27,2 % des étudiants en médecine sont dépressifs !!

dans la plupart des services hospitaliers, les étudiants et les internes en médecine sont "considérés" ou plutôt traités comme de véritables larbins... le tutoiement unilatéral par les chefs de services et les professeurs de médecine y est notamment de mise... Ceux qui tiennent le coup et arrivent en fin de cursus, y ont acquis une véritable mentalité de moujiks qui ne les quittera plus jamais pendant tout leur carrière et leur exercice effectifs... Outre la déchéance morale symptomatique de notre société que cette situation représente, ces malheureux, non contents de subir une "formation" ou plutôt un long dressage le plus souvent inepte, trop longue, souvent inadaptée, archaïque voire périmée, ne relèveront plus jamais la tête, devenus de gentils assujettis aux caisses d' assurance maladie, à l' U.R.S.S.A.F., écrasés de charges fiscales et de contraintes et normes réglementaires en tous genres, les plus mal rémunérés de toute l'Europe Occidentale, contraints de cotiser à une caisse de retraite spoliatrice ( la C.A.R.M.F. ) avec la perspective ( encore actuellement ) de percevoir une retraite de cadre moyen de la Poste passé l'âge de 65 ans... la plupart des Français n'ont pas la moindre conscience ou la moindre reconnaissance envers leurs médecins et le sacerdoce qu'ils exercent... Et ne parlons pas de l'instauration du tiers payant généralisé qui les mettra sous coupe réglée totale de l'Etat socialiste, les réduisant totalement aux yeux des patients à de simples prestataires de service disponibles et gratuits, ce qui affectera encore plus, le peu de considération qui leur est encore témoignée...

Le texte de référence : http://www.psychomedia.qc.ca/sante-mentale/2017-06-18/etudiants-medecine-france

"Dans une enquête sur la santé mentale menée auprès des étudiants français en médecine par quatre organisations d’étudiants et d’internes (1), près de 2/3 (66 %) des répondants souffraient d'anxiété et 1/4 (28 %) de troubles dépressifs."
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C'est bien pire : consulter en hôpital peut s'apparenter à jouer à la roulette russe. Les amplitudes horaires sont complètement démentielles dans un secteur où la moindre bourde peut avoir des conséquences et catastrophiques et irréversibles : on ne répare pas le vivant aussi bien qu'une automobile...On comprend mal comment il y a, en apparence, moins de bavures médicales...

Je me demande même si les horaires ne sont pas illégaux, par rapport à des textes européens, car ils mettent en danger de mort et soignés et soignants.

https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2013/09/27/temps-de-travail-des-medecins-lhopital-leurope-tacle-la-france_672366 (oui, déjà en 2013 !).

http://www.sccahp.org/ArticleDossier.php?CleDossier=79 (LOI SUR LE TEMPS DE TRAVAIL DES MEDECINS 48 HEURES)