La France et… le Royaume-Uni car si la France a bien attaqué la Libye,
cela a été fait à 50-50 avec les Anglais et le tout avec des missiles guidés
laser lancés d’avions européens mais… donné par les Américains!
Il faut dire, que nous vivons une époque de guerre pour l’énergie, qu’à
l’époque le pétrole était cher, très cher, que BP venait de faire exploser
une plateforme dans le golfe du Mexique et devait plus de 20 milliards de
dollars aux Américains qui ont donc filé des bombes aux Anglo-français pour
aller rapiner le pétrole libyen et payer ainsi… les 20 milliards. C’était
aussi pour donner un peu de pétrole aux Français, et c’était la compensation
au retour de la France dans l’OTAN, enfin bref, c’est à la fois simple et
compliqué.
Ce qui est simple, c’est que comme nous n’avons plus de pétrole et pas
tellement d’idée, mais de gros muscles, nous cassons la gueule à ceux qui en
ont et nous le volons.
Pardon… nous exportons la démocratie dans les dictatures arabes….
hahahahahahaahahahahah, vous pouvez toujours y croire. Après on se retrouve
avec des hordes migrants contre lesquels il ne faut rien dire parce que sinon
on pourrait voir nos âneries et nos vols de pétrole… alors on nous explique
que pour être généreux il faut apporter la démocratie à coup de bombes et
récupérer un maximum de migrants dont l’arrivée fera le malheur aussi bien
des déjà-là que des nouveaux-venus.
Re-hahahahahahahahahha, car il vaut mieux rire de tout cela, tellement
c’est à vomir.
Le pire, c’est qu’à chaque fois que nous faisons le plein de notre voiture
(et moi le premier) nous sommes tous complice de cela. Nous sommes tous
complices parce que nous sommes tous les prisonniers et les victimes de ce
totalitarisme marchand qui détruit la planète et notre humanité. C’est là que
les choses deviennent très compliquées.
Libye: pour le président du Parlement de l’UE, la France a commis
«une erreur historique»
Dans une interview accordée le 6 avril à la chaîne italienne Sky TG24, le
président du Parlement européen s’est prononcé sur l’aggravation de la
situation en Libye. Il a notamment accusé l’ancien Président français,
Nicolas Sarkozy, d’être derrière le meurtre de Mouammar Kadhafi.
En commentant la déclaration de Matteo Salvini sur les intérêts
économiques et commerciaux qui pourraient pousser certains pays à promouvoir
une intervention militaire en Libye, le président du Parlement européen,
Antonio Tajani, s’en est pris à la France et, en particulier, à son ancien
Président, Nicolas Sarkozy.
«Nous disions depuis toujours que la France avait des intérêts différents
de ceux italiens en Libye si bien que [Nicolas] Sarkozy était l’un des
protagonistes de la chasse à [Mouammar] Kadhafi et de son meurtre avec les
Américains et les Britanniques», a-t-il déclaré dans une interview accordée
le 6 avril à la chaîne Sky TG24.
«Il s’agit d’une erreur historique retentissante. La France pensait
pouvoir peser plus en Libye mais finalement elle n’a rien pesé», a-t-il
précisé.
Selon M.Tajani, le «grand chaos» qui s’est créé en Libye a provoqué une crise
migratoire dont le prix est payé par l’Italie et d’autres pays.
Lors de son déplacement à Paris pour la réunion des ministres de
l’Intérieur du G7, Matteo Salvini s’est déclaré «très préoccupé» par la
situation en Libye.
«Je voudrais que personne, poussé par ses intérêts économiques et
commerciaux, ne promeuve une campagne pour une intervention militaire qui
pourrait être dévastatrice», a-t-il ajouté.
La semaine dernière, le commandant en chef de l’Armée nationale libyenne
(ANL), Khalifa Haftar, avait donné l’ordre à ses forces d’entamer la marche
vers Tripoli, siège du gouvernement d’union nationale (GNA) dirigé par Fayez
el-Sarraj et reconnu par la communauté internationale.
Le 5 avril, les troupes du maréchal Khaftar ont atteint la banlieue de la
capitale et pris le contrôle de l’aéroport international de Tripoli.
La Libye est plongée dans le chaos depuis le renversement du gouvernement
et le meurtre de Mouammar Kadhafi en 2011. Le pays est divisé entre plusieurs
entités rivales, avec notamment la présence à Tripoli du gouvernement d’union
nationale de Fayez el-Sarraj, soutenu par l’Onu et l’UE, et dans l’est, d’un
parlement élu par le peuple et appuyé par l’Armée nationale libyenne du
maréchal Haftar.
Source agence russe Sputnik.com ici