En 2019, les œuvres les plus étonnantes et marquantes de Léonard de Vinci
sont à redécouvrir sur le revers de la nouvelle série VeraMax
Collector. La plus élégante des pièces d’or d’investissement s’offre
ainsi de nouveaux designs pour les mois à venir. Le célèbre hélicoptère du
génie italien ouvre le bal. Quelles autres œuvres pourraient être dévoilées
sur les futures VeraMax AuCoffre ?
La pièce d’or d’investissement qui est aussi une pièce de collection
Ce n’est pas la première fois que l’on parle des VeraMax
Collector sur Loretlargent.info. Et pour une bonne raison : ces pièces
ont été conçues par AuCoffre pour l’investissement et pour la collection.
Antinomique ? Absolument pas : il s’agit de conserver toutes les
qualités de la VeraMax pour l’investissement, tout en mettant en
avant un design original en série limité.
On peut ainsi évoquer le titre pur de la pièce (c’est de l’or
d’investissement !), sa fiscalité avantageuse et son spread garanti par
AuCoffre. Et on peut également s’attendre à un bel objet, au design
raffiné et travaillé. Une belle façon de diversifier son
épargne de protection.
Léonard de Vinci : les dessins du visionnaire à l’honneur en 2019
Après une série 2018 dédiée aux pièces d’or qui ont marqué l’Histoire, la
série VeraMax Collector AuCoffre se tourne vers un homme qui a laissé son
empreinte. Le peintre, artiste et homme d’esprit Léonard De Vinci
inspire la nouvelle collection.
Les différentes pièces sont de nouveau dessinées par Eric Maillard, comme
pour les précédentes séries VeraMax. Dans
une interview réalisée en 2017, le designer originaire de Montréal il
évoquait déjà ses créations sur une interview parue sur le blog : « la
série VeraMax Collector est l’opportunité de créer une collection complète de
12 pièces et de décliner toute une série de visuels dans un même style.
»
La première VeraMax Collector 2019 est déjà disponible sur le site
AuCoffre. Son design est inspiré de l’un des dessins les plus
connus de Léonard De Vinci : celui de l’hélicoptère. Ou plutôt, un aéronef à
hélice à vol vertical, une vis aérienne dont le plan a été dessiné entre 1487
et 1490. Aujourd’hui, on l’interprète comme la représentation très
visionnaire de l’hélicoptère.
Ces autres dessins et projets que l’on découvrir peut-être dans la
collection…
Parce qu’une collection est aussi une surprise, tous les dessins des
futures VeraMax Collector seront révélés au cours de l’année 2019.
Mais certains sont déjà très attendus et certainement incontournables.
Les machines volantes
Dans son Codex sur le vol des oiseaux (1505), l’Italien étudie le vol des
oiseaux, le dessine et se penche sur le dessin de ses propres « machines
volantes ». En plus de la vis aérienne, c’est-à-dire l’aéronef à hélice à vol
vertical, on y découvre notamment le grand Milan (il grande nibbio), sa
machine volante la plus avancée. Il s’agit d’une machine dont les ailes sont
activées par la force musculaire humaine.
Autre travail impressionnant du Codex, les prémices du parachute : selon
Léonard de Vinci, ce dispositif permettrait de sauter sans blessure, quelle
que soit la hauteur du saut.
L’Homme de Vitruve
Quand on parle de L’Homme de Vitruve, il s’agit en fait d’un dessin
réalisé vers 1490, et dont le nom complet est « étude des proportions du
corps humain selon Vitruve ». Pour le réaliser, Léonard de Vinci s’est penché
sur un traité d’architecture antique rédigé avant notre ère par un architecte
romain.
Deux silhouettes humaines sont représentées dans ce dessin. Elles sont
superposées dans un carré et un cercle, deux formes considérées comme
parfaites pendant la Renaissance italienne. La double silhouette humaine est
au cœur de ces deux formes parfaites. Le tout donne même une sensation de
mouvement. Plusieurs détails sont intéressants à relever : les proportions
dessinées sont bien celles, jugées idéales, imaginées par Vitruve ; mais
elles ne sont pas physiquement réalistes. Et le texte présenté autour du
dessin doit être lu à l’aide d’un miroir pour pouvoir être déchiffré.
L’Homme de Vitruve figure sur la pièce italienne d’un euro. Il faut croire
que l’étonnante superposition dans un cercle et un carré se prête bien aux
pièces !
Le char d’assaut
Comme d’autres dessins, celui du char d’assaut se trouve dans le Codex
Arundel, un recueil de notes écrites par Léonard de Vinci. Le char d’assaut
représente ce qui pourrait évoquer les tanks actuels : un véhicule blindé et
équipé de canons. Difficile à manœuvrer selon les moyens de l’époque, le char
d’assaut n’a jamais été mis au point du vivant de Léonard de Vinci. Mais il
fait partie des machines de guerre les plus connues de l’ingénieur. On
pourrait également y ajouter les arbalètes géantes qui figurent dans le Codex
Atlanticus. Les attentes des mécènes n’étaient sans doute pas pour rien dans
les nombreuses inventions et adaptations liées à l’armurerie et à la guerre.
La Joconde, ou portrait de Mona Lisa
On ne parle bien sûr plus de dessin, mais la Joconde est bien l’une des
réalisations les plus connues de Léonard de Vinci. Il s’agit en fait du
portrait de Mona Lisa, achevé vers 1519. Cette huile sur bois est à découvrir
au musée du Louvre, et plusieurs détails en font une œuvre incontournable.
D’abord, il existe plusieurs hypothèses sur le portrait en lui-même : il ne
s’agirait peut-être pas de la femme d’un marchand florentin. Ensuite, le
sourire de Mona Lisa est énigmatique, tandis que son regard semble suivre
celui qui la contemple.
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