La fraude fiscale est le fruit de virements internationaux et de montages plus ou moins complexes.
L’optimisation fiscale est un phénomène parfaitement légalisé et reposant sur des “conventions fiscales” entre pays et des fonds hébergés dans des paradis fiscaux.
Enfin, le terrorisme, me direz-vous, fonctionne avec le “cash” et les “espèces” ? Sans doute un peu, mais la triste réalité c’est qu’un Coulibaly a surtout financé sa macabre épopée avec un crédit… CETELEM !! Donc de l’argent parfaitement légal, si vous voyez ce que je veux dire !!
Bref, la suppression du cash et des espèces n’a en soit aucune utilité économique tant les sommes représentées par les pièces et billets sont faibles par rapport à la masse monétaire totale. Nous parlons de 2 % environ !
D’ailleurs, par extension, cela veut dire que le travail au noir, le black, le non-déclaré, ne représente au pire que 2 % de la masse monétaire, c’est donc totalement insignifiant en termes macro-économiques.
Le véritable enjeu, c’est le contrôle des masses et des populations par les dirigeants politiques de planète.
Le tout électronique c’est évidemment la possibilité en appuyant sur un “bouton” de mettre à mort un individu.
Le cash, c’est la garantie de notre liberté.
Avant même toute décision officielle, la Banque centrale européenne (BCE) se serait mise à retirer de la circulation les coupures de 500 euros, telle est notamment la conclusion faite par les journalistes du quotidien allemand se référant au rapport de la BCE sur la circulation des grosses coupures.
La BCE aurait la ferme intention de faire disparaître les billets de 500 euros dès 2018. Une décision officielle pourrait être prise en ce sens lors d’une réunion du Conseil des gouverneurs de la banque qui doit se tenir le 4 mai prochain.