CITATIONS DE Charles de Montesquieu.
Le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument
Il ne faut pas prendre au peuple sur ses besoins réels pour des besoins imaginaires de l'Etat.
C'est la concurrence qui met un prix juste aux marchandises et qui établit les vrais rapports entre elles
Dans une monarchie bien réglée, les sujets sont comme des poissons dans un grand filet, ils se croient libres et pourtant ils sont pris.
Il faut éclairer l'histoire par les lois et les lois par l'histoire.
Les lois inutiles affaiblissent les lois nécessaires
Je suis distrait. Je n'ai de mémoire que dans le coeur.
La gravité est le bonheur des imbéciles.
Ce qui manque aux orateurs en profondeur, ils vous le donnent en longueur
L'histoire du commerce est celle de la communication des peuples
Les moeurs font toujours de meilleurs citoyens que les lois.
Une injustice faite à un seul est une menace faite à tous.
Les lois sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses
La république est une dépouille ; et sa force n'est plus que le pouvoir de quelques citoyens et la licence de tous
Une religion qui peut tolérer les autres ne songe guère à sa propagation
Les républiques finissent par le luxe ; les monarchies par la pauvreté
Le talent : un don que Dieu nous a fait en secret, et que nous révélons sans le savoir
La pudeur sied bien à tout le monde ; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre
La force principale de la religion vient de ce qu'on la croit : la force des lois humaines de ce qu'on les craint
Les pays ne sont pas cultivés en raison de leur fertilité mais en raison de leur liberté
Celui qui fait exécuter les lois doit y être soumis
Il ne faut toucher aux lois que d’une main tremblante
L'effet naturel du commerce est de porter à la paix
Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice
C’est un malheur qu’il y a trop peu d’intervalles entre le temps où l’on est trop jeune, et le temps où l’on est trop vieux
L’homme pieux et l’athée parlent toujours de religion : l’un parle de ce qu’il aime, et l’autre ce qu’il craint
Un homme qui enseigne devient aisément opiniâtre, parce qu’il fait le métier d’un homme qui n’a jamais tort.
La plupart des hommes sont plus capables de grandes actions que de bonnes.
Les hommes naissent bien dans l’égalité mais ils n’y sauraient demeurer.
J’ai toujours vu que pour réussir dans le monde, il fallait avoir l’air fou et être sage.
Il se trouve que chacun va au bien commun, croyant aller à ses intérêts particuliers.
Un empire fondé sur les armes a besoin de se soutenir par les armes
La gravité est le bonheur des imbéciles.
Quand dans un royaume il y a plus d'avantage à faire sa cour qu'à faire son devoir, tout est perdu.
“Il ne faut pas mettre du vinaigre dans ses écrits, il faut y mettre du sel.
Les gens qui ont peu d'affaires sont de très grands parleurs : moins on pense, plus on parle.
Les Français ne parlent presque jamais de leurs femmes ; c'est qu'ils ont peur d'en parler devant des gens qui les connaissent mieux qu'eux.
L'ignorance est la mère des traditions.
Dieu m'a donné du bien, et je me suis donné du superflu.
Quand on court après l'esprit, on attrape la sottise.
Une injustice faite à un seul est une menace faite à tous.
L'éducation consiste à nous donner des idées, et la bonne éducation à les mettre en proportion.
Remarquez bien que la plupart des choses qui nous font plaisir sont déraisonnables.
Les propositions mathématiques sont reçues comme vraies parce que personne n'a intérêt qu'elles soient fausses.
Il est très surprenant que les richesses des gens d'Eglise aient commencé par le principe de pauvreté.
Plus d'Etats ont péri parce qu'on a violé les moeurs que parce qu'on a violé les lois
Vous faites bien d'amasser de l'argent pendant votre vie : on ne sait ce qui arrivera après la mort.
Plus une tête est vide, plus elle cherche à se désemplir.
Les livres anciens sont pour les auteurs, les nouveaux pour les lecteurs.
Il ne faut y toucher aux lois que d'une main tremblante.
Souvent les gens perdent leur fortune par ambition et se ruinent par avarice.
C'est une règle générale, partout où il a des moeurs douces il y a du commerce, et partout où il y a du commerce il y a des moeurs douces
La liberté ne peut consister qu'à pouvoir faire ce que l'on doit vouloir et à n'être point contraint de faire ce que l'on ne doit pas vouloir.
La monarchie dégénère ordinairement dans le despotisme d’un seul ; l’aristocratie dans le despotisme de plusieurs ; la démocratie dans le despotisme du peuple.
“La gravité est le bouclier des sots.
Les moeurs font toujours de meilleurs citoyens que les lois.
Dans une nation qui est dans la servitude, on travaille plus à conserver qu'à acquérir. Dans une nation libre, on travaille plus pour acquérir qu'à conserver.
Quand on veut gouverner les hommes, il ne faut pas les chasser devant soi. Il faut les faire suivre.
La pudeur sied bien à tout le monde ; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre.
Les républiques finissent par le luxe ; les monarchies par la pauvreté.
Voici comment je définis le talent : un don que Dieu nous a fait en secret, et que nous révélons sans le savoir.
Le gouvernement monarchique a un grand avantage sur le républicain : les affaires étant menées par un seul, il y a plus de promptitude dans l'exécution.
Le caractère naturel du Français est composé des qualités du singe et du chien couchant
Il n'y a point encore de liberté si la puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice.
Un gentilhomme anglais est un homme, le matin, habillé comme son valet de chambre ; un gentilhomme français est un homme qui a un valet de chambre habillé comme lui
Dans une monarchie bien réglée, les sujets sont comme des poissons dans un grand filet, ils se croient libres et pourtant ils sont pris.
