuvé par Bill Shand, ingénieur professionnel, vice-président des opérations, et Howard Bird, géologue minier en chef. (Hons.), géologue professionnel et vice-président de l'exploration. Tous deux sont des Personnes qualifiées au sens de la norme NI 43-101.