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Cours Or & Argent

Vous travaillez toujours plus pour l’État que pour vous.

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Publié le 12 novembre 2013
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Rubrique : Billets d'Humeur

Un lecteur, un peu fou compte tenu du travail acharné qu’il a fourni, et que je remercie beaucoup, m’a transmis le résultat d’une simulation fort intéressante. Son idée : calculer ce qu’un Français moyen peut espérer engranger comme revenus au cours d’une vie moyenne, et calculer ce qu’il devra laisser à l’État pour continuer à bénéficier des si nombreux avantages qu’il procure. Le résultat ne laisse aucun doute : l’État se prend la part du lion.

Pour effectuer le calcul, les hypothèses suivantes ont été posées.

D’une part, on considère un individu moyen, qui commence à travailler à l’âge moyen, touche le salaire moyen pendant toute une carrière moyenne et qui meurt à l’âge moyen. Ce n’est pas très palpitant, mais ce n’est qu’un individu statistique. Le fait qu’il ait une barbe et des lunettes ou pas n’est pas très pertinent en l’espèce. On supposera d’autre part qu’il commence en tant qu’employé, passe agent de maîtrise au bout de 10 ans et cadre au bout de 30. Dans le monde actuel, c’est, on le comprendra, hautement spéculatif, mais l’idée, encore une fois, est de comprendre la dynamique qui se joue, actuellement en France, lorsqu’un jeune commence à travailler.

Toujours dans les hypothèses, les taux d’imposition choisis sont ceux qui sont en application cette année. On imaginera donc une stabilité fiscale record sur les 40 années suivantes. On ne supposera même pas une explosion du système de retraite en cours de route puisque le calcul va jusqu’à la retraite et la mort. Le calcul établit en outre les charges salariales et patronales, les impôts payés, ainsi que les principales taxes que notre citoyen über-moyen devra payer. On a aussi calculé la part de la TVA qu’il devra reverser lors de sa consommation.

Pour l’ensemble des indicateurs pertinents, c’est l’INSEE qui aura servi de base pour fournir les taux en application. L’ensemble des résultats est compilé dans un gros fichier Excel que vous pourrez consulter ici et qui reprend non seulement les calculs détaillés, mais les indicateurs utilisés.

Les résultats qui se dégagent sont faciles à résumer en quelques graphiques que vous trouverez ci-après, et tiennent en quelques constatations que tous ceux qui ont les yeux en face des trous auront déjà fait : l’État et les administrations para-étatiques issues de la collectivisation de l’assurance santé, de la retraite et de l’assurance chômage prennent la plus grosse partie des revenus qui vous reviennent.

Ainsi, au cours d’une vie et en moyenne, pour chaque billet de 100€ qui atterrit sur votre compte, l’État aura déjà reçu 83€. Cette ponction préliminaires ne l’empêchera pas de se resservir ensuite au travers des impôts directs et indirects comme la TVA, à hauteur de 13€. Au total, sur 183€ de revenus que vous aurez généré par votre travail, vous aurez directement votre mot à dire sur 87€. Oui, cela fait 47%, moins de la moitié.

24hGold - Vous travaillez touj...

Si l’on remet en rapport les différents montants qui entrent en jeu lors de toute une vie moyenne d’un Français moyen, on se rend compte que sur les 2.6 millions d’euros gagnés par cet individu, il lui en restera 1.2 millions après le passage des différentes organisations étatiques. Celles-ci se seront servies à hauteur de 1.180 millions pour les charges, et un peu plus de 187.000 euros pour les impôts.

24hGold - Vous travaillez touj...

Sur le graphique ci-dessus, il est particulièrement marquant de constater que les impôts directs sont, de très loin, les plus petits. Les politiciens et les dirigeants de l’État ont fort bien compris qu’il n’était pas du tout populaire d’augmenter l’impôt sur le revenu, et qu’il valait largement mieux tout faire dans le dos du contribuable. Moyennant quelques tours de passe-passe et autres dissimulations, comme par exemple insister lourdement sur la fiction d’une organisation séparée de la couverture sociale, tout le monde a pu éviter une imposition directe insupportable. La réalité, une fois débarrassée de sa gangue de blabla politicien, est bien sûr sans appel : les diverses cotisations sociales représentent un montant énorme que seul le secteur concurrentiel supporte, et ces montants sont tout sauf négociables ; ils échappent effectivement à tout arbitrage du salarié moyen.

Cette absence totale de choix sur plus de la moitié des revenus d’un individu se traduit graphiquement de la façon suivante :

24hGold - Vous travaillez touj...

Il faut bien comprendre que cette ponction est à la fois arbitraire et parfaitement autoritaire.

D’une part, si ces cotisations ne sont pas des impôts à proprement parler, cela y ressemble tout de même furieusement : les tentatives des uns et des autres de s’y soustraire ne sont pas les bienvenues, c’est le moins que l’on puisse dire (Laurent C., par exemple, en sait quelque chose).

D’autre part, la répartition des charges pour la retraite, l’assurance contre le chômage et contre la maladie sont parfaitement arbitraires. Il n’appartient absolument plus au Français le choix de savoir s’il doit plutôt mettre de côté pour ses vieux jours, ou pour une éventuelle maladie, ou pour un risque de chômage. Dans ces trois cas, les choix ont été fait par d’autres, qui savent bien sûr mieux que chacun des individus concernés ce qui est bon pour eux, avec l’excellent résultat que l’on peut observer tous les jours.

Parce que, justement, en face de ces ponctions, on m’objectera qu’on dispose tout de même d’un excellent système de soins, d’une magnifique couverture sociale en cas de chômage, et d’une solide retraite que le monde nous envie (mais nous laisse expérimenter prudemment tous seuls comme des grands).

Encore qu’à bien y regarder, la retraite n’est pas tip-top. Ainsi, l’individu moyen de notre simulation, qui termine sa dernière année avec un salaire brut annuel de plus de 54.000€ en fin de carrière, et avec toutes ses annuités et un parcours sans taches ni trous, obtient une retraite annuelle assez phénominable à peine supérieure à 19.000€, soit une division par plus de deux de son niveau de vie. C’est assez choupinou lorsqu’on voit ce qui a été pris en cotisations, ne trouvez-vous pas ? (On parle en millions, rappelez-vous).

Et puis pour ce qui est de la couverture santé, on peut tortiller les chiffres comme on veut, mais force est de constater qu’elle n’est ni excellente, ni enviée. Les remboursements de soin ne sont pas, à proprement parler, excellents, d’autant que les mutuelles deviennent maintenant indispensables si l’on ne veut pas se retrouver soigné dans des conditions que certains pays de l’Est expérimentaient il y a encore 10 ans (nombreux sont ceux, qui, au passage, s’en sont sortis ; nous y allons, ce qui n’est pas bon signe). Encore une fois, si l’on met cette contre-performance globale face aux sommes qui sont engagées (de force), le résultat n’est pas brillant.

Quant aux impôts directs et indirects, ceux-là même qui sont censés nous apporter une bonne sécurité, une éducation décente et des infrastructures réputées, force est de constater qu’il y a comme qui dirait un écart entre la publicité sur papier glacé (recyclé éco-compatible) du gouvernement pour promouvoir ses frétillantes actions, et le terrain décidément plus âpre sur l’homme, avec des bouts d’insécurité, de trains en retard, de méthode globale et d’inculture générale assez consternante.

parabole de l'aspirine (c) Maître Du MondeEt qu’on ne vienne pas dire que ces écarts seraient dus à un manque de moyen : que ce soit par la hausse des cotisations, des impôts, ou celle de la dette qui atteint des sommets, jamais en France nous n’aurons autant consacré de pognon, en valeur et en pourcentage, à chacun des aspects que l’État et ses satellites se sont engagés à gérer.

Eh oui : il faut se résoudre à l’évidence, cette simulation est sans pitié : chaque Français se voit en moyenne dépossédé de 53% de ses revenus pour faire fonctionner une France qui est dans l’état dans lequel on peut la voir actuellement. Cette ponction augmente. Et l’état général empire.

Au fait, à partir de quel pourcentage est-on esclave ?

—-
Le Français Moyen et l’État – xls
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Source : h16free.com
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H Seize écrit sur http://h16free.com ses chroniques humouristiques d’un pays en lente décomposition, et apporte des solutions dans son livre, Egalité, Taxes, Bisous. Dans un monde toujours plus dur, et alors que la crise, la vilénie, les aigreurs et les misères allant de la maladie aux bières tièdes font rage, un pays fait courageusement face et propose toute une panoplie de mesures plaisamment abrasives qui permettront d'aplanir les aspérités, gommer les difficultés et arrondir les angles. Ce pays, rempli de gentils et d'aimables tous les jours mieux pensant, est devenu un véritable phare scintillant dans la nuit noire de l'obscurantisme des méchants et des vilains. Et pour mieux scintiller, il s'est doté d'une devise qui est parvenue à se hisser au rang de slogan, d'accroche et de modus vivendi : pour chacun et pour tous, il faudra de l'égalité, des taxes, et des bisous.
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Vous oubliez les droits de succession !!!
Certes, ils ne sont généralement pas acquittés par le défunt, sauf dispositions préalables.
Mais ils sont astronomiques, même pour les enfants.

Vous décrivez ce que prend l'Etat à celui qui gagne quelque chose.
Vous expliquez que ce n'est qu'une photo à ce jour, sans pouvoir présager des ponctions futures.
En effet, on ne peut faire autrement ... que d'imaginer que lesdites ponctions ne s'orientent pas à la baisse.
Mais, hélas, tout ceci est connu.

Je crois que notre situation est inverse, parce que celle que vous décrivez continue à donner l'illusion de liberté.
Vous exposez que celui qui produit tant donnera tant.
Au fond, chacun serait libre de produire à sa guise, en mesurant son intérêt, ses envies, et en adaptant sa capacité de travail.
Travailler plus pour gagner plus ... après impôt.

Mais d'une part, la capacité de travail est limitée, alors que celle de l'Etat à nous endetter est sans limite.
Un jour viendra donc, TRES proche, où la charge dépassera la capacité de paiement.
Nous sommes dans un processus malthusien appliqué à la dette.

D'autre part, la réalité de notre situation est plus grave.
Chacun d'entre nous n'a droit de cité qu'à la condition de nourrir et entretenir le système.
C'est le principe marxiste à l'état pur.
Le droit de chacun à consommer n'est que la contrepartie de la dette qu'il a préalablement acquittée à la collectivité par son travail.
En économie marxiste, celui qui ne contribue pas à la production collective, n'a pas accès aux biens communs, donc à la consommation.
L'Etat français ne fait rien d'autre que mettre en oeuvre ce principe.
Sauf naturellement à l'égard de ceux qui, par pur clientélisme électoral, en sont dispensés.
Et qui d'ailleurs sont de moins en moins nombreux.
Il en résulte que nous naissons avec une dette à l'égard de l'Etat, dont l'acquittement est préalable à notre droit de cité.
Notre dette à la collectivité n'est donc pas calculé a posteriori, au regard de notre production, contrairement à ce que laisse croire le principe de l'impôt.
Notre dette pré-existe à notre production, et c'est seulement après l'avoir acquittée que nous sommes admis à consommer.
L'Etat dépense, nous payons, et avec ce qui reste, nous vivons.

La vraie mesure est donc celle de ce que doit ab initio chaque citoyen à la collectivité, et abstraction faite de sa capacité à produire.
Car l'acquittement de cette dette est la condition de son droit de cité.
Seul celui qui aura la capacité de produire au-delà de sa dette à la collectivité pourra disposer du reste.

Et comme c'est l'administration qui détermine les besoins de la collectivité, la dette de chacun est sans fond.

Nous ne sommes donc pas dans une logique de partage des richesses, mais de répartition des charges, ce qui est tout à fait différent.
C'est d'ailleurs là que réside la disctinction entre l'économie libérale et l'économie collectiviste.

Privation ultime de liberté: nous avons interdiction de sortir du système.
Nous sommes affiliés à l'impôt, au RSI, à la TVA et au reste, même si nous ne demandons rien à la collectivité.
Nous devons contribuer, même si nous refusons de consommer.
Marx n'avait pas osé rêver pareille mise en esclavage.
Moi qui croyait que l'essentiel de nos impôts allaient dans les intérêts de notre dette souveraine...
Vous oubliez le pire des impôts : l'inflation....
L'argent n'existe que sous forme de dettes , autrement dit il n'y a pas d'argent réel mais que du crédit créé à partir de rien et accompagné d'intérêts .
Le problème est ici , malheureusement les gens ne parviennent pas à comprendre. Comme le dit si bien Charles Sannat , le fait d'épargner sur livret à un taux ridicule alors que le prix des boîtes de raviolis augmente de 5 % par an est stupide....
J'ajouterai que les taux proposés par les livrets feraient rire un âne....
Ce socialisme hideux , éhonté et esclavagiste ne pourrait voir le jour si les monnaies des états étaient vraiment gagées sur leurs seules réserves d'or , d'argent métal ou d'autres matières...
Ainsi , fini la création d'argent dette à partir de rien et à l'infini et fini les intérêts sur quelque chose qui n'a pas d'existence....
La création des monnaies fiduciaires gagées sur rien est un acte criminel de banksters soutenu par les gouvernements...
Je vais faire peur : c'est avoir de l'argent ( sous forme fiduciaire ) qui est le problème , ce faisant , vous ne pouvez échapper aux règles des bandits émetteurs de fausse monnaie.
Si vous échangez des services , vous échappez à l'esclavage socialiste , tout en faisant du social par l'échange , n'est ce pas paradoxal?
Ces gredins qui nous dirigent nous mènent en bateau....
Ils nous font croire qu'ils nous aident mais ils interdisent tout ce qui a trait à l'autonomie , la culture de plantes médicinales , ils mettent des bâtons dans les roues des paysans respectueux de la Terre (permaculture , sans labour ni intrants chimiques) , ils projettent même d'interdire la culture des variétés potagères anciennes et libres de droits....
La monnaie fiduciaire , la division et la corruption à vomir des politiques sont les grandes sources de nos ennuis...
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"mais ils interdisent tout ce qui a trait à l'autonomie , la culture de plantes médicinales , ils mettent des bâtons dans les roues des paysans respectueux de la Terre (permacultur , sans labour ni intrants chimiques) , ils projettent même d'interdire la culture des variétés potagères anciennes et libres de droits..."

Interdiction des jardins privés : http://www.wikistrike.com/article-l-ue-veut-interdire-les-potagers-prives-120438478.html

Enfin, on n'y est pas encore tout à fait. D'abord on dit que les jardins privés ne seront pas concernés, histoire d'amadouer les sceptiques... puis dans 5 ans ils seront concernés et plus personne ne pourra cultiver ! Le simple fait d'y avoir pensé est criminel. Et ne parlons même pas du titre de la directive "des règle plus intelligentes pour des denrées plus sûres"... comme si l'humanité avait attendu cela !

Et plus que tout le reste, à mon sens, c'est ça LE PLUS GRAND CRIME d'entre tous car, ce faisant, ils préparent le terrain pour pouvoir créer la famine et restreindre toute médecine en empêchant les gens de pouvoir se débrouiller le jour où il n'y aura plus rien à manger voir plus de médicaments pour se soigner (trop chers) comme c'est déjà le cas en Grèce où des gens meurent faute de soins ou à Chypre où des bébés meurent faute de lait !

Ils sont en train de mettre en place toutes les conditions nécessaires pour créer un carnage à grande échelle.

Je suis presque certaine qu'ils finiront par avoir la peau de Kokopelli. Et d'ailleurs, je me méfie comme de la peste de ce fameux accord transatlantique négocié à huis clos entre la Commission et les USA ! Si c'est à huis clos, ce n'est pas pour rien. Une fois de plus nous serons mis devant le fait accompli. A nous de refuser cela et de déclarer ces accords comme illégaux car non consentis par les citoyens qu'ils sont censés représenter.

C'est aussi à nous, les citoyens responsables et déjà éveillés, d'apprendre à récupérer les graines des plantes potagères rustiques que nous avons pu planter grâce à Kokopelli et à se les partager, se les échanger et faire de la résistance à grande échelle en continuant à planter envers et contre tout ! Et à utiliser du purin d'orties contre les maladies diverses plutôt que des produits du type "Round up"; d'utiliser nos bras pour ôter les dites "mauvaises herbes" (qui sont tout sauf mauvaises) situées aux endroits non souhaités, plutôt que d'utiliser des produits toxiques pour s'en débarrasser.

Je pense que nous sommes déjà en guerre. C'est une guerre économique déclarée par les "puissants" contre les citoyens du monde entier. Les "tireurs de ficelles" ne s'en cachent d'ailleurs pas; ils estiment que nous sommes trop nombreux sur terre. Aussi, les citoyens doivent-ils être conscients qu'ils doivent se défendre, comme c'est le cas dans toute guerre.

Sauf que, cette fois, ce n'est pas avec des armes "classiques" qu'il faudra se battre, mais avec une arme appelée "matière grise", en réfléchissant. Il faut se battre en leur ôtant ce dont ils ont le plus besoin, c'est-à-dire les consommateurs de masse ! Arrêtons de consommer et ils n'auront plus de moyens. Echangeons entre voisins et ils ne pourront pas contrôler tous les coins du monde où des échanges ont lieu. Tenir bon, jusqu'à ce que tout se soit écroulé et puis on pourra reconstruire un monde plus sain.

;-)
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On devient esclave du système à partir du moment où, par contrainte, il nous est impossible de quitter son poste pour goûter à une préretraite méritée... Les pénalités imposées à l'employeur sont assez dissuasives que pour laisser partir quelques salaries que ce soit... Ce n'est pas que l'on n'a pas créé assez de richesses pour subvenir à nos besoins futur,c'est juste qu'on n'en créera plus pour subvenir aux besoins de notre etat aujourd'hui. Shutdown ? des artifices, presses,medias,syndicats, masquent et empêchent de voir la réalité. ceux qui savent risquent fort, un jour, de se retrouver dans la position du type coincé avec son joseph dans la braguette... En attendant, la fraction 9 a pris l'ascendant sur la fraction 1, et sa voix est devenue inaudible à la fraction 9 ...qui entend bien défendre ses acquits. Si le capitalisme est l'exploitation de l'homme par l'homme, le socialisme,c'est exactement le contraire...
petite information passée dans mon journal régional ce matin ( petit encart passé en fin de journal, dans les pages nationales ) :
"Fonctionnaires : le jour de carence supprimé" : l' Assemblée nationale a voté hier la suppression du jour de carence pour les fonctionnaires en arrêt maladie prévue dans le projet de budget 2014. l' article 67 du projet de finances supprime le jour de carence non indemnisé en cas d' arrêt maladie "qui est appliqué sans aucune compensation et sans réelle efficacité" selon son exposé des motifs...

Je croyais que ce gouvernement menait une politique d' austérité !?

en ce qui me concerne, en cas d' arrêt maladie ( et sauf à souscrire en plus à une "complémentaire santé" privée et fort coûteuse ), le délai de carence qui m'est imposé par l'organisme étatique ruineux qui "indemnise" mes arrêts maladie ( la C.A.R.M.F. ) est de 90 JOURS !!

... et alors que le taux de personnes en arrêt maladie dans ma branche ( médecin ) est dix fois moindre que celle des fonctionnaires, enseignants et membres des nombreux services para-publiques et assimilés.

si le "délai de carence est sans réelle efficacité" pourquoi n'est-il pas également supprimé pour les travailleurs indépendants, professions libérales et salariés du privé ???

POURQUOI une telle inégalité de traitement, une telle iniquité, une telle injustice ??

pour toujours "faire un peu plus risette" à l' ""électorat traditionnel" du parti socialiste ?????

C' est absolument lamentable

certes, et si je n' étais pas content, "je n' avais qu' à intégrer la fonction publique" comme me l' a aimablement récemment indiqué un tout jeune retraité ( 58 ans ) de la R.A.T.P. )


alors, je dis CHICHE pour le communisme total en France : demain suprression totale et absolue de tout secteur privé ; tous fonctionnaires !!; tous avec les mêmes avantages et les mêmes privilèges ; abolition de l' esclavage actuel d' une partie de la population au profit exorbitant d' une autre !!!
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"Fonctionnaires : le jour de carence supprimé"

Oui,c'est une gifle supplémentaire dans la figure des salariés non fonctionnaire...C'est une "sucette" offerte,aux frais des autres,à un des derniers bastions électoraux du PS!Cela suffira t-il pour éviter un échec électoral qui s'annonce retentissant?
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Au début des années 1970 Valéry Giscard d'Estaing estimait qu'à partir d'un seuil de 40 pour cent de prélèvements obligatoires ont passait au socialisme...C'est au cours de son mandat présidentiel que le seuil des 40 pour cent de prélèvements obligatoires a été franchis...

Depuis nous avons eu droit à plusieurs couches de ponction supplémentaire!J'ignore à quel taux se situe en 2013 le niveau global des prélèvements obligatoires.Mais sûrement au niveau du socialisme le plus extrême...

En tout cas les gens sont asservis par l'endettement,si ce n'est l'endettement personnel c'est par l'endettement public!
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Vous oubliez les droits de succession !!! Certes, ils ne sont généralement pas acquittés par le défunt, sauf dispositions préalables. Mais ils sont astronomiques, même pour les enfants. Vous décrivez ce que prend l'Etat à celui qui gagne quelque chose.  Lire la suite
PICKENDORF - 15/11/2013 à 08:48 GMT
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