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Cours Or & Argent

Un dessin populaire en 1912 : Et ce n’était que le début…

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Publié le 04 décembre 2012
59 mots - Temps de lecture : moins d'une minute
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Rubrique : Fondamental

 

 

 

 

Voici un dessin populaire en 1912, qui représente la « Pieuvre », du système financier tenant dans des tentacules l’industrie, l’agriculture, les banques, le trésor public, le parlement et le gouvernement.


Un an après, dans la nuit du 23 Décembre 1913,  la Réserve Fédérale était créée, qui consolida définitivement l’emprise de la finance sur l’économie et le politique.







 

Jesse

 

  

 

 

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Les profits spéculatifs des banques sur votre dos, profits engrangés en vendant à découvert ce qu’ils vous conseillaient encore il y a quelques semaines, les profits sur les positions obligataires à découvert sont à des niveaux historiques records! Goldman Sachs, qui fait vous le savez, l’œuvre de Dieu, avait téléphoné le coup lorsqu’il avait plaidé publiquement en faveur d’une régularisation des taux, entendez par là une hausse des taux. C’est un des volets de la répression financière, laquelle consiste à vous appauvrir pour enrichir les banques, les gouvernements et leurs alliés fonctionnaires, les classes klepto-ploutocratiques.
L’autre volet vous le connaissez, c’est l’impôt. Le volet suivant, ce sera la hausse des prix de tout ce que devez acheter, donc ce sera l’inflation, baisse organisée de votre pouvoir d’achat.
Dès les premiers soubresauts de la crise , l’enjeu était de savoir qui allait payer, qui allait être laminé, rabaissé. Dès les premières mesures, le choix est de laisser intactes les couches supérieures, banquiers, financiers, gouvernements, fonctionnaires, kleptos et ploutos et de faire payer l’addition aux classes moyennes.
Le tour de force étant que les alliés cités plus haut on fait ami-ami avec les couches inférieures de la population, les assistés, les déviants, bref tous ceux qui ne constituent pas les vraies forces vives du système. Cette alliance, bricolage scandaleux car destructeur d’avenir s’est concrétisée à la fois par un accroissement de la répartition, et par un abaissement des mœurs. Pour résumer, un dévalement de la ligne de plus grande pente de la facilité.
La crise est excès de capital fictif et la seule solution saine est d’accepter la dépréciation de ce capital fictif et non productif. On fait l’inverse, tente de sauver le capital fictif, devenu capital usuraire en organisant le pillage des classes moyennes. Ce que l’on appelle réduire les déficits et rétablir la solvabilité, ce n’est rien d’autre que cela, prélever sur les forces vives pour entretenir le passé, le mort, le capital improductif.
La politique des banques centrales et des gouvernements apparait de plus en plus clairement pour ce qu’elle est et a toujours été depuis le début, une politique de ré-enrichissement des banques , de la finance et de la classe klepto-plouto. Les miettes étant pour les fonctionnaires, les assistés et les déviants. Ce sont des dizaines de milliards qui changent de poche, sans consultation démocratique, sans titre dans les journaux et encore moins un mot, une image, un débat à la télévision.
Le brillant Sack s’est exprimé sur les actions: lors de la remontée des taux longs, les actions ne devraient pas baisser car, selon lui, l’amélioration des perspectives économiques et des prévisions de bénéfices devraient compenser, et au-delà la pénalité infligée par le renchérissement des taux.
Ben voyons, la croissance de la production industrielle ne cesse de ralentir, elle est au plus bas de 3 ans. Nous, nous nous attendons à ce que la volatilité meurtrière que l’on voit sur les obligations se manifeste, le jour opportun, sur les actions.
> Le 21/08/2013
> Bruno Bertez










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