Le 3 avril 1024, ‘la dynastie
impériale des Sung commença à imprimer et à faire
circuler du papier-monnaie dans la province du Swechwan’.
p. 11 Ralph Foster, Fiat Paper Money: the History and Evolution of Our Currency, 2nd
ed., 2008
En Chine, le
papier-monnaie était une forme d’addition faite à la
trésorerie royale afin de permettre aux dynasties Chinoises de pouvoir
allonger leur budget en leur permettant de dépenser de la monanie
qu’elles ne possédaient pas.
En Occident,
le papier-monnaie avait une vocation toute autre. En Chine, l’invention
du papier-monnaie autorisait le gouvernement à dépenser plus
que ce qu’il ne possédait, alors qu’en Occident, les
gouvernements auraient à emprunter leur propre monnaie auprès
de banquiers.
Lorsque
la monnaie est imprimée en tant que dette, alors tout le monde devient
débiteur.
GOUVERNEMENTS EN PHASE TERMINALE
D’ENDETTEMENT
Le
papier-monnaie et le système de réserves fractionnaires
apparurent pour la première fois en Chine en l’an 1024. Bien que
les traders Juifs aient depuis longtemps été attirés par
les avancées économiques inconstestables de la Chine, ce sont
les Ecossais qui, 600 ans plus tard, introduirent le système Chinois
de papier-monnaie en Occident, sous la forme d’un système de
crédit basé sur la dette.
Ce n’est
pas une coïncidence que la banque étant aujourd’hui la plus
puissante en termes de valeur de marché soit la HSBC,
incorporée en 1865 par Sir Thomas Sutherland. Sutherland était
un Ecossais.
En 1694, le
banquier Ecossais William Patterson pervint à convaincre le roi
Guillaume III d’Angleterre de créer une banque centrale qui
puisse délivrer du papier-monnaie en parallèle aux
pièces d’or et d’argent. Le roi approuva sa proposition,
obtenant en retour des dettes lui permettant de terminer ses guerres et de
s’engager dans de nouveaux combats.
Le
papier-monnaie Ecossais – fondamentalement basé sur l’or
– finit par remplacer l’or en tant que monnaie aux quatre coins
du monde, vérifiant ainsi le vieux diction ‘la mauvaise monnaie repousse la bonne’.
Inventés
en Chine, puis transformés par les Ecossais, ce sont cependant les
Juifs qui portèrent finalement la monnaie-papier et le système
de crédit au rang d’outils de richesse et de pouvoir. La
combinaison entreprise par William Patterson entre le papier-monnaie et le
système de prêts a catapulté les Juifs depuis leur rang
de proscrits jusqu’à celui de maîtres du système
financier. Mais du fait des attitudes anti-sémitiques auxquelles les
Juifs se heurtèrent de parts et d’autres de l’Occident,
cette transformation s’opéra sur plusieurs siècles.
Après
l’invention par Patterson de la monnaie basée sur la dette, le
système banquier se vit entrer sous le contrôle absolu des Juifs
au cours des années 1700. Alors que le siècle s’achevait,
les portes des banques s’étaient ouvertes aux Juifs du fait que
l’Occident avait besoin de plus de monnaie pour pouvoir entrer en
guerre.
…Avant le début des
guerres révolutionnaires en France, au milieu des années 1790,
les banques Européennes n’étaient pas dirigées par
de Juifs, mais par des personnes telles que les Baring de Londres, les Hope
d’Amsetrdam et les Gebrüder Bethmann de Francfort. Les demandes
financières de la guerre ouvrèrent les portes des banques
à de nouveaux arrivants, dont un groupe germano-juif comportant des
familles telles que les Oppenheim, les Rothshild, les Heine et les
Mendelssohn.
http://en.wikipedia.org/wiki/Rothschild_family
Paul
Johnson, A History of the Jews, pp.
314-315
Le coût
des guerres entreprises par l’Occident offrirent aux Juifs une
entrée dans la sphère bancaire. Une famille en particulier,
celle des Rothshild, usa de cette opportunité comme de
l’équivalent financier de domination du monde.
L’ascension
des Rothshild s’est nourrie de leurs échanges très
profitables en termes de dettes souveraines telles que les obligations de
gouvernement grâce auxquelles les gouvernements pouvaient endetter
leurs citoyens sans aucune limite si ce n’est leur propre
capacité à emprunter.
ROTHSCHILD ET FILS: BANQUIERS PAR
EXCELLENCE ET CREDITEURS DES NATIONS
Le chemin à emprunter pour
s’accaparer la bourse d’un homme est celui de ses ambitions, et
la plus coûteuse d’entre elles est la guerre.
Les guerres
sont très chères à financer, et les Rothschild ont
découvert une manière extrêmement lucrative de faire du
profit en prêtant de la monnaie aux nations désireuses
d’entrer en guerre. Ils permirent aux nations de financer des guerres
par le crédit et la vente d’obligations de gouvernement.
…Les Rothschild ont
fàçonné le monde bancaire tel que nous le connaissons
aujourd’hui. Nathan Rothschild opérait principalement en tant
que spéculateur sur le marché des obligations au début
du XIXe siècle. Lui et ses frères inventèrent, ou du
moins popularisèrent, les obligations de gouvernement, qui redirent
possible pour les investisseurs, petits ou grands, de racheter des dettes
souveraines en achetant des obligations à taux fixes.
Les gouvernements appréciaient
ces obligations puisqu’elles leur permettaient de receuillir des sommes
colossales de monnaie. Les investisseurs les appréciaient car elles
pouvaient être échangées – à des prix
fluctuant en fonction des performances du gouvernement desquelles elles sont
issues… Les Rothschild gagnaient une part sur tout cela. - Lien.
Grâce
à la mise en vente des obligations britanniques, les Rothschild ont pu
soutenir profitablement les dépenses de guerre de l’Angleterre
et l’expansion de son empire. Plus tard, l’Angleterre leur
retourna la faveur en votant pour la création d’un état
Juif en Palestine, à la plus grande consternation du monde Arabe.
LE SYSTEME BANCAIRE, LA GUERRE ET LA
BANQUEROUTE
C’est
l’argument du coût de la guerre qui joua en la faveur de Patterson
quant il en vint à tenter de convaincre Guillaume III
d’Angleterre d’utiliser des billets de banque. Ce fut ce
même argument qui permit aux Juifs de faire leur entrée sur la
scène bancaire.
A la fin de
l’histoire, ce fut la guerre qui finit par emporter tout ce
qu’avait construit le papier-monnaie des banques. Le coût de la
guerre finit par coûter aux banquiers l’or que leurs morceaux de
papier nécessitaient.
A la fin de la
seconde guerre mondiale, le système monétaire mondial
était supporté par 21775 tonnes d’or. Deux
décennies plus tard, une grande partie de cet or avait
été dépensé en vue de maintenir la
présence militaire Américaine de par le monde. En 1971, les
Etats-Unis finirent par se voir forcés de mettre fin à la
convertibilité du dollar en or.
La fin de
cette convertibilité du dollar en or représente
aujourd’hui ce par quoi notre système monétaire global
est déterminé, d’où la création infinie de
crédit et les dangereux surendettements – ainsi que le passage
des Etats-Unis depuis le rang d’état créditeur à
celui de plus important débiteur à l’échelle
mondiale.
DEPENSES MILITAIRES AMERICAINES, DETTE
ET INSOLVABILITE FISCALE
Au cours des
années 1980, n’ayant plus besoin d’échanger de
l’or pour obtenir des dollars, le président Reagan choisit la
voie vers l’endettement plutôt que vers la taxation afin de
rembourser les coûts entraînés par
l’élargissement de son armée. En seulement deux mandats,
Reagan tripla la dette de son pays. Deux décennies plus tard,
l’endettement fut également utilisé par le
président Bush afin de financer les guerres menées par les
Etats-Unis en Irak et en Afghanistan.
Bien que les
systèmes de banque centrale et d’état guerrier
basé sur l’endettement nous viennent d’Angleterre, il
n’a pas fallu beaucoup de temps avant que ces phénomènes
n’atteignent les côtes Américaines. La création de
la Réserve Fédérale, copiée sur la banque
centrale d’Angleterre, permit à l’Amérique de
suivre les pas impériaux de l’Angleterre vers
l’endettement le plus profond.
La machine
militaire post-seconde guerre mondiale des Etats-Unis, renflouée par
les crédits délivrés par la banque centrale, propulsa
les Etats-Unis au rang de puissance mondiale. Cette dominance coûta
cependant aux Etats-Unis leurs réserves d’or, leur épargne
et leur futur.
LES BANQUIERS CENTRAUX ET LE CERCLE
MORTEL DE LA DETTE
La crise de la
dette s’abattant actuellement sur l’Europe est due à des
niveaux d’endettement bien trop importants, ayant été
encouragés par les banquiers. Le désir des gouvernements
à dépenser ce qu’ils ne possèdent pas a
été plus que comblé par la capacité des banquiers
à prêter de la monnaie à l’infini et ce sans ce
soucier de la capacité de leurs débiteurs à rembourser
leurs dettes (Italie, Grèce…).
Les
obligations de gouvernement, rendues populaires par les Rothschild, sont
aujourd’hui la raison pour laquelle le système fiancier global
court à sa perte. Les banquiers profitent de l’endettement des
autres, et la stratégie d’endettement des gouvernements
adoptée par les Rothschild a rencontré un tel succès
qu’aujourd’hui les banques sont en difficulté au
même titre que les gouvernements.
Les banquiers
centraux recherchent désespérément des réponses
qui n’existent pas. Ils sont à l’origine du
problème, et leur rôle quant à favoriser
l’endettement des nations les a tant aveuglés qu’ils ne se
rendent pas compte de ce qui paraît logique à toute autre
personne. Les banques centrales sont l’origine même de notre
problème. Les banques centrales SONT notre problème.
Dans ma
vidéo YouTube, http://youtu.be/2FVcB9crFDo,
je discute de trois banquiers centraux Américains : John Exter,
qui avait aperçu le problème ; Paul Volker, qui aida
à créer le problème ; et Alam Greenspan, qui nia
l’existence du problème.
Aujourd’hui,
la dette Américaine, et non l’or, représente la fondation
du système financier global. Les trésoreries Américaines
sont aperçues par beaucoup comme étant un havre financier. Sur
le court terme, elles le sont. Mais sur le long terme, c’est tout
à fait différent.
Pour dire
vrai, les trésoreries Américaines ne sont pas plus
sécurisées que celles des nations Européennes
endettées. Les maillons de l’endettement se resserrent, et bien
qu’il soit primordial pour ceux spéculant sur le déclin
de valeur des obligations de déterminer quelle sera la prochaine
victime de la crise, la quasi-totalité des débiteurs et
créditeurs finira par disparaître dans la gueule des dfuts
d’obligation des Rothschild. Le dernier voyage de la monnaie-papier
sera une procession funéraire.
AUJOURD’HUI, DEMAIN ET LE JOUR
D’APRES
Les
expériences de Chinois en termes de papier-monnaie
débutèrent il y a près de mille ans. Aujourd’hui,
le papier-monnaie n’est plus supporté par l’or, ni en
Occident ni en Orient; et rien n’est plus en mesure
d’empêcher un chaos économique majeur du type de celui
ayant mis fin aux dynasties Chinoises qui avaient utilisé pour la
première fois le papier-monnaie d’anéantir
également le régime Chinois d’aujourd’hui.
Le
papier-monnaie ne respecte aucune idéologie. Le capitalisme
étatique ne se trouvera pas plus efficace que le capitalisme bancaire
quant à prévenir un chaos économique de faire son
apparition.
Nous vivons en
des temps extraordinaires. Un paradigme économique est actuellement balayé
alors qu’un nouveau est sur le point de prendre place. Ces changements
en termes de paradigme ne se feront que lentement, mais ils paraîtront
vifs et promps à ceux qui n’auront pas été
préparés.
Des temps
meilleurs s’offrent à nous.
Les
derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers.
Achetez de
l’or. Achetez de l’argent. Ayez la foi.
Darryl Robert Schoon
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