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CLAUDE F
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A laissé un commentaire sur l'article :
>Du coût exorbitant de la souveraineté monétaire  - Jérémie T. Rostan - 
A D.-Vous continuez à faire deux erreurs et depuis un certain temps déjà, vous avez mal écouté M Etienne Chouard auquel vous vous référez et que vous m’avez obligé à écouter. Il vous faut distinguer les dettes d’Etat auprès des marchés financiers et les dettes bancaires qui financent les achats des particuliers (voitures, immobiliers etc.) et le financement des projets des entreprises. Vous amalgamez les deux ce qui n’est pas correct.
1 ) La dette souveraine française selon la Loi de 1973 et les textes de Maastricht et de Lisbonne prévoient, que les Etats doivent obligatoirement se financer auprès des MARCHES FINANCIERS. En France, c’est l’Agence France Trésor (AFT) à qui revient ce monopole d’émission, s’adresse aux Spécialiste en Valeurs du Trésor (SVT). Ces SVT replacent ces emprunts auprès de l’épargne mondiale des personnes physiques, entre autres. Cette épargne est véhiculée par les compagnies d’assurance, les fonds de pension, les organismes de placement en valeurs mobilières (OPCVM pour SICAV et FCP et autres) et le système bancaire à travers ses formules d’épargne comme ci-devant…). Ce financement des dettes souveraines ne provient donc pas du néant mais de l’épargne bien réelle qui est du revenu non consommé mais différé des gens comme vous et moi.
2) D’autre part, les banques de détail ne détiennent de la dette souveraine que depuis 2009 suite aux nouvelles obligations des règlementations européennes diligentées par M Michel Barnier. La consultation du site Internet de l’AFT sous l’URL : http://www.aft.gouv.fr/. L'A F T nous apprend que les banques françaises ne détiennent que 14 % de la dette de l'Etat (1341 Mrds) soit environ 190 Mrds, les dettes publiques étaient en 09/2011 de 1 689 Mrds. Les banques de détail selon les règlementations de Bâle permettent aux banques de détail de créer la monnaie-scripturale ou monnaie de compte qui finance l’économie réelle (particuliers et entreprises) en leur permettant de multiplier leur fonds propres. Cet argent-dette est progressivement remboursé selon les échéanciers (tableaux d’amortissement) que doivent respecter les débiteurs que sont les particuliers et les entreprises.
Les banques ne prêtent pas aux Etats (sauf sous contraintes nouvelles ci-dessus)
Pour conclure : Ceux que vous taxer de "larbins du système", dont vous m’avez déjà gratifié récemment (le 24-09-2012), ont seulement lu les réglementations et connaissent les circuits de la création monétaire fiduciaire et scripturale, qu’il vous faudra bien intégrer à un moment quelconque…
"Une erreur ne devient pas vérité parce que tout le monde y croit !" Gandhi
"L'objet de la vie n'est pas de se trouver du côté de la majorité, mais d'éviter d'être du côté des imbéciles" - Marc Aurèle
"Les paroles sonnent bien, quand celui qui les dit plait à qui les écoute" – Shakespeare
J’ajouterai à condition de bien écouter


Commenté
il y a 4217 jours
-
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Début de l'article :Il est devenu courant d’affirmer que la crise de la dette publique résulte de la perte de souveraineté monétaire des États de la zone euro. En France, ce serait la Loi Rothschild de 1973, et sa prolongation via le Traité de Maastricht, qui, interdisant au gouvernement de s’endetter directement auprès de sa banque centrale, auraient vendu le pays aux marchés financiers, le condamnant à payer de lourds intérêts... Lire la suite
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